Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Modérateur : Modos VCN
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
J'espère qu'il y a eu une interview d'après-course pour Yates, je suis très impatient de comprendre ce qu'il s'est passé pour lui.
Immature et juvénile.
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
par rapport au Pinot 2017 il est plus maigre
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Patou a écrit : 24 mai 2018, 18:46Dans ce Giro à part une premiere semaine dans le rythme sans rien de particulier à noter, (il évite les problèmes et fais quelques bonifs bienvenues)ben il passe complètement au travers je vois pas en quoi je ressortirai quelque chose de positif.Falco1997 a écrit : 24 mai 2018, 18:01
Et tu prétends n’avoir aucun mal avec ce coureur![]()
Pinot a autant de chances de gagner un GT qu’il y a de chances de te voir sortir un message positif à son égard.
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Le CLM il le sait en plus que c'est son point d'amélioration depuis l'année dernière, sauf maladie c'est incompréhensible de se louper autant. Et aujourd'hui sur les 3 seules étapes ou il peut encore espérer remonter il est pas présent.
Il reste encore 2 étapes bien sur si il performe je serai le premier à la reconnaitremais on tombe plutot de haut surtout vu tout le baratin qui a été fait au début ou tout le monde ici compris le voyait déjà maillot rose ou presque. Sans parler des médias.
Il n'est néanmoins pas aidé par son équipe que je trouve trop faible.
Je lui souhaite le podium mais je vois pas comment il pourra remonter. A part une attaque de loin sur le finestre mais ca passe ou ca casse ce genre de chose et il faut en avoir les jambes (et la tete)
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Oui il a dit un truc comme "pas de bonnes jambes aujourd'hui, mais je suis toujours en tête donc c'est ok"Noé a écrit : 24 mai 2018, 18:47 J'espère qu'il y a eu une interview d'après-course pour Yates, je suis très impatient de comprendre ce qu'il s'est passé pour lui.
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Ok, merciNopik a écrit : 24 mai 2018, 18:50Oui il a dit un truc comme "pas de bonnes jambes aujourd'hui, mais je suis toujours en tête donc c'est ok"Noé a écrit : 24 mai 2018, 18:47 J'espère qu'il y a eu une interview d'après-course pour Yates, je suis très impatient de comprendre ce qu'il s'est passé pour lui.

On ne saura donc pas grand-chose de plus.
Immature et juvénile.
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
j'aurais préféré et de loin Giro et Vuelta mais sponsor oblige .......Chavaloin a écrit : 24 mai 2018, 18:24 Cette idée de doubler Giro et TDF c'est n'importe quoi fallait faire comme l'an passé et tout miser sur le Giro ou ne pas y aller et donner tout sur le TDF. La Pinot va finir vers la 5ème 8ème places et sur le TDF je le vois pas meilleur.
en plus l'année prochain seulement le tour
j'ai bien peur que la meilleure chose a faire pour Thibaut soit de changer d'air , certes le confort c'est bien mais la carrière d'un sportif est très courte ..........
je le verrai bien chez Bahrein ...........

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Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
@ M. Velomen
Tu n'as pas compris ce que je voulais dire.
Pinot, c'est plutôt le métabolisme d'un Hushovd, d'un Gallopin ou d'un Porte toutes proportions gardées, à savoir que s'il décide d'aller sous les 7/8 % de matière grasse trop longtemps, il prend le risque d’être malade et de perdre en efficacité sur trois semaines.
Chaque coureur est différent, et a son propre poids de forme, certains sont meilleurs lorsqu'ils sont assez gros.
Un Valère Zermain peut faire toute une saison à 4.5% de matière grasse sans tomber malade et perdre en rendement (ok c'est du foot), pareil pour un Hugh Carthy, Joe Dombrowski ou Romain Bardet.
Pinot a besoin d'avoir plus de gras que les autres leaders pour récupérer donc lorsqu'il s’affûte avant un GT pour mieux grimper les cols, il se rapproche dangereusement de sa limite. Ça a toujours été le truc (sa propension à tomber malade lorsqu'il est sur son pic de forme) qui me faisait dire que Pinot, pourtant gros moteur, ne pourra pas faire la carrière qu'on lui prédit sur les GT.
Tu n'as pas compris ce que je voulais dire.
Pinot, c'est plutôt le métabolisme d'un Hushovd, d'un Gallopin ou d'un Porte toutes proportions gardées, à savoir que s'il décide d'aller sous les 7/8 % de matière grasse trop longtemps, il prend le risque d’être malade et de perdre en efficacité sur trois semaines.
Chaque coureur est différent, et a son propre poids de forme, certains sont meilleurs lorsqu'ils sont assez gros.
Un Valère Zermain peut faire toute une saison à 4.5% de matière grasse sans tomber malade et perdre en rendement (ok c'est du foot), pareil pour un Hugh Carthy, Joe Dombrowski ou Romain Bardet.
Pinot a besoin d'avoir plus de gras que les autres leaders pour récupérer donc lorsqu'il s’affûte avant un GT pour mieux grimper les cols, il se rapproche dangereusement de sa limite. Ça a toujours été le truc (sa propension à tomber malade lorsqu'il est sur son pic de forme) qui me faisait dire que Pinot, pourtant gros moteur, ne pourra pas faire la carrière qu'on lui prédit sur les GT.
Dernière modification par Bradounet_ le 24 mai 2018, 19:00, modifié 1 fois.
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Bradounet_ a écrit : 24 mai 2018, 17:18 Mon Yates, tu dors, tom moulin, tom moulin va trop vite
Mon Yates, tu dors, tom moulin, tom moulin va trop fort.

