Justement, y avait beaucoup de Tours très chiants dans les années Anquetil, Merckx et Hinault. A part Bahamontès (et encore, il donnait la priorité au GPM), Gaul et Ocana, on peut pas dire qu'ils étaient beaucoup attaqués, que ce soit collectivement ou individuellement.angelsB a écrit : 08 juin 2018, 19:37Non : ce n'est pas vrai ! Ce sont des excuses que l'on donne…veji2 a écrit : 08 juin 2018, 18:42
Comme toujours quand une équipe est très forte et dominante autour d'un gros leader, les autres coureurs l'intègrent et se font petit. Il y a un côté tribal, le gang des boss arrive, on leur laisse la place. C'est comme ça. Les équipes faibles sont un très gros plus pour avoir une course ouverte.
Il y a toujours eut des coureurs dominateurs avec des équipes largement plus forte que les autres (Hinault et les Renault; Merckx et les Faema ou les Molteni; Anquetil et les St Raphaël…)?
Comme le dit mazinho93 c'est la conception du cyclisme qui a changé (comme la conception du sport professionnel en général ces trente dernières années).
Il n'y a rien de critiquable là-dedans ("The times they are changing") mais pas étonnant que de nombreux adeptes d'un cyclisme d'attaques et de prises de risques s'en désintéressent !
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Merckx était si peu chahuté que pour moins s'emmerder, c'est lui qui attaquait.
