biquet a écrit : 11 sept. 2019, 17:33
Sur le double plan du collectif et de l'attaque, Movistar réalise quand même une sacrée Vuelta..

Bizarre de dire ça pour une équipe habituée à faire marrer les suiveurs par leurs tactiques souvent incompréhensibles et leurs guerres des egos, mais pour cette fois, on ne peut pas leur reprocher grand chose. Au contraire, j'irai même jusqu'à penser qu'il faudrait les applaudir.
Dans toute cette affaire, je constate surtout qu'ils ont réussi à faire perdre une place à leur leader.
Faut-il applaudir ?
Alors que Soler devait être 100% dévoué à Valverde sur cette fin de GT, voilà-t-il pas que désormais il va devoir biberonner le vieil Inca dès que celui-ci aura perdu le contact et Valverde sera laissé à son triste sort devant, totalement à découvert, et risquant de se faire déborder par les deux jeunes.
Je vois venir le gag avec les Movistar 4 et 5 du général...
J'espère donc que Soler restera l'équipier de Valverde pour le reste de la course.
Naironman aurait déjà pu faire podium du TdF voire mieux cette année grâce à cette nouvelle stratégie du has been dont on ne se méfie plus qui part dans les échappées et retrouvent ses jambes d'il y a vingt ans :
1/ s'il avait choisi de s'échapper sur la bonne étape, celle de l'Iseran où les temps furent pris au sommet. C'était le hold up parfait.
2/ Ou si le macaque de Barbarie au volant de la voiture Movistar n'avaient pas ordonné à l'équipe d'embrayer à Valloire derrière Quintana où la prise de temps aurait pu être bien plus conséquente.