Bravo, fallait pas rater le moment pour la sortir et je sais que tu l'attendais depuis quelques étapes. ^^
I AM THE LAW. (Chris Froome)
I'm here to kick ass and chew bubble gum, and I'm all out of gum. (Duke Nukem)
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Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Pinot est malade toute l'année.Bradounet_ a écrit : 24 mai 2018, 18:55 @ M. Velomen
Tu n'as pas compris ce que je voulais dire.
Pinot, c'est plutôt le métabolisme d'un Hushovd ou d'un Gallopin toutes proportions gardées, à savoir que s'il décide d'aller sous les 7/8 % de matière grasse trop longtemps, il prend le risque d’être malade et de perdre en efficacité sur trois semaines.
Chaque coureur est différent, et a son propre poids de forme, certains sont meilleurs lorsqu'ils sont assez gros.
Un Valère Zermain peut faire toute une saison à 4.5% de matière grasse sans tomber malade et perdre en rendement (ok c'est du foot), pareil pour un Hugh Carthy, Joe Dombrowski ou Romain Bardet.
Pinot a besoin d'avoir plus de gras que les autres leaders pour récupérer donc lorsqu'il s’affûte avant un GT pour mieux grimper les cols, il se rapproche dangereusement de sa limite. Ça a toujours été le truc (sa propension à tomber malade lorsqu'il est sur son pic de forme) qui me faisait dire que Pinot, pourtant gros moteur, ne pourra pas faire la carrière qu'on lui prédit sur les GT.
L'an dernier il lâche sur le chrono inaugural du Tour de Valence le 1er février en sortant juste de l'hiver. Cette année il ne roule pas pendant 3 ou 4 jours après le Tour de Catalogne car malade, alors qu'il est loin de sa forme optimale.
C'est un corps fragile d'une manière générale. Pas que sur les GT, pas que quand il est en forme. C'est certainement accentué par un état de fatigue et de forme avancées mais pas que.
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
ça voudrait dire qu'il est plus taillé pour les courses d'une semaine alors, à la Spilak ? Je suis à fonds une semaine, je peux le tenir mais 3 mon corps finit par céder.Bradounet_ a écrit : 24 mai 2018, 18:55 @ M. Velomen
Tu n'as pas compris ce que je voulais dire.
Pinot, c'est plutôt le métabolisme d'un Hushovd ou d'un Gallopin toutes proportions gardées, à savoir que s'il décide d'aller sous les 7/8 % de matière grasse trop longtemps, il prend le risque d’être malade et de perdre en efficacité sur trois semaines.
Chaque coureur est différent, et a son propre poids de forme, certains sont meilleurs lorsqu'ils sont assez gros.
Un Valère Zermain peut faire toute une saison à 4.5% de matière grasse sans tomber malade et perdre en rendement (ok c'est du foot), pareil pour un Hugh Carthy, Joe Dombrowski ou Romain Bardet.
Pinot a besoin d'avoir plus de gras que les autres leaders pour récupérer donc lorsqu'il s’affûte avant un GT pour mieux grimper les cols, il se rapproche dangereusement de sa limite. Ça a toujours été le truc (sa propension à tomber malade lorsqu'il est sur son pic de forme) qui me faisait dire que Pinot, pourtant gros moteur, ne pourra pas faire la carrière qu'on lui prédit sur les GT.
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Il ferait donc mieux de se spécialiser sur les courses d'une semaine selon toi ?Bradounet_ a écrit : 24 mai 2018, 18:55 @ M. Velomen
Tu n'as pas compris ce que je voulais dire.
Pinot, c'est plutôt le métabolisme d'un Hushovd ou d'un Gallopin toutes proportions gardées, à savoir que s'il décide d'aller sous les 7/8 % de matière grasse trop longtemps, il prend le risque d’être malade et de perdre en efficacité sur trois semaines.
Chaque coureur est différent, et a son propre poids de forme, certains sont meilleurs lorsqu'ils sont assez gros.
Un Valère Zermain peut faire toute une saison à 4.5% de matière grasse sans tomber malade et perdre en rendement (ok c'est du foot), pareil pour un Hugh Carthy, Joe Dombrowski ou Romain Bardet.
Pinot a besoin d'avoir plus de gras que les autres leaders pour récupérer donc lorsqu'il s’affûte avant un GT pour mieux grimper les cols, il se rapproche dangereusement de sa limite. Ça a toujours été le truc (sa propension à tomber malade lorsqu'il est sur son pic de forme) qui me faisait dire que Pinot, pourtant gros moteur, ne pourra pas faire la carrière qu'on lui prédit sur les GT.
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
ah le bon vieux temps de l'EPO ou tous le monde était en forme du début a la fin des GT
les chevauchées fantastiques de 400 km avec 20 cols hors catégorie

