N'étant supporter ni de l'un ni de l'autre, je ne trouve pas qu'il y ait une différence de traitement concernant les références au dopage pour ces 2 coureurs. Il est tout de même souvent fait mention ici du steak de Contador.valverde1978 a écrit :il y a quand même une différence de traitement parfois:
valverde jamais contrôlé positif(suspendu sur des soupçons dans l'affaire puerto ) a pris 2 ans ce qui est énorme dans une carrière au milieu de ses meilleures années et on renvoie toujours à cela
contador contrôlé positif a pris 2 ans(sans compter qu'il a souvent fait parti des équipes les plus sulfureuses du peloton) avec effet rétroactif donc il a manqué que 6 mois au final(drôle de sanction au passage) bénéficie d'un blanc seing d'une grande majorité du forum au motif qu'il est offensif
j'ai un peu de mal à comprendre parfois cette différence de traitement
Giro : 16e étape, Bressanone - Andalo (132 km)
Modérateur : Modos VCN
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Bon sinon je n'ai rien vu de l'étape et je n'ai pas le courage de lire les plus de 600 messages que j'ai loupé. Quelqu'un peut me faire un résumé ?
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C'est une honte d'avoir cours sur une étape comme ça. Bon j'ai pu regarder une partie de l'étape, mais j'ai les boules...
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C'etait quand le jour sans de Chaves?biquet a écrit :Pour l'instant, y un seul coureur qui n'a connu aucun mauvais jour, c'est Kruisjwijk.
Tant mieux pour lui, mais imaginez que ce fameux "jour-sans", que tous les coureurs connaissent lors d'un GT, imaginez que ce jour maudit lui tombe sur la gueule vendredi ou samedi ?? :hmm:
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Aujourd'hui, il était quand même pas top, dans le 1er col. Il parle d'une erreur de sa part, mais dans une montée de col, tu te fais pas piéger: tu as les jambes, ou tu ne les as pas. Dans le Passo Mendola, Chavès a eu une panne de jambes.abraxas a écrit :C'etait quand le jour sans de Chaves?biquet a écrit :Pour l'instant, y un seul coureur qui n'a connu aucun mauvais jour, c'est Kruisjwijk.
Tant mieux pour lui, mais imaginez que ce fameux "jour-sans", que tous les coureurs connaissent lors d'un GT, imaginez que ce jour maudit lui tombe sur la gueule vendredi ou samedi ?? :hmm:
La pesanteur se dirige toujours vers le bas et le pognon vers la frontière suisse. (cavanna)
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Je ne crois pas que niveau dopage ils soient traités différemment ici : On pense en majorité, je crois, que ce sont 2 immenses talents qui ont salé la soupe à l'époque du salage de soupe et qui devaient payer, comme les autres ayant fait pareil, pour cela. Contador a eu vraiment du bol dans son traitement qui fait qu'il ne rate que 6 mois de compet, mais bon il perd 1 TDF et 1 giro dans l'affaire....valverde1978 a écrit :il y a quand même une différence de traitement parfois:
valverde jamais contrôlé positif(suspendu sur des soupçons dans l'affaire puerto ) a pris 2 ans ce qui est énorme dans une carrière au milieu de ses meilleures années et on renvoie toujours à cela
contador contrôlé positif a pris 2 ans(sans compter qu'il a souvent fait parti des équipes les plus sulfureuses du peloton) avec effet rétroactif donc il a manqué que 6 mois au final(drôle de sanction au passage) bénéficie d'un blanc seing d'une grande majorité du forum au motif qu'il est offensif
j'ai un peu de mal à comprendre parfois cette différence de traitement
Le fait que Contador depuis le TDF 2011 ait montré beaucoup d'audace et surtout aussi connu la défaite l'humanise, comme Valverde, après la manière de courir plus audacieuse de loin de Contador le rend plus romantique sans doute, mais ça ne joue pas sur l'appréciation du dopage !
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ça a flingué dès le 1er col , avec Zakarin et Nibali en dynamiteurs. Au sommet, Ils sont tous les 2 avec Valverde et SK en contrôle.blouss_ a écrit :Bon sinon je n'ai rien vu de l'étape et je n'ai pas le courage de lire les plus de 600 messages que j'ai loupé. Quelqu'un peut me faire un résumé ?
