On1 a écrit :Je ne sais pas si c'est le fond du problème, depuis quelques réponses, il refuse de répondre sur le fond et préfère jouer sur la forme (forme qu'il interprète, au passage !).
Pourtant, quelques posts plus loin, il accepte (encore heureux) de reconnaître que la vitesse intervient dans les fameux calculs de watts.
Sachant que tu grimpes plus vite avec un matos de 2016, qu'un matos de 1996, j'aimerais bien savoir en quoi c'est loufoque d'avancer que le matos joue un rôle dans l'évolution à la marge des watts calculés par Portoleau.
Du coup, les fameuses valeurs radars de Vayer devraient se déplacer d'autant.
Par ailleurs, personne n'a jamais affirmé que c'était la seule raison possible de ce wattage moyen calculé sur le Tour 2016, mais sa façon de balayer ce "gain marginal" d'un revers de main, est présomptueuse.
En fait les calculs sont tous plus ou moins recaler sur des valeurs mesurées par SRM (ou autre).
Les valeurs difficiles à quantifier dans les modèles de calculs pour faire simple sont les composantes aérodynamique (faisant entrer le Scx du coureur mais aussi la force et le sens du vent...) et les composantes de frottement avec le sol (coefficient de roulement). Ces coefficients dans les calculs sont pris de manière empirique et rien en vaut un bon recalage de modèle avec des valeurs mesurées... ce qui est fait la plupart du temps.
Donc oui, les avancées technologiques permettant d'aller plus vite (ou autrement d'économiser des watts) comme une tenue plus aérodynamique, des avancées sur les pneumatiques (quoique là ça dépend pas mal des marques et modèles donc c'est plus sujet à discussion)...
Après pour ce qui est des avancées sur l'entrainement, les postures sur le vélo etc... ça ne remet pas en cause le calcul, mais plus les fameuses limites humaines de Vayer.