les chevauchées fantastiques de 400 km avec 20 cols hors catégorie

Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
j'ai bien peur que il devras se résoudre a ce type de course, Romandie, tour de suisse , dauphinéerbl85 a écrit : 24 mai 2018, 19:01
Il ferait donc mieux de se spécialiser sur les courses d'une semaine selon toi ?
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Ce temps qui semble revenir , l'a t'on seulement quittéilcanzese a écrit : 24 mai 2018, 19:04 ah le bon vieux temps de l'EPO ou tous le monde était en forme du début a la fin des GT![]()
les chevauchées fantastiques de 400 km avec 20 cols hors catégorie![]()

Armstrong manque tellement

Yates a peut etre fait une feinte aujourd'hui qui sait
Froome c'était au début maintenant la sky met toute la puissance et active la potion magique

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Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
@rlb85
Ce n'est pas encore irrémédiable. Il faudrait peut-être se pencher davantage sur son alimentation pendant les GT et surtout pendant les journées de repos (mais j'imagine que ça a déjà été fait, les mecs sont des pros, je ne vais pas leur donner des leçons).
Les défaillances les lendemains de jour de repos sont dans la majorité des cas imputables à la stratégie alimentaire adoptée :
- il y a les coureurs qui se lâchent et se gavent pour refaire les niveaux de glycogène. Problème, pour chaque gramme de glucide, on stocke 4 grammes d'eau, c'est pourquoi il est indispensable de beaucoup suer lors d'une journée de repos.
Donc soit aller rouler dehors s'il fait chaud, soit faire du rouleau surtout si les températures dehors ne se prêtent pas à une grosse suée.
Si on ne le fait pas, on peut démarrer l'étape du lendemain avec 2 à 3 kg excédentaire surtout en juillet/août où le corps a eu l'habitude de stocker l'eau pendant 2 semaines, et on peut faire de la rétention et on a la sensation de muscles bloqués et volumineux.
Cela est très dérangeant si on a une étape de montagne le lendemain avec un col dès le début (c'est le cas de figure Van Garderen)
- deuxième cas de figure, il y a des coureurs qui décident de ne pas casser le rythme alimentaire de la course, prennent un petit déj plutôt léger, vont rouler 2 heures, décident de zapper le repas du midi pour ne pas prendre de poids et éviter la rétention le lendemain, prennent une légère collation à 16h et refont un repas normal/léger le soir pour donner la priorité à la récupération avec un meilleur sommeil le ventre pas trop rempli. C'est généralement ce que font les leaders surtout avec un chrono le lendemain où la dépense énergétique totale était faible.
Mais avec cette stratégie, on peut aussi prendre le risque d'affaiblir l'organisme et de ne pas avoir rechargé suffisamment les stocks en glycogène quand d'autres auront surcompensé (comme lors du premier cas de figure, ce qu'on peut rapprocher des les régimes dissociés scandinaves à la mode dans les années 70/80). Des études vieilles de 50 ans ont montré qu'avoir surcompensé ses stocks en glycogène permettait de meilleures performances en chrono.
Ce n'est pas encore irrémédiable. Il faudrait peut-être se pencher davantage sur son alimentation pendant les GT et surtout pendant les journées de repos (mais j'imagine que ça a déjà été fait, les mecs sont des pros, je ne vais pas leur donner des leçons).
Les défaillances les lendemains de jour de repos sont dans la majorité des cas imputables à la stratégie alimentaire adoptée :
- il y a les coureurs qui se lâchent et se gavent pour refaire les niveaux de glycogène. Problème, pour chaque gramme de glucide, on stocke 4 grammes d'eau, c'est pourquoi il est indispensable de beaucoup suer lors d'une journée de repos.