Ils rejoignent un groupe d'échappés dans la descente avec Kangert qui roule.
Derrière Chaves navigue à 45"
Dans le Fai della Paganella, SK accelère , seul Valverde suit avec le Zak. Derrière, Chaves rejoint et dépose Nibali mais ne reverra jamais le trio de tête.
Et sinon, les Cannondale ont été grandioses, à nouveau.
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Je crois comprendre ton point de vue, même si je ne le partage pas. Selon toi, Valverde (ou Purito auparavant ), ce serait plus sexy, plus en phase avec la grande histoire cycliste avec ses coureurs magnifiques aux palmarès impressionnants, des champions hors normes aux destins hors du commun, ses héros s'élevant au-dessus du commun, ses légendes écrites à l'encre d'une plume de champagne au goût de victoire. Ca claque, c'est sexy.vesp-asien a écrit :Quand je dis que la victoire de Kruiswijk ca serait moche, c'est purement subjectif, je n'apprécie pas tellement ce coureur qui ne dégage aucun charisme, un peu à la Hesjedal. J'aurais préféré Purito vainqueur du Giro 2012 et Valverde du Giro 2016, je trouve que ça claque beaucoup plus qu'Hesjedal et Kruiswijk... c'est juste un avis, Kruiswijk profite à 100% de l'opportunité qu'il n'aura probablement plus jamais dans sa carrière mais voilà...Booze a écrit :Je ne vois pas pourquoi la victoire de Kruiswijk serait moche. Il sera - si elle s'avère - allé la chercher tout seul sans le soutien d'une armada. Je préfère mille fois un coureur qui ose, qui tente, qui joue, qui assume le poids du maillot qu'un autre qui court planqué pendant 150 bornes derrière ses équipiers qui contrôlent la course pour lui et attendant [i:2xhbzj7t]essairêmement [/i:2xhbzj7t]les cinq dernières bornes pour monter juste ce qu'il faut de watts pour distancer ses adversaires qu'un rythme de folie aura émoussé.
Aujourd'hui, c'était un combat d'homme à homme. Mis à part Nibali, les autres étaient livrés à eux-mêmes très tôt et ils se sont battus sur leurs valeurs intrinsèques. Le succès des uns n'est que plus beau; la défaillance des autres que plus révélatrice.
Le succès n'a jamais plus de valeur que lorsqu'il est obtenu seul face à l'adversité. Le succès des armadas et de leurs capitaines n'est pas pour autant sans valeur, mais il a un prix. Celui de leur constitution. Et c'est cela qui le déprécie.
Seulement voilà, le sexy, le nom, le prestige ne compte pas. Un palmarès, une aura glanée par le passé, une célébrité ne donne le droit à rien. Pas même à prétendre que la victoire d'une légende honorerait une épreuve. Ce qui honore une épreuve, c'est le mérite de son vainqueur, son courage, son art de la course, son dépassement. Purito a perdu le Giro 2012. Tant mieux. Il a couru comme un abruti suffisant. Il a cru que la course allait s'offrir à lui. Il ne la méritait pas; et sa victoire aurait entaché le palmarès.
Cette année, pour l'instant, Kruijswijk honore le Giro. Il court à l'avant, dans la droite ligne de ce qu'il a fait l'an passé. Il ne ratonne pas. Il défend sa tunique. Apparemment, il ne fait pas rêver certains. C'est leur droit, leur ressenti. Mais, je me demande ce qu'il faut ! Les noms, on s'en fout ! C'est la manière et l'intention qui comptent ! Et de ce côté-là, Kruiswijk n'a pour l'instant rien à envier à personne.
Les vedettes, c'est à Cannes. Sur une course cycliste, rien ne leur est du.
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Kruijswijk, ce qui peut lui être fatal, on l'a vu aujourd'hui, c'est la faiblesse de son équipe.
J'ai eu peur pour lui dans la montée du Passo Mendola.... Il était quand même attaqué de toute part, comme rarement un leader de GT s'est fait attaqué. Ca tournait presque à la coalition. En fait, seul Chavès, qui est à mon avis content de sa 2ème place (et qui était juste dans le 1er col) ne s'y est pas mis.
