Ils sont vraiment malin ces gens là. Ceux qui restent chez eux sont des idiots et des soumis au gouvernement mondial

Ils sont vraiment malin ces gens là. Ceux qui restent chez eux sont des idiots et des soumis au gouvernement mondial
Ça va, c'est ma distance maximale à vélo.Noé a écrit : 17 mars 2020, 13:31 Sur Twitter, le compte "Matos Vélo" dit avoir contacté trois maires, qui ont dit la même chose : les consignes indiquent que "proche de chez soi" signifie "5km".
Vous pouvez donc oublier vos sorties vélo.
Après on est plus ou moins chanceux, je dois avouer être un privilégié. A 5km de chez moi je peux me faire un sommet avec 1000m de dénivelé à pied en partant de la maison. Ou une cote de 7km en vélo à 6-7% de moyenne (je descend de 5km, et je remonte de 2 au dessus de chez moi).Noé a écrit : 17 mars 2020, 13:31 Sur Twitter, le compte "Matos Vélo" dit avoir contacté trois maires, qui ont dit la même chose : les consignes indiquent que "proche de chez soi" signifie "5km".
Vous pouvez donc oublier vos sorties vélo.
Ben ca dépend. Moi dans un rayon de 5 km autour de chez moi et sans croiser personne je peux rouler tout un après midi.Noé a écrit : 17 mars 2020, 13:31 Sur Twitter, le compte "Matos Vélo" dit avoir contacté trois maires, qui ont dit la même chose : les consignes indiquent que "proche de chez soi" signifie "5km".
Vous pouvez donc oublier vos sorties vélo.
Désolé mais non ça me semble être de la connerie ça. C'est juste qu'on le martèle à l'infini depuis des années...On3 a écrit : 17 mars 2020, 09:32
Et donc, reste la question -celle surtout débattue dans le début de ce topic- si c'est autorisé, dois-je le faire pour autant ?
Je commencerais par rappeler qu'il y a eu levée de boucliers quand certains se sont offusqués que les tabacs restent ouverts. On nous a rétorqué (parce que ma première réaction ça a bien été l'étonnement) que c'était une addiction et que c'était probablement pas une bonne idée d'avoir des millions d'addicts en sevrage forcé.
Soit, je rappellerais dès lors que le sport libère endorphine et dopamine. Physiquement, cela provoque donc les mêmes réactions chimiques que pour nos camés (qui eux ont une pratique pas saine, qui met à mal leur système immunitaire, et leur système respiratoire ce qui me semble quand même une bien mauvaise idée par les temps qui courent :elephant-mais-pas-trop:).
Le sport est une drogue, et si on est capable de comprendre qu'un confinement total serait source de stress violent pour les fumeurs, j'imagine qu'on est capable de se projeter sur ce que ça donne pour des sportifs réguliers.![]()
Adrien Costa je ne pense pas qu'il se soit mis à baver et à convulser sur son lit d'hôpital parce qu'il était en manque de sport.On3 a écrit : 17 mars 2020, 14:08 T'as déjà vu un grand sportif qui se retrouve incapable de pouvoir continuer sa pratique ?
Evidemment que le niveau d'addiction n'est pas le même, ça ne rend pas mon message faux pour autant.![]()
Idem, mais Nopik a un raisonnement très censé.
La dépendance au sport est appelée la bigorexie, néologisme venant de l'anglais big (gros) associé à orexis mot grec signifiant envie ou appétit. Celle-ci, résultant d'une souffrance psychique parfois cachée, peut se caractériser par une dégradation de la vie professionnelle ou sociale, et donc transformer la pratique saine du sport en un comportement aberrant
Bref, si vous êtes dans cette situation, pensez à consulter, je crois que vous avez le droit de vous déplacer pour raisons médicales.La première dépendance est d’abord là, dans le besoin de reproduire aussi souvent que possible cet état de légèreté et de quiétude qui suit un effort. Mais, en se structurant et en devenant bigorexie, cette dépendance s’attaque au psychique. « L’activité (sportive) peut finir par occuper une place disproportionnée dans l’identité de la personne et générer des conflits entre le sport en question et d’autres aspects de la vie », notaient en 2008 des chercheurs en psychologie du sport.
Ce que l’on note souvent chez les runners atteints de bigorexie :
• Une opinion altérée d’eux-mêmes. Physiquement, ils ont tendance – comme certains sujets atteints de troubles du comportement alimentaire – à se voir plus gros qu’ils ne sont. Psychologiquement, ils sont convaincus de ne pas s’entraîner suffisamment.
• Un quotidien cadenassé. Souvent déprimés à l’idée de ne pas pouvoir respecter un plan d’entraînement, ils laissent le sport prendre le contrôle de leur quotidien. Le moindre contretemps pouvant altérer le déroulement idéal de la journée (entraînement, heures des repas, plages de repos) est vécu comme une agression insupportable.
• Une vie sociale et familiale sacrifiée. Prisonniers de leur obsession, ils refusent d’entendre les conseils de leurs proches et choisissent souvent de tourner le dos à leurs amis (jugés pas assez sportifs) voire à leur famille (considérée comme pas assez compréhensive).
Désolé, mais factuellement, je ne pense pas qu'on puisse nier que le sport entraîne des réactions chimiques dans ton organisme qui sont celles qui jouent dans les mécanismes de la dépendance, et ce quelque soit l'addiction.Nopik a écrit : 17 mars 2020, 14:11Adrien Costa je ne pense pas qu'il se soit mis à baver et à convulser sur son lit d'hôpital parce qu'il était en manque de sport.On3 a écrit : 17 mars 2020, 14:08 T'as déjà vu un grand sportif qui se retrouve incapable de pouvoir continuer sa pratique ?
Evidemment que le niveau d'addiction n'est pas le même, ça ne rend pas mon message faux pour autant.![]()
Edit : en fait ça n'a rien à voir avec un "niveau" d'addiction.
Il y a addiction / habitude et il y a addiction/ drogues.
Attends de voir le tuto youtube du Pistolero dans lequel il va citer toutes ses astuces pour rouler oklm en Ardèche.cytep33 a écrit : 17 mars 2020, 14:37 Vous êtes quand même bien conscients que le titre de la discussion fait un peu flipper dans le contexte qui nous frappe?