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Putain vous faites chier j'ai fini par avoir un doute et demander la nationalité de Richard Carapaz à GougueuleBradounet_ a écrit : 25 mai 2018, 19:52 Le 5e de la course, c'est un Péruvien qui a encore moins de références en montagne chez les jeunes que Calméjane.
Si vous voulez, il reste l'Uruguay, le Paraguay, le Guatemala, Nicaragua Honduras Belize Costa Rica Panama...blagounet a écrit : 25 mai 2018, 20:36Putain vous faites chier j'ai fini par avoir un doute et demander la nationalité de Richard Carapaz à GougueuleBradounet_ a écrit : 25 mai 2018, 19:52 Le 5e de la course, c'est un Péruvien qui a encore moins de références en montagne chez les jeunes que Calméjane.
Si Carapaz roule, alors Lopez roule peut-être, et tout s'enchaine. Mais objectivement, la fin de l'étape montre que dans son objectif "maillot blanc", il a couru comme il le fallait. Il était moins fort que Carapaz, on l'a vu dès Finestre.nostradamus--dans--le--bus a écrit : 25 mai 2018, 20:27 On dirait que Sky et Astana roulait ensemble.
Lopez bluffe dès le pied, sky roule à fond, ce qui arrange bien Lopez qui est très fort, ensuite Lopez pourrit la poursuite en sachant que carapaz fera pareil, puis Pinot, puis Dumoulin.
L' attitude de Lopez a changé la face de ce Giro.
Après l' étape d' aujourdhui, demain personne sera à l' abris de prendre 6 ou 7 minutes.
OK je me suis mal exprimé : c’est une putain de performance athlétique mais ce n’est pas Mourenx 69 non plus.
: Froome épargné lorsqu'on peut l'enterrer et Nadal avec ses tirages au sorts moisi (même si il gagnerait quand même mais ça rajouterai du piquant). 
Alors là je n'ai aucune idée du niveau qu'avait Lopez sur le finestre. Totalement ahurissant (et un peu déplaisant). Au début le gars semble à la rupture mais revient toujours, façon Meintjes en pire. Quand Froome attaque il est très loin dans la file, pendant quelques hectomètres et alors que Dumoulin, Pinot, Carapaz sont déjà détachés aussi il parait fini puis tu le vois revenir tranquillou et faire ensuite pendant des km son numéro avec 3/4 secondes de retard tout en donnant l'impression de pouvoir revenir comme il veut. Ce qu'il fait sur le haut d'ailleurs notamment au moment où Pinot fait un relais très fort qui fait mal à Dumoulin et où superman sans problème revient sur ce beau monde qui semblait à bloc. Je ne sais s'il a monté surtout au SRM où autre mais c'était vraiment bizarre.biquet a écrit : 25 mai 2018, 20:39
Si Carapaz roule, alors Lopez roule peut-être, et tout s'enchaine. Mais objectivement, la fin de l'étape montre que dans son objectif "maillot blanc", il a couru comme il le fallait. Il était moins fort que Carapaz, on l'a vu dès Finestre.
La seule comparaison possible pour moi, c'est Landis 2006. Pantani y'avait les conditions météo catastrophiques et c'était fin de col + descente + montée. Quant à Schleck, bien moins long, équipiers à l'avant et il perd 2 minutes 30 quasiment sur les 9 derniers kilomètres.Boris a écrit : 25 mai 2018, 21:18OK je me suis mal exprimé : c’est une putain de performance athlétique mais ce n’est pas Mourenx 69 non plus.
La preuve, on a été bien en peine pour ranker la perf de Froome par rapport à Pantani les 2 Alpes 98, Landis Morzine 2006 ou Schleck Galibier 2011 (en tous cas, y a eu débat).
+ 10000 notamment la comparaison avec Aru 2015Bradounet_ a écrit : 25 mai 2018, 19:22Son Giro fait penser à celui d'Aru en 2015 (HAUT-BAS-HAUT avec coup de froid avancé pour expliquer le coup de barre)Liam a écrit : 25 mai 2018, 19:06 A partir d'aujourd'hui j'espère qu'on ne dira plus trop de bêtise sur Pinot, sur sa prépa, ses pics de forme, sa progression, l'évolution de son profil sur les différents types d'efforts, sa place dans la hiérarchie des grimpeurs etc...
On a tout lu depuis mardi. Si je concède qu'il a un problème à garder une santé stable et que c'est problématique, pour le reste il faut arrêter. C'est un coureur de GT, un coureur qui aime les enchaînements de cols, récupère très bien, c'est un grimpeur "long" très fort dans les efforts soutenus de plusieurs dizaines de minutes, à l'aise dans les pourcentages supérieurs à 8% et c'est un coureur qui progresse d'une manière générale dans tous les domaines. Y compris en montagne. Son Finestre est de très haut niveau, il avait du jus en haut en faisant mal à Dumoulin sur un relais et en revenant très vite après sa crevaison, puis dans la montée de Jaffreau il est encore assez à l'aise pour gérer Lopez qui n'en a pas foutu une de la journée. Il réalise une très grosse étape. Peut-être la plus grande étape de sa carrière sur un GT.
Faut juste que Madiot impose Denis Troch à Pinot comme binôme de chambrée sur tout un GT et il pourra viser régulièrement les podiums. Il a somatisé pendant tout le jour de repos à mon avis, ça lui a bouffé toute son énergie.
Pinot renaît souvent de ses cendres quand il n'a plus rien à perdre et que toute la pression qui pesait sur ses épaules les jours passés n'existe plus et qu'o nn'attend presque plus rien de lui.
La manière dont il répond à Mlle Bricogne hier, quand il ne précise pas clairement ce qu'il a "oui, un peu tout ça" lorsqu'elle lui demande s'il est fatigué ou malade, ça fait un peu "ne m’embêtez pas avec vos questions, n'attendez plus rien de moi, je ne suis pas bien". Pinot dramatise souvent la situation je trouve, on fait passer ça pour un discours sans langue de bois et nature, mais il en profite surtout pour faire baisser la pression médiatique qu'il a du mal à gérer.
Après oui, aujourd'hui, il était clairement sur son terrain de jeu, et je le voyais encore 3 ou 4e après le chrono (voir un de mes posts dans le topic Groupama). C'est seulement hier que j'ai douté.
D'ailleurs, je m'étonne de voir Pinot répondre à des gus sur Twittero ou liker des tweets entre deux étapes, ça me surprend beaucoup, ça veut dire qu'il doit regarder tout ce qu'il se dit sur lui après la course, c'est vraiment le truc à éviter, il faut qu'il reste dans sa bulle.
+1bambou a écrit : 25 mai 2018, 19:51 MAL n'avait pas de bonnes jambes aujourd'hui, il est à la limite dès le pied du Finestre mais réussit à revenir sur le bon groupe en gérant son effort, ensuite dans Jafferau deux attaques molles et il n'est pas fort sur le sprint, du coup difficile de lui reprocher de pas être passer sur le plat, sachant qu'il n'est pas non plus un bon rouleur. Bref je pense pas qu'il faille le considérer comme un raton dès maintenant, je relativise un peu.
un putain de panache. Bien amené par son équipe qu'il peut remercier et dont le pic de forme s'aligne sur celui de Froome. La sky met tout le monde à bloc sur le finistre et Froome se fait la malle à 80 km de l'arrivée. Il en faut des couilles et de la testo (naturelle ou non 
) . Il a creusé l'écart dans les 2 premières montées et les descentes et a tenu tout le long en faisant jeu égal dans la dernière ascension je n'y croyais pas. Maillot rose mérité il a chamboulé le giro 
). Plus triste pour Pozzo qui craque aussi sans prévenir, l'age sans doute 
, au revoir le podium à priori pour lui , c'est pour Pinot 
, dommage car au final ses relais ont permis aux autres de souffler mais pas de rattraper Froome , et il a fait perdre du temps en descente en forcant les autres à l'attendre. Ce qui restait quand meme la bonne solution. Mais ca fait des dizaines de secondes perdues betement. , Carapuce qui tape les bonifs et la seconde place à la fin j'ai envie de le baffer 