Si on voit le même scénario dans l'Agnello ou dans la Bonette, il sera en danger... Néanmoins, je vois mal Nibali réussir à sortir dans les pentes abruptes (9/10 % de moyenne) de l'Agnello ! C'est trop dur. Et je ne vois pas Chavès (qui ne pourrait de toute façon pas avoir de soutien à l'avant vu la faiblesse de son équipe) ou Valverde attaquer dans ce col alors...
Finalement, l'étape la plus dangereuse n'était elle pas celle-ci ?
J'ai eu peur pour lui dans la montée du Passo Mendola.... Il était quand même attaqué de toute part, comme rarement un leader de GT s'est fait attaqué. Ca tournait presque à la coalition. En fait, seul Chavès, qui est à mon avis content de sa 2ème place (et qui était juste dans le 1er col) ne s'y est pas mis.
Si on voit le même scénario dans l'Agnello ou dans la Bonette, il sera en danger... Néanmoins, je vois mal Nibali réussir à sortir dans les pentes abruptes (9/10 % de moyenne) de l'Agnello ! C'est trop dur. Et je ne vois pas Chavès (qui ne pourrait de toute façon pas avoir de soutien à l'avant vu la faiblesse de son équipe) ou Valverde attaquer dans ce col alors...
Finalement, l'étape la plus dangereuse n'était elle pas celle-ci ?
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Merci :good:_AlbatorConterdo a écrit :ça a flingué dès le 1er col , avec Zakarin et Nibali en dynamiteurs. Au sommet, Ils sont tous les 2 avec Valverde et SK en contrôle.blouss_ a écrit :Bon sinon je n'ai rien vu de l'étape et je n'ai pas le courage de lire les plus de 600 messages que j'ai loupé. Quelqu'un peut me faire un résumé ?
Ils rejoignent un groupe d'échappés dans la descente avec Kangert qui roule.
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Dans le Fai della Paganella, SK accelère , seul Valverde suit avec le Zak. Derrière, Chaves rejoint et dépose Nibali mais ne reverra jamais le trio de tête.
Et sinon, les Cannondale ont été grandioses, à nouveau.
Ils ont fait quoi les Cannondale ?
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Nibali je lui reconnais quand même de vraiment faire ce qu'il a annoncé en jouant la gagne même avec des jambes en bois. Quand il se met à la planche pendant 2 kms juste avant le taquet final pour tenter de revenir sur le trio de tête c'est tout bonnement suicidaire vu son état, mais bon la gagne est devant...
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Tuco doit bien avoir un petit classement par capillarité, il nous avait bien sorti celui par signe zodiacalchargain5 a écrit :Question aux spécialistes capillaires : va-t-on assister à la première victoire d'un rouquin au général du Giro ?
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C'est Valverde qui attaque dans la dernière montée et lâche Nibali._AlbatorConterdo a écrit :ça a flingué dès le 1er col , avec Zakarin et Nibali en dynamiteurs. Au sommet, Ils sont tous les 2 avec Valverde et SK en contrôle.blouss_ a écrit :Bon sinon je n'ai rien vu de l'étape et je n'ai pas le courage de lire les plus de 600 messages que j'ai loupé. Quelqu'un peut me faire un résumé ?
Ils rejoignent un groupe d'échappés dans la descente avec Kangert qui roule.
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Dans le Fai della Paganella, SK accelère , seul Valverde suit avec le Zak. Derrière, Chaves rejoint et dépose Nibali mais ne reverra jamais le trio de tête.
Et sinon, les Cannondale ont été grandioses, à nouveau.
Le Murcian a d'ailleurs beaucoup plus attaqué que le Sicilien dans le Passo Mendoza, mais c'est bien l'attaque du Requin de Messine, très tranchante, qui fait la différence à 1500 m du sommet.