Donc soit aller rouler dehors s'il fait chaud, soit faire du rouleau surtout si les températures dehors ne se prêtent pas à une grosse suée.
Si on ne le fait pas, on peut démarrer l'étape du lendemain avec 2 à 3 kg excédentaire surtout en juillet/août où le corps a eu l'habitude de stocker l'eau pendant 2 semaines, et on peut faire de la rétention et on a la sensation de muscles bloqués et volumineux.
Cela est très dérangeant si on a une étape de montagne le lendemain avec un col dès le début (c'est le cas de figure Van Garderen)
- deuxième cas de figure, il y a des coureurs qui décident de ne pas casser le rythme alimentaire de la course, prennent un petit déj plutôt léger, vont rouler 2 heures, décident de zapper le repas du midi pour ne pas prendre de poids et éviter la rétention le lendemain, prennent une légère collation à 16h et refont un repas normal/léger le soir pour donner la priorité à la récupération avec un meilleur sommeil le ventre pas trop rempli. C'est généralement ce que font les leaders surtout avec un chrono le lendemain où la dépense énergétique totale était faible.
Mais avec cette stratégie, on peut aussi prendre le risque d'affaiblir l'organisme et de ne pas avoir rechargé suffisamment les stocks en glycogène quand d'autres auront surcompensé (comme lors du premier cas de figure, ce qu'on peut rapprocher des les régimes dissociés scandinaves à la mode dans les années 70/80). Des études vieilles de 50 ans ont montré qu'avoir surcompensé ses stocks en glycogène permettait de meilleures performances en chrono.
Dernière modification par Bradounet_ le 24 mai 2018, 19:36, modifié 1 fois.
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Pinot n'est pas assez fort CLM et pas assez dominateur en montagne au point de faire assez de différence pour se concentrer sur les courses d'une semaine. Hors tracé vraiment très montagneux ou circonstances extrêmement favorables il ne fera guère mieux que des podiums.
A ce jour il est encore 5ème du Giro et n'a perdu qu'une trentaine de secondes sur Pozzo et Dumoulin aujourd'hui. Il n'est pas Gruppetto. On va peut-être attendre un peu avant de tirer des plans sur la comète sur son plan de carrière.
A ce jour il est encore 5ème du Giro et n'a perdu qu'une trentaine de secondes sur Pozzo et Dumoulin aujourd'hui. Il n'est pas Gruppetto. On va peut-être attendre un peu avant de tirer des plans sur la comète sur son plan de carrière.

Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
certes mais il ne pourras plus dicté sa stratégie a Madiot. C'est lui qui a imposé ce Giro et le résultat ( pour le moment ) n'est pas brillantLiam a écrit : 24 mai 2018, 19:36 On va peut-être attendre un peu avant de tirer des plans sur la comète sur son plan de carrière.![]()
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Par rapport au choix Giro / Tour ok. Par rapport au fait de lui demander de se Spilakiser ça n'a pas de sens...ilcanzese a écrit : 24 mai 2018, 19:40certes mais il ne pourras plus dicté sa stratégie a Madiot. C'est lui qui a imposé ce Giro et le résultat ( pour le moment ) n'est pas brillantLiam a écrit : 24 mai 2018, 19:36 On va peut-être attendre un peu avant de tirer des plans sur la comète sur son plan de carrière.![]()
Re: Giro 2018 : 18e étape - jeudi 24 mai Abbiategrasso - Pratonevoso (196 km)
Dites les gars, vous pourriez pas plutôt ouvrir un topic "PINOT" pour vous épancher ?
Je cherchais des commentaires sur Yates, Dumoulin, et les autres quoi....et quasi rien....
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