Lu dans Het Nieuwsblad de ce matin, traduction littérale de ce que Vegni aurait dit: "Je veux que l'équipe française refuse son invitation ...".
Pas moins ....
Modérateur : Modos VCN
Lu dans Het Nieuwsblad de ce matin, traduction littérale de ce que Vegni aurait dit: "Je veux que l'équipe française refuse son invitation ...".
Sauf que TDE est plus proche de faire l'impasse sur la Vuelta que le Giro.
Non ,fragile et vulnerable.Nopik a écrit : 26 oct. 2019, 19:52 J'avais cru comprendre que le système actuel était abominable et sans avenir.
Ca me rappelle un de mes posts sur ce même topic:wallers a écrit : 29 oct. 2019, 00:41 Dans un long courier en anglais, l'AIGCP (l'Association Internationale des Groupes Cyclistes Professionels) déterre une nouvelle fois la hache de guerre contre l'UCI.
https://www.cyclingnews.com/news/teams- ... sentation/
Les meilleurs passages sont ceux qui décrivent la démocratie de l'UCI :
...
Ce passage est également savoureux :
"Les courses ne sont pas enregistrées en tant que courses ProSeries sur la base de critères objectifs mais plutôt pour des raisons politiques et / ou des préférences personnelles.
Avec tout le respect pour l'événement en lui-même, la course dans la ville natale du Président, le GP Plumelec, a même été promue à ce niveau, alors que cette course, dans les 3 dernières années, n'a jamais été en mesure d'attirer ne serait-ce qu'une seule équipe World Tour étrangère."
+1allezlasse a écrit : 29 oct. 2019, 14:29 L'AIGCP est dirigée par Iwan Spekenbrink et Richard Plugge, qui sont les patrons de Sunweb et Jumbo, deux équipes qui appartiennent à Velon.
Les compromissions et les conflits d'intérêts, ils sont partout. Méfiez-vous du doigt qui pointe.
Je me disais aussi que ça faisait longtemps.allezlasse a écrit : 29 oct. 2019, 14:29 L'AIGCP est dirigée par Iwan Spekenbrink et Richard Plugge, qui sont les patrons de Sunweb et Jumbo, deux équipes qui appartiennent à Velon.
Les compromissions et les conflits d'intérêts, ils sont partout. Méfiez-vous du doigt qui pointe.
Forcément, vu que tu es un defenseur de Velon, tu peux avoir pris le truc personnellement.jicébé a écrit : 29 oct. 2019, 16:37Je me disais aussi que ça faisait longtemps.allezlasse a écrit : 29 oct. 2019, 14:29 L'AIGCP est dirigée par Iwan Spekenbrink et Richard Plugge, qui sont les patrons de Sunweb et Jumbo, deux équipes qui appartiennent à Velon.
Les compromissions et les conflits d'intérêts, ils sont partout. Méfiez-vous du doigt qui pointe.
Après tout, rien n'interdit à Madiot, Lavenu et/ou Vasseur de se présenter à la présidence.
Non mais ce n'est pas la question.jicébé a écrit : 29 oct. 2019, 16:37Je me disais aussi que ça faisait longtemps.allezlasse a écrit : 29 oct. 2019, 14:29 L'AIGCP est dirigée par Iwan Spekenbrink et Richard Plugge, qui sont les patrons de Sunweb et Jumbo, deux équipes qui appartiennent à Velon.
Les compromissions et les conflits d'intérêts, ils sont partout. Méfiez-vous du doigt qui pointe.
Après tout, rien n'interdit à Madiot, Lavenu et/ou Vasseur de se présenter à la présidence.
Il ne manquerait pas un C a CCP !wallers a écrit : 29 oct. 2019, 00:41 Dans un long courier en anglais, l'AIGCP (l'Association Internationale des Groupes Cyclistes Professionels) déterre une nouvelle fois la hache de guerre contre l'UCI.
https://www.cyclingnews.com/news/teams- ... sentation/
Les meilleurs passages sont ceux qui décrivent la démocratie de l'UCI :
"L’UCI a choisi de structurer la gouvernance du cyclisme sur route professionnel masculin de manière à ce que les équipes et leurs coureurs n’ont aucun mot à dire.
Le seul pouvoir réel réside dans le comité de direction de l’UCI, qui peut introduire et modifier les règles à sa guise, de manière totalement isolée et sans consulter les parties prenantes.
Au sein du Conseil du Cyclisme Professionnel (qui régit l’UCI WorldTour), les équipes ne détiennent que deux places sur douze, l’UCI détenant elle-même la moitié des sièges.
Même au sein de la tentative viciée de démocratie restreinte incarnée par le CCP, les processus sont également incohérents et ne fonctionnent pas correctement. L’UCI décide ce qui est à l’ordre du jour et ce qui ne l’est pas. Même s’il a été convenu précédemment que certains sujets doivent figurer à l’ordre du jour, l’UCI peut décider de les omettre simplement. Et si des sujets sont abordés par les équipes, le président de l’UCI (qui n’est même pas membre du CCP) peut décliner l’idée / la demande sans discussion supplémentaire.
De plus, dans le cas où une proposition de l’UCI dans le CCP n’obtiendrait pas l’appui des équipes, il n’est pas rare que les représentants des équipes soient dénigrés lors de la réunion."
Ce passage est également savoureux :
"Les courses ne sont pas enregistrées en tant que courses ProSeries sur la base de critères objectifs mais plutôt pour des raisons politiques et / ou des préférences personnelles.
Avec tout le respect pour l'événement en lui-même, la course dans la ville natale du Président, le GP Plumelec, a même été promue à ce niveau, alors que cette course, dans les 3 dernières années, n'a jamais été en mesure d'attirer ne serait-ce qu'une seule équipe World Tour étrangère."