Tour de France 2019 | Étape 12 : Toulouse > Bagnères-de-Bigorre, 210 km | Jeudi 18 Juillet

[gradouble]

Le Tourmalet est dur, mais c'est quand même surtout par La Mongie qu'il fait de sacrés dégâts systématiquement. Par Ste Marie de Campan, c'est un vrai monstre avec 12 derniers km à près de 9% de moyenne et on y voit à chaque fois un sacré chantier.

Par Luz St Sauveur, c'est long et difficile, mais jamais très difficile et les 11 premiers km se font sur une route parfaite et très large avant de prendre une vraie route de haute montagne. Il n'y a que la fin qui est vraiment raide (1500 dernier mètres à 10 %) et il est quand même probable qu'on voit un gros groupe (20 coureurs) jusqu'aux 1500 derniers mètres. C'est le cyclisme actuel...

Mais l'as-tu déjà monté?

Je l'ai gravi 2 fois de chaque côté et je trouve le côté Luz-Barèges plus difficile. Pour moi il y a moyen de faire des dégâts.
Mais bon, en fait je crois que les 2 versants sont à peu près équivalents.

[gradouble]

Pluie fine en ce moment à St Gaudens.

Par ailleurs, je comprends pourquoi le Tour reste un événement en France :
Ici la ville va être coupée en deux pendant 5 heures, tout le monde en parledepuis des jours. L'hôpital est sur 2 sites qui sont bien sûr séparés par le passage. C'est la visite du grand barnum, c'est le grand défilé estival, tout le monde est en émoi et les gosses sont au taquet. C'est marrant, même ceux qui ne connaissent pas grand chose au vélo se sentent concernés par le gros bidule.
Alors, même si la course est nulle, même si les coureurs semblent ne rien branler, même si les DS se foutent de notre gueule, et bien je crois que ce n'est pas demain que le Tour ne sera plus populaire.

[Akaion]

Pluie fine en ce moment à St Gaudens.

Par ailleurs, je comprends pourquoi le Tour reste un événement en France :
Ici la ville va être coupée en deux pendant 5 heures, tout le monde en parledepuis des jours. L'hôpital est sur 2 sites qui sont bien sûr séparés par le passage. C'est la visite du grand barnum, c'est le grand défilé estival, tout le monde est en émoi et les gosses sont au taquet. C'est marrant, même ceux qui ne connaissent pas grand chose au vélo se sentent concernés par le gros bidule.
Alors, même si la course est nulle, même si les coureurs semblent ne rien branler, même si les DS se foutent de notre gueule, et bien je crois que ce n'est pas demain que le Tour ne sera plus populaire.

C'est ce que je me disais hier pour Lavaur, on a vu arriver les campings car un peu partout avant et après la ville, sortant chacun leurs drapeaux, leurs maillots etc. On parle du Tour depuis des mois, il y avait plein d'animations en ville liées au Tour de France; on était pendant 48 heures (vu que jour de repos avant) dans le Tour de France, c'était génial. Une heure avant la caravane, il n'y avait plus de bruit dans la ville, les commerces s'étaient pour la plupart arrêtés. Les gens mangeaient en famille pour ensuite aller voir la caravane puis les coureurs.
Une fois que le Tour est passé, la circulation a été vite réouverte, et là tout d'un coup, la ville est redevenue ce qu'elle était, ça m'a vraiment fait bizarre, Noel était passé.

Comme toi, je pense que le Tour de France a encore de belles années devant lui.

[biquet]

Le Tourmalet est dur, mais c'est quand même surtout par La Mongie qu'il fait de sacrés dégâts systématiquement. Par Ste Marie de Campan, c'est un vrai monstre avec 12 derniers km à près de 9% de moyenne et on y voit à chaque fois un sacré chantier.

Par Luz St Sauveur, c'est long et difficile, mais jamais très difficile et les 11 premiers km se font sur une route parfaite et très large avant de prendre une vraie route de haute montagne. Il n'y a que la fin qui est vraiment raide (1500 dernier mètres à 10 %) et il est quand même probable qu'on voit un gros groupe (20 coureurs) jusqu'aux 1500 derniers mètres. C'est le cyclisme actuel...

Mais l'as-tu déjà monté?

Je l'ai gravi 2 fois de chaque côté et je trouve le côté Luz-Barèges plus difficile. Pour moi il y a moyen de faire des dégâts.
Mais bon, en fait je crois que les 2 versants sont à peu près équivalents.

Jamais escaladé, mais dans le club cyclo voisin, c'est du 50-50. Y en qui trouvent le côté Barèges plus dur, et d'autres c'est par Gripp. Mais c'est vrai que si ça embraye dès le pied, ça peut faire du vilain.

Tourmalet, que ce soit par 1 côté ou par l'autre, ça reste un des 3 ou 4 cols les plus durs des Pyrénées (le Port de Larrau étant sans doute le n°1). Après, c toujours pareil. C'est la vitesse qui crée la difficulté, chez les pros. Si Ineos, Astana ou FDJ décident de durcir, y aura des dégâts.

[Allobroges]

Le Tourmalet est dur, mais c'est quand même surtout par La Mongie qu'il fait de sacrés dégâts systématiquement. Par Ste Marie de Campan, c'est un vrai monstre avec 12 derniers km à près de 9% de moyenne et on y voit à chaque fois un sacré chantier.

Par Luz St Sauveur, c'est long et difficile, mais jamais très difficile et les 11 premiers km se font sur une route parfaite et très large avant de prendre une vraie route de haute montagne. Il n