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J'étais vraiment content de le voir à ce niveau, à l'attaque d'abord, puis avec les meilleurs. Mais, le gars a clairement un problème de puissance sur les parties plates. A un moment, il y a petite cassure dans le groupe de tête - je crois même que Kruijswijk était pris (je ne suis pas sûr) - et on voit Dombrowski rouler pour recoller. Il semble à l'ouvrage. Puis, il se retourne, s'agace, demande un relais, coupe un peu et s'écarte pour faire passer. La caméra revient sur la tête de groupe. Ensuite, on le revoit distancé, piochant seul à quelques dizaines de mètres de ses compagnons d'échappée. Et là, il tape sur son guidon un peu à la manière du Etixx qui avait du ramené Boonen sur une flandrienne. Il était collé. Il a pété sur le plat. Il se relève alors pour intégrer - mais je doute qu'il se soit vraiment mis au travail - la micheline Cannondale.daizenshu_ a écrit :C'est quand même dommage que Dombro lui-même n'ait pas suivi l'étape à un moment clé...Liam a écrit :Dombro avait annoncé sur Twitter hier soir que cette étape serait la plus intéressante à suivre de toute la course. Visiblement il ne s'était pas trompé. Hâte de voir le résumé demain.
:rock:
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En tant que quasiment unique supporter de Purito sur ce forum :sad: , je peux pas laisser dire qu'il a couru comme un abruti suffisant. Il a perdu par manque de moyens physiques, c'est tout. Déjà, sur Pampeago, il se fait lâcher par Hesjedal, et s'il n'y a pas Pozzo dans les parages, il perd bien plus de temps. Sur ce Giro, il était limité, c'est tout, et les autres n'étaient pas bien plus forts que lui. Et c'est pourquoi nous avions assisté à un tout petit Giro. Le seul vrai moment de bravoure, en fait, c'était De Gendt sur l'enchainement Mortirolo-Stelvio..Booze a écrit :Je crois comprendre ton point de vue, même si je ne le partage pas. Selon toi, Valverde (ou Purito auparavant ), ce serait plus sexy, plus en phase avec la grande histoire cycliste avec ses coureurs magnifiques aux palmarès impressionnants, des champions hors normes aux destins hors du commun, ses héros s'élevant au-dessus du commun, ses légendes écrites à l'encre d'une plume de champagne au goût de victoire. Ca claque, c'est sexy.vesp-asien a écrit :Quand je dis que la victoire de Kruiswijk ca serait moche, c'est purement subjectif, je n'apprécie pas tellement ce coureur qui ne dégage aucun charisme, un peu à la Hesjedal. J'aurais préféré Purito vainqueur du Giro 2012 et Valverde du Giro 2016, je trouve que ça claque beaucoup plus qu'Hesjedal et Kruiswijk... c'est juste un avis, Kruiswijk profite à 100% de l'opportunité qu'il n'aura probablement plus jamais dans sa carrière mais voilà...Booze a écrit :Je ne vois pas pourquoi la victoire de Kruiswijk serait moche. Il sera - si elle s'avère - allé la chercher tout seul sans le soutien d'une armada. Je préfère mille fois un coureur qui ose, qui tente, qui joue, qui assume le poids du maillot qu'un autre qui court planqué pendant 150 bornes derrière ses équipiers qui contrôlent la course pour lui et attendant [i:ekzsknsi]essairêmement [/i:ekzsknsi]les cinq dernières bornes pour monter juste ce qu'il faut de watts pour distancer ses adversaires qu'un rythme de folie aura émoussé.
Aujourd'hui, c'était un combat d'homme à homme. Mis à part Nibali, les autres étaient livrés à eux-mêmes très tôt et ils se sont battus sur leurs valeurs intrinsèques. Le succès des uns n'est que plus beau; la défaillance des autres que plus révélatrice.
Le succès n'a jamais plus de valeur que lorsqu'il est obtenu seul face à l'adversité. Le succès des armadas et de leurs capitaines n'est pas pour autant sans valeur, mais il a un prix. Celui de leur constitution. Et c'est cela qui le déprécie.
Seulement voilà, le sexy, le nom, le prestige ne compte pas. Un palmarès, une aura glanée par le passé, une célébrité ne donne le droit à rien. Pas même à prétendre que la victoire d'une légende honorerait une épreuve. Ce qui honore une épreuve, c'est le mérite de son vainqueur, son courage, son art de la course, son dépassement. Purito a perdu le Giro 2012. Tant mieux. Il a couru comme un abruti suffisant. Il a cru que la course allait s'offrir à lui. Il ne la méritait pas; et sa victoire aurait entaché le palmarès.
Cette année, pour l'instant, Kruijswijk honore le Giro. Il court à l'avant, dans la droite ligne de ce qu'il a fait l'an passé. Il ne ratonne pas. Il défend sa tunique. Apparemment, il ne fait pas rêver certains. C'est leur droit, leur ressenti. Mais, je me demande ce qu'il faut ! Les noms, on s'en fout ! C'est la manière et l'intention qui comptent ! Et de ce côté-là, Kruiswijk n'a pour l'instant rien à envier à personne.
Les vedettes, c'est à Cannes. Sur une course cycliste, rien ne leur est du.
La pesanteur se dirige toujours vers le bas et le pognon vers la frontière suisse. (cavanna)
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Uran serait malade . Pourtant , dans le groupe Chaves,où il se trouvait, ils ont roulés, on se demande encore pourquoi.blouss_ a écrit :Merci :good:_AlbatorConterdo a écrit :Et sinon, les Cannondale ont été grandioses, à nouveau.blouss_ a écrit :Bon sinon je n'ai rien vu de l'étape et je n'ai pas le courage de lire les plus de 600 messages que j'ai loupé. Quelqu'un peut me faire un résumé ?
Ils ont fait quoi les Cannondale ?
Devant, Dombro dans le 1er groupe, se faisait lâché bêtement par inattention et se retrouve ensuite dans le groupe Cannondale/ Chaves.
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Ok, à ma décharge , je n'ai pas encore vu l'étape, c'était un résume des posts lus ici. :sylvain84:-Vélomen- a écrit :C'est Valverde qui attaque dans la dernière montée et lâche Nibali._AlbatorConterdo a écrit :ça a flingué dès le 1er col , avec Zakarin et Nibali en dynamiteurs. Au sommet, Ils sont tous les 2 avec Valverde et SK en contrôle.blouss_ a écrit :Bon sinon je n'ai rien vu de l'étape et je n'ai pas le courage de lire les plus de 600 messages que j'ai loupé. Quelqu'un peut me faire un résumé ?
Ils rejoignent un groupe d'échappés dans la descente avec Kangert qui roule.
Derrière Chaves navigue à 45"
Dans le Fai della Paganella, SK accelère , seul Valverde suit avec le Zak. Derrière, Chaves rejoint et dépose Nibali mais ne reverra jamais le trio de tête.
Et sinon, les Cannondale ont été grandioses, à nouveau.
Le Murcian a d'ailleurs beaucoup plus attaqué que le Sicilien dans le Passo Mendoza, mais c'est bien l'attaque du Requin de Messine, très tranchante, qui fait la différence à 1500 m du sommet.
edit : J'aime bien Purito, Biquet. Il a une certaine auto- dérision, il a l'air assez sympathique.
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Les deux derniers roux qui étaient en passe de gagner un GT y ont été empêchés. ATTENTION ATTENTION à ce qu'on ne mette pas encore une fois de bâtons dans les roux ! :gafauvel:
Comme le trottis des rats sur les tessons brisés
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On parle sans cesse de la faiblesse de l'équipe de Kruijswijk certes, mais à côté on a Chaves avec une equipe faible également, Valverde idem son equipe commence à faiblir (carlito très faible, Amador semble cuit et Visconti inexistant) quant à Astana, les equipiers sont forts, le leader un peu moins.
Donc l'un dans l'autre la faiblesse de l'équipe de Kruiswijk...
Kruiswijk court hyper juste par rapport à un Chaves par exemple.
Donc l'un dans l'autre la faiblesse de l'équipe de Kruiswijk...
Kruiswijk court hyper juste par rapport à un Chaves par exemple.
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:moqueur:Bradounet_ a écrit :Les deux derniers roux qui étaient en passe de gagner un GT y ont été empêchés. ATTENTION ATTENTION à ce qu'on ne mette pas encore une fois de bâtons dans les roux ! :gafauvel:
Mais c'étaient qui alors ? :scratch: :super: