Racemousse a écrit :biquet a écrit :Akaion a écrit :On aura juste des sprints en haut des cols avec cette solution...
Ben non, les costauds auraient intérêt à flinguer loin du sommet pour faire des écarts.
Pour perdre le double dans la dernière montée?
A mon avis le scénario le plus probable serait montée au train et, éventuelllement, attaques sur les 500 derniers mètres pour grapiller une poignée de seconde.
Possible, mais tout dépend ce que tu as en dernière montée. Par exemple, sur l'étape de Luchon, on avait un Peyresourde qui donnait environ 7km à 7,5°/° de moyenne, rien d'insurmontable. Le gars qui gère bien son effort post-Tourmalet peut s'en sortir sans dommage et conserver son pécule.
Bof, et puis j'en sais rien, je propose, c'est tout.
De toute façon, la solution, la vraie, la définitive, elle n'existe pas. Ou alors en bazardant tout ce que l'UCI a construit ces dernières années (notamment le World Tour). Et encore..
(En 74, Aja avait attaqué à 4km du sommet, car il voulait prendre un max de temps à Merckx. Mais le vent de face l'a contraint à se contenter d'un maigre avantage de 19". Au moins la bataille avait eu lieu, l'honneur du Ventoux était sauf. Et les 41" prises par Poulidor sur Lopez-Carril allaient permettre au limousin de finir le Tour devant le grimpeur Asturien...pour 3".)
La pesanteur se dirige toujours vers le bas et le pognon vers la frontière suisse. (cavanna)