Le monsieur parle de ce qui est certainement très en vogue dans le peloton : la thérapie génique.
En gros, on va modifier les gènes pour traiter une maladie par exemple, donc c'est une avancée considérable pour l'humanité.
Selon l'intervenant, il y a deux laboratoires qui pratiquent ça un au Honduras (il utilise une série Netflix d'un mec qui fait ça pour devenir une masse) et ... à Dubai. Donc = Pogacar.
Il utilise avant ça des données qui montrent que le garçon est monstrueux et que c'est pas possible de monter des cols aussi vite. C'est vrai qu'il n'évoque pas Vingegaard.
Ca m'a intéressé du coup j'ai cherché un peu partout sans réponse, ChatGPT propose ça :
1. EPO (érythropoïétine)
Naturellement :
C’est une hormone produite par les reins quand le corps détecte un manque d’oxygène.
Elle stimule la moelle osseuse à produire plus de globules rouges, qui transportent l’oxygène dans le sang.
Dopage traditionnel :
Injection d’EPO synthétique (ex : scandale du cyclisme dans les années 90–2000).
Dopage génétique potentiel :
Insertion d’un gène EPO dans les cellules musculaires ou hépatiques via un vecteur (souvent un virus modifié, comme un adénovirus).
Le corps produit alors lui-même de l’EPO en continu, comme s’il avait toujours besoin d’oxygène → hausse durable des globules rouges, donc de la performance en endurance.
2. PGC-1α (coactivateur gamma-1 de la prolifération des mitochondries)
Naturellement :
PGC-1α est une protéine régulatrice qui stimule la biogenèse mitochondriale (création de nouvelles mitochondries).
Les mitochondries sont les "centrales énergétiques" de la cellule, particulièrement utiles pour les efforts d’endurance.
Dopage génétique potentiel :
On surexprime le gène PGC-1α dans les muscles, pour que les cellules musculaires produisent beaucoup plus de mitochondries.
Résultat : muscles plus efficaces, plus résistants à la fatigue → effort prolongé sans chute de rendement.
3. IGF-1 (Insulin-like Growth Factor 1)
Naturellement :
IGF-1 est une hormone anabolisante, activée notamment par l’hormone de croissance.
Elle stimule la croissance des tissus musculaires et aide à la récupération après l’effort ou une blessure.
Dopage génétique potentiel :
Insertion du gène IGF-1 dans des tissus musculaires : le muscle se met à produire lui-même cet agent de croissance, sans avoir besoin d’injection externe.
Conséquence : développement musculaire plus rapide, meilleure récupération → avantage significatif dans les sports d’endurance et de puissance.
4. MSTN (Myostatine)
Naturellement :
La myostatine est une protéine qui freine la croissance musculaire. C’est un "frein naturel" pour éviter un excès de muscle.
Dopage génétique potentiel :
On désactive le gène MSTN (myostatine) à l’aide d’outils comme CRISPR ou un virus modifié.
Cela libère totalement le développement musculaire → le corps crée des muscles plus volumineux, plus forts.
Des études sur des animaux (même chez l'humain atteint de mutations naturelles de MSTN) montrent des gains musculaires spectaculaires.
Ca fait froid dans le dos mais ça reste hypothétique et ce n'est pas mon domaine donc incapable de vous dire si ce baratin est plausible.