AlbatorConterdo a écrit : 19 sept. 2020, 17:52 3 Belges aux 3 premières places
La Belgique, la nouvelle Colombie.![]()

Valentin Paret-Peintre a gagné à la pédale ou pas ?
AlbatorConterdo a écrit : 19 sept. 2020, 17:52 3 Belges aux 3 premières places
La Belgique, la nouvelle Colombie.![]()
C'est exact. Je me suis contenté du classement de PCS sans allé vérifier. Je suis plutôt rassuré du coup.jimmy39 a écrit : 19 sept. 2020, 17:30Mais pourquoi PCS les met 3ème alors qu’ils auraient plutôt fait 12Orodreth a écrit : 19 sept. 2020, 16:45 Je me demande comment les Lizarte ont pu faire 3e hier. Alors Raúl García et Iván Cobo sont de bons rouleurs mais ils sont plusieurs à être malades. Très étonné du résultat du coup. C'était sans doute leur meilleur résultat sur un TTT à ce niveau.![]()
Il y avait/a les futurs professionnels de la Kern Pharma quand-même.LGDens37 a écrit : 19 sept. 2020, 18:56AlbatorConterdo a écrit : 19 sept. 2020, 17:52 3 Belges aux 3 premières places
La Belgique, la nouvelle Colombie.![]()
Après, je ne trouve pas le plateau si élevé cette année (bon, l'E2 Henri Vandenabeele semble très prometteur quand même).
Ben justement, ils ne s'entrainent pas autant qu'ils le devraient.Quintala a écrit : 20 sept. 2020, 23:36 Au moins cette fois, la course étant en Septembre, ils étaient un peu moins livides que d'habitude (je ne comprends pas comment on peut passer des heures et des heures dehors à rouler et pourtant être quasi-unanimement blancs comme des culs).
Les coureurs pas bien bronzés donc ceux du gruppetto, si tu m'as bien suivi, risquent le gros coup de soleil, exposés trop longtemps dans les cols (l'albédo des montagnes est important), ils préfèrent alors vite s'abriter à l'ombre ou s'arrêter pour se repasser une couche d'écran total mais le dernier jour, le flacon est souvent vide, alors pas le choix, ils sont obligés de repartir en voiture, souvent dans le coffre quand le soleil est encore trop violent. On a eu des cas de combustions spontanées les années précédentes avec des coureurs du dernier gruppetto, des Bretons, qui jouaient trop avec les délais sur la dernière étape. Depuis, plus personne n'a envie de rigoler avec ça.Quintala a écrit : 20 sept. 2020, 23:36 Sinon, j'ai une question sur laquelle vous, qui fréquentez ce milieu ou connaissez ces principes et ses mentalités, pourrez sûrement m'éclairer. Ce qui m'étonne à chaque fois c'est le nombre d'abandons sur la dernière étape. On a toujours des coureurs qui plient les gaules, sans problème handicapant, alors qu'après 3 ou 4 jours de course il ne reste qu'une montée à faire (ou même pas). Parmi les engagés, beaucoup ne perceront jamais, et ce sera probablement la seule course de leur vie où ils auront eu l'occasion de se frotter au très haut niveau (en outre il y a très peu de courses de ce type) ; il me semble qu'à leur place j'aurais à cœur de terminer, si possible dans les délais, mais même hors-délais ; en plus ils ont déjà fait le plus dur ... De surcroît, si je prends le cas d'aujourd'hui le dernier qui est allé jusqu'à la fin est arrivé avec 10 minutes d'avance sur le délai limite, il y avait de la marge pour d'autres. Il semble donc y avoir soit un aspect pratique, soit un état d'esprit, qui m'échappe.
Je me demande si ce n'est pas au contraire l'absence d'équipe russe cette année qui a joué sur la coloration moyenne.Bradounet_ a écrit : 21 sept. 2020, 01:56Ben justement, ils ne s'entrainent pas autant qu'ils le devraient.Quintala a écrit : 20 sept. 2020, 23:36 Au moins cette fois, la course étant en Septembre, ils étaient un peu moins livides que d'habitude (je ne comprends pas comment on peut passer des heures et des heures dehors à rouler et pourtant être quasi-unanimement blancs comme des culs).
On reconnait le jeune coureur français à son teint pale généralement, il y a quelques exceptions mais après c'est de l'ordre congénital.
Non mais on parle d'une course qui a lieu dans les Pyrénées, qui plus est finissant dans le Couserans. Le soleil y est aussi fréquent qu'en Bretagne et la pluviométrie plus élevée, puisque tu parles des Bretons plus bas. L'arrivée du Tour de France dans la région en troisième semaine y est généralement saluée par les commentateurs TV par la fameuse phrase « Premier jour de pluie sur le Tour de France depuis le départ ! »Les coureurs pas bien bronzés donc ceux du gruppetto, si tu m'as bien suivi, risquent le gros coup de soleil, exposés trop longtemps dans les cols (l'albédo des montagnes est important),Sinon, j'ai une question sur laquelle vous, qui fréquentez ce milieu ou connaissez ces principes et ses mentalités, pourrez sûrement m'éclairer. Ce qui m'étonne à chaque fois c'est le nombre d'abandons sur la dernière étape. On a toujours des coureurs qui plient les gaules, sans problème handicapant, alors qu'après 3 ou 4 jours de course il ne reste qu'une montée à faire (ou même pas). Parmi les engagés, beaucoup ne perceront jamais, et ce sera probablement la seule course de leur vie où ils auront eu l'occasion de se frotter au très haut niveau (en outre il y a très peu de courses de ce type) ; il me semble qu'à leur place j'aurais à cœur de terminer, si possible dans les délais, mais même hors-délais ; en plus ils ont déjà fait le plus dur ... De surcroît, si je prends le cas d'aujourd'hui le dernier qui est allé jusqu'à la fin est arrivé avec 10 minutes d'avance sur le délai limite, il y avait de la marge pour d'autres. Il semble donc y avoir soit un aspect pratique, soit un état d'esprit, qui m'échappe.
Dernier jour qui tombe bien sûr un dimanche donc tout est fermé.ils préfèrent alors vite s'abriter à l'ombre ou s'arrêter pour se repasser une couche d'écran total mais le dernier jour, le flacon est souvent vide,
D'après mes observations ils préfèrent monter à 70 km/h accrochés aux portièresalors pas le choix, ils sont obligés de repartir en voiture, souvent dans le coffre quand le soleil est encore trop violent.