Et il oublie sans doute Sisteron et Lavaur .Dans ces étapes il y aura certes une partie accidentée mais je ne pense pas que des équipes de sprinters vont rouler à fond les ballons pendant les 60/80 dernières bornes ...pour éliminer d'autres sprinters lâchés plus tôt dans des difficultés préalables.Pour moi ce scenario sur les tours récents,on ne l'a vu qu'une fois en 2013 lors de Montpellier Albi .Mais cette étape passait par le col de croix de Mounis et était plus difficile que celles qu'on aura à Sisteron et surtout à Lavaur.En vrai je me souviens très bien de cette étape de 2013... et de mon incrédulité lorsque j'avais compris qu'elle allait se terminer au sprint et pas en bataille entre échappés!charlix a écrit : 16 oct. 2019, 08:37 Ewan parle de 3-4 opportunités. Nice qu'il cite pour la 1ère étape, et donc forcément Oléron, Poitiers et Paris.
https://www.cyclingnews.com/news/ewan-s ... nce-route/
Par contre sur ces 2 étapes il y aura sans doute une belle bataille entre échappés et peloton.
A Privas je crois par contre que comme tu le disais hier,ce sera sans doute trop dur pour du Groenwegen/Ewan car il y aura vraisemblablement de la difficulté en toute fin d'étape .Et pour moi c'est la présence de bosses dans les 10 derniers km qui peut éliminer ces gars-là ,pas quand il y a un beau 3ème catégorie à 80 ou 100 km de l'arrivée parce qu'aucune autre équipe de sprinters ne souhaitera s'engager dans un effort aussi long sans la certitude de gagner (à moins que l'équipe de Matthews

A Champagnole ,je crois que les sprinters auront aussi une chance mais nettement moins grande que sur les 6 étapes de Nice,Sisteron,Lavaur,Ré,Poitiers,Paris parce qu'on sera en fin de tour et que ce sera la dernière chance des baroudeurs et que le parcours ne sera pas plat comme la main