[TDF2022] Étape 15 Rodez>Carcassonne 202 km Dimanche 17 juillet

[On3]

On se tape une seconde canicule en 3 semaines, je ne vois pas comment tu peux dire qu'on constate plus le réchauffement climatique en hiver qu'en été.
Enfin, tout ça c'est bien gentil mais la question actuellement c'est plutôt de savoir comment on fait pour éviter que ça aille en empirant (en intensité et en fréquence).

[Allobroges]

On ne peut toutefois pas reprocher aux trolls climatosceptiques se justifiant par des journées/semaines froides l'absence de réchauffement climatique et en même temps, utiliser le même procédé à l'inverse quand il fait très chaud.
Dans les 2 cas, on confond meteo et climat...

Quand toutes les saisons/années présenteront des températures moyennes supérieures à la moyenne des x années/décennies précédentes et à peu près partout sur la planête, on pourra considérer que ces phénomènes relèvent clairement du changement climatique...(ce qui est le cas d'ailleurs d'un point de vue global...)

[veji2]

N'empêche pour en revenir au vélo que cette étape aurait dû être décalée 1h30 plus tôt et raccourcie de 50 bornes, ça aurait été la chose raisonnable à faire, mais sur le TDF ce genre d'ajustement n'aura lieu qu'une fois qu'on aura eu des gros malaises de coureurs...

[damienleflahute]

On ne peut toutefois pas reprocher aux trolls climatosceptiques se justifiant par des journées/semaines froides l'absence de réchauffement climatique et en même temps, utiliser le même procédé à l'inverse quand il fait très chaud.
Dans les 2 cas, on confond meteo et climat...

Quand toutes les saisons/années présenteront des températures moyennes supérieures à la moyenne des x années/décennies précédentes et à peu près partout sur la planête, on pourra considérer que ces phénomènes relèvent clairement du changement climatique...(ce qui est le cas d'ailleurs d'un point de vue global...)

Bof, quand bien même t'arriveras à les convaincre que le changement climatique est réèl, faudra encore leur faire admettre qu'il est dû à l'activité humaine et non à un cycle normal.

[damienleflahute]

On ne peut toutefois pas reprocher aux trolls climatosceptiques se justifiant par des journées/semaines froides l'absence de réchauffement climatique et en même temps, utiliser le même procédé à l'inverse quand il fait très chaud.
Dans les 2 cas, on confond meteo et climat...

Quand toutes les saisons/années présenteront des températures moyennes supérieures à la moyenne des x années/décennies précédentes et à peu près partout sur la planête, on pourra considérer que ces phénomènes relèvent clairement du changement climatique...(ce qui est le cas d'ailleurs d'un point de vue global...)

Bof, quand bien même t'arriveras à les convaincre que le changement climatique est réèl, faudra encore leur faire admettre qu'il est dû à l'activité humaine et non à un cycle normal.

[Steph86]

N'empêche pour en revenir au vélo que cette étape aurait dû être décalée 1h30 plus tôt et raccourcie de 50 bornes, ça aurait été la chose raisonnable à faire, mais sur le TDF ce genre d'ajustement n'aura lieu qu'une fois qu'on aura eu des gros malaises de coureurs...

Non mais ça, d'accord. Partir vers 11h au lieu de 13h en plein cagnard, ça peut être facilement mis en place et la TV s'adapte bordel !

[Xav_38]

Pour la France, 1976 était bien une année anormale ! C'est bien ce que montre le graphique du gars Cassou.

1976 était un année anormale par rapport aux années 1951-1980, ce qui est la référence pour ce graphe. Mais as-tu regardé la courbe climatique de météoFrance posté juste au dessus ? Dans les 10 dernières années, la moitié des été ont été plus chaud que 1976. Actuellement, du point de vu des températures, 1976 serait un été tout ce qu'il y a de plus moyen... bien plus frais que l'actuel qui peut battre 2003 s'il se prolonge comme cela en aout.

[veji2]

N'empêche pour en revenir au vélo que cette étape aurait dû être décalée 1h30 plus tôt et raccourcie de 50 bornes, ça aurait été la chose raisonnable à faire, mais sur le TDF ce genre d'ajustement n'aura lieu qu'une fois qu'on aura eu des gros malaises de coureurs...

Non mais ça, d'accord. Partir vers 11h au lieu de 13h en plein cagnard, ça peut être facilement mis en place et la TV s'adapte bordel !

CE n'est que le jour où un mec fera un gros coup de chaud, perdra connaissance ou convulsera et provoquera une chute qu'il se passera quelque chose. Et c'est honteux. Là on les a fait courir 4h30 au plus chaud possible. je dis ça sans rire, 4h30 de vélo entre 13h et 17h30 c'est le maximum de chaleur possible, on aurait fait exprès on aurait pas fait mieux.

Tu leur faisais faire 3h de vélo avec départ à 11h, 11h-14h pour un jour de très grande chaleur exceptionnelle, ça c'est du weather protocol raisonnable, c'est à ça que ça devrait servir.

[Steph86]

Pour la France, 1976 était bien une année anormale ! C'est bien ce que montre le graphique du gars Cassou.

1976 était un année anormale par rapport aux années 1951-1980, ce qui est la référence pour ce graphe. Mais as-tu regardé la courbe climatique de météoFrance posté juste au dessus ? Dans les 10 dernières années, la moitié des été ont été plus chaud que 1976. Actuellement, du point de vu des températures, 1976 serait un été tout ce qu'il y a de plus moyen... bien plus frais que l'actuel qui peut battre 2003 s'il se prolonge comme cela en aout.

Oui, j'ai bien vu que 1976 suivait de nombreuses années "fraîches" avec des températures inférieures à la normale, d'où la sensation d'une année particulièrement chaude. J'ai bien compris que 1976 dans les années 2010-2020 ne serait pas exceptionnelle. Ce que je voulais juste signifier, c'est qu'on a déjà connu à de très nombreuses reprises des journées aussi chaudes que celles d'hier sur le Tour. Et comme l'ont signalé d'autres forumeurs, il y a eu en plus des améliorations techniques, principalement les tenues des coureurs qui permettent de mieux combattre la chaleur...

[Dreki]

1976 était un année anormale par rapport aux années 1951-1980, ce qui est la référence pour ce graphe. Mais as-tu regardé la courbe climatique de météoFrance posté juste au dessus ? Dans les 10 dernières années, la moitié des été ont été plus chaud que 1976. Actuellement, du point de vu des températures, 1976 serait un été tout ce qu'il y a de plus moyen... bien plus frais que l'actuel qui peut battre 2003 s'il se prolonge comme cela en aout.

Oui, j'ai bien vu que 1976 suivait de nombreuses années "fraîches" avec des températures inférieures à la normale, d'où la sensation d'une année particulièrement chaude. J'ai bien compris que 1976 dans les années 2010-2020 ne serait pas exceptionnelle. Ce que je voulais juste signifier, c'est qu'on a déjà connu à de très nombreuses reprises des journées aussi chaudes que celles d'hier sur le Tour. Et comme l'ont signalé d'autres forumeurs, il y a eu en plus des améliorations techniques, principalement les tenues des coureurs qui permettent de mieux combattre la chaleur...

Une journée ça passe, c'est surtout l'accumulation qui rend le tout difficile à supporter (j'en sais quelque chose). C'est pour ça qu'il faut que ça dure plusieurs jours pour qu'on parle de canicule. Et faut avouer que les coureurs n'ont pas été gâté depuis le départ.
Maintenant, oui, il y a eu des améliorations matérielles, oui, on ne faisait pas grand chose avant pour s'adapter aux exigences des coureurs face à des vagues de chaleur. Mais le sport évolue, certaines choses impensables maintenant l'était en 76 (en vélo, l'exemple du port du casque est sans doute le plus évident), pour le meilleur ou pour le pire. Donc c'est pas parce qu'avant, on ne faisait rien, qu'il faut s’interdire de réfléchir à une évolution future, surtout que, malheureusement, ce genre de conditions extrêmes risquent de se multiplier.
Un départ plus matinal, fréquent dans pas mal de sport d'endu, me semble pas du tout aberrant.

[JFKs]

C'est là que l'expression courir à l'eau claire prend tout son sens.

[Wald]

Enorme numéro de Thomas. Incroyable ce qu'il a fait !!

Il a vraiment renoué le fil de sa carrière en quittant la GROUPAMA. Il est transfiguré. Je ne sais pas s'il a expliqué en interview ce qui n'allait pas à la FDJ.

Il ne faut pas oublier qu'il bien performé en tant que puncheur / rouleur à l'Armée de Terre et qu'il n'a pas confirmé chez Groupama (à mon avis, bridé par les tactiques défensives de l'équipe).

Ca fait plaisir de le voir à ce niveau là !

Je l'ai entendu dire que l'effet déclencheur était les JO. Je ne l'ai pas entendu critiquer la GFDJ.

[trevorphilips]

Beaucoup de coureurs ont indiqué qu'on avait atteint hier la limite de ce qui peut se faire en terme de températures.

Le syndicat des coureurs a été consulté mais rien n'a été fait.

Je crois qu'il va falloir se poser sérieusement la question pour ce type d'étape sous 40 degrés. J'ai peur qu'il y ait un drame un jour, surtout que ça diminue également les réflexes et augmente le risque de chute.


Voilà ce qu'en dit Madouas :

« Je ne me sentai [t] pas à 100 % au niveau des yeux » non plus. « Et les chutes des Jumbo sont liées à ça, c'est une évidence. Ça tapait fort sur la tête, ça joue forcément sur la lucidité, on fait des fautes qu'on ne fait pas d'habitude. Quand la température du corps dépasse un seuil, il se met en alerte, n'arrive plus à travailler. Pour moi, c'est la limite maximale. On ne peut pas dépasser ça, on n'est pas des bêtes de cirque non plus. »

Et Hofstetter :

"Il y a des alertes rouges dans la région, à la télé on dit aux gens de ne pas sortir et nous, on court quand même, on roule 210 kilomètres, pointait Hugo Hofstetter. Mais c'est nous qui acceptons ça. On a contacté le CPA (syndicat des coureurs professionnels) il y a deux jours et il n'y a pas de solutions qui ont été trouvées. Donc si on accepte, on roulera sous 50 ou 60 degrés, c'est comme ça. "

alors pour me faire une réelle idée, j'ai testé pour vous aujourd'hui : rouler sous + de 40° à l'ombre (mais y'avait pas d'ombre) cet après-midi :
Résultat :
- les 10 premières minutes : bof ça va, fait chaud mais comme quand on fait du sport (ou comme tout à l'heure dehors lorsque j'étais inactif)
- les 20 minutes suivantes : hausse graduelle du ressenti. La circulation de l'air ne refroidit pas du tout*. Boire ne suffit pas, il faut s'asperger, de + en + (au début les avant-bras, puis la tête, la nuque, les jambes, puis au plus d'endroits possibles. L'impression que se balancer de la flotte est plus efficace que boire. Aussi, après un peu plus de 20 minutes d'effort, léger dégoût/plus trop envie de boire bcp (j'ai repensé au gars du TDS qui avait abandonné car il arrivait pas à s'hydrater et se refroidir suffisamment).
- puis 20 minutes en plat, léger faux-plat descendant puis descente puis de nouveau plat : ben là je vous avoue que j'ai soufflé et que j'ai cherché à récupérer Beaucoup plus de brassage d'air mais au début ça refroidit pas du tout. Je me réhydrate et je me balance de la flotte. Au bout d'un moment ça va mieux
- puis quasi 10 minutes de montée assez raide : ça passe pas trop mal car pas trop long et car j'ai pu arrivé au pied en état presque correct. Et aussi parce qu'au 2 tiers je me suis arrêté pour me vider un 2e bidon (qui était dans le sac) sur le corps car le 1er bidon (qui était sur le porte-bidon) était vide

Un peu plus d'1 heure d'effort ; 1,5 L bu.

* faut dire que ces 30 premières minutes se sont faites en montée ou faux-plat montant, avec mon niveau actuel de chèvre sédentaire, + un sympathique vent de face de + de 20km/h. Donc ça n'allait pas très vite

Verdict : à partir d'un moment il devient difficile de se refroidir. Où fixer le curseur de température ? J'aurai dit à 45°C il faut réaménager la course. Finalement, 40°C apparaît comme plus raisonnable. Après ya plusieurs variables : il y a des phénomènes d'adaptation à la chaleur (lorsqu'on y est souvent confronté), il y a la vitesse d'évolution et il y a aussi l'approvisionnement en eau (pas sûr qu'il soit possible pour tous les coureurs du peloton d'avoir suffisamment régulièrement des bidons pour se rafraîchir le corps et le gosier). Il y a aussi la durée ainsi que l'intensité de l'effort
Et il y a enfin un côté personnel. Donc je dirai que dans certains cas, 40°C à l'ombre ça peut passer ; dans d'autres non

le ressenti pour moi c'est à peu près ça :
mais ça peut vite devenir ça

[Boris]

N'empêche pour en revenir au vélo que cette étape aurait dû être décalée 1h30 plus tôt et raccourcie de 50 bornes, ça aurait été la chose raisonnable à faire, mais sur le TDF ce genre d'ajustement n'aura lieu qu'une fois qu'on aura eu des gros malaises de coureurs...

Non mais ça, d'accord. Partir vers 11h au lieu de 13h en plein cagnard, ça peut être facilement mis en place et la TV s'adapte bordel !

Je suis avec toi Steph mais je pense malheureusement que la télé ne s’adaptera pas et qu’au contraire, le Tour devra s’adapter.
Dans mes souvenirs, les demie finales homme de Roland Garros débutaient à 11h dans les années lycée (j’avais beau sécher les cours de l’après-midi, je ratais quand même le début de la première). Cette année, la première demie a commencé à 15h. OK, c’est peut-être à cause dé l’instauration des night-sessions. En 2019, la première demie avait été programmée à 13h. Je ne pense pas que ce soit là la volonté du tournoi.

[Iguane]

Beaucoup de coureurs ont indiqué qu'on avait atteint hier la limite de ce qui peut se faire en terme de températures.

Le syndicat des coureurs a été consulté mais rien n'a été fait.

Je crois qu'il va falloir se poser sérieusement la question pour ce type d'étape sous 40 degrés. J'ai peur qu'il y ait un drame un jour, surtout que ça diminue également les réflexes et augmente le risque de chute.


Voilà ce qu'en dit Madouas :

« Je ne me sentai [t] pas à 100 % au niveau des yeux » non plus. « Et les chutes des Jumbo sont liées à ça, c'est une évidence. Ça tapait fort sur la tête, ça joue forcément sur la lucidité, on fait des fautes qu'on ne fait pas d'habitude. Quand la température du corps dépasse un seuil, il se met en alerte, n'arrive plus à travailler. Pour moi, c'est la limite maximale. On ne peut pas dépasser ça, on n'est pas des bêtes de cirque non plus. »

Et Hofstetter :

"Il y a des alertes rouges dans la région, à la télé on dit aux gens de ne pas sortir et nous, on court quand même, on roule 210 kilomètres, pointait Hugo Hofstetter. Mais c'est nous qui acceptons ça. On a contacté le CPA (syndicat des coureurs professionnels) il y a deux jours et il n'y a pas de solutions qui ont été trouvées. Donc si on accepte, on roulera sous 50 ou 60 degrés, c'est comme ça. "

alors pour me faire une réelle idée, j'ai testé pour vous aujourd'hui : rouler sous + de 40° à l'ombre (mais y'avait pas d'ombre) cet après-midi :
Résultat :
- les 10 premières minutes : bof ça va, fait chaud mais comme quand on fait du sport (ou comme tout à l'heure dehors lorsque j'étais inactif)
- les 20 minutes suivantes : hausse graduelle du ressenti. La circulation de l'air ne refroidit pas du tout*. Boire ne suffit pas, il faut s'asperger, de + en + (au début les avant-bras, puis la tête, la nuque, les jambes, puis au plus d'endroits possibles. L'impression que se balancer de la flotte est plus efficace que boire. Aussi, après un peu plus de 20 minutes d'effort, léger dégoût/plus trop envie de boire bcp (j'ai repensé au gars du TDS qui avait abandonné car il arrivait pas à s'hydrater et se refroidir suffisamment).
- puis 20 minutes en plat, léger faux-plat descendant puis descente puis de nouveau plat : ben là je vous avoue que j'ai soufflé et que j'ai cherché à récupérer Beaucoup plus de brassage d'air mais au début ça refroidit pas du tout. Je me réhydrate et je me balance de la flotte. Au bout d'un moment ça va mieux
- puis quasi 10 minutes de montée assez raide : ça passe pas trop mal car pas trop long et car j'ai pu arrivé au pied en état presque correct. Et aussi parce qu'au 2 tiers je me suis arrêté pour me vider un 2e bidon (qui était dans le sac) sur le corps car le 1er bidon (qui était sur le porte-bidon) était vide

Un peu plus d'1 heure d'effort ; 1,5 L bu.

* faut dire que ces 30 premières minutes se sont faites en montée ou faux-plat montant, avec mon niveau actuel de chèvre sédentaire, + un sympathique vent de face de + de 20km/h. Donc ça n'allait pas très vite

Verdict : à partir d'un moment il devient difficile de se refroidir. Où fixer le curseur de température ? J'aurai dit à 45°C il faut réaménager la course. Finalement, 40°C apparaît comme plus raisonnable. Après ya plusieurs variables : il y a des phénomènes d'adaptation à la chaleur (lorsqu'on y est souvent confronté), il y a la vitesse d'évolution et il y a aussi l'approvisionnement en eau (pas sûr qu'il soit possible pour tous les coureurs du peloton d'avoir suffisamment régulièrement des bidons pour se rafraîchir le corps et le gosier). Il y a aussi la durée ainsi que l'intensité de l'effort
Et il y a enfin un côté personnel. Donc je dirai que dans certains cas, 40°C à l'ombre ça peut passer ; dans d'autres non

le ressenti pour moi c'est à peu près ça :
mais ça peut vite devenir ça

Le problème en course c'est que tu ne ravitailles pas comme tu veux.
Quand ça attaque en tête de peloton et que tu veux prendre la bonne, pas question de descendre à la voiture.
Autant sur un circuit c'est jouable avec un assistant qui te passe un bidon à chaque tour, autant sur une course en ligne ça peut être galère.
Pis y'a le fait que tu fais des efforts intenses en subissant souvent le rythme des autres,pas une sortie où tu te gères.

[blouss_]

Le problème en course c'est que tu ne ravitailles pas comme tu veux.
Quand ça attaque en tête de peloton et que tu veux prendre la bonne, pas question de descendre à la voiture.
Autant sur un circuit c'est jouable avec un assistant qui te passe un bidon à chaque tour, autant sur une course en ligne ça peut être galère.
Pis y'a le fait que tu fais des efforts intenses en subissant souvent le rythme des autres,pas une sortie où tu te gères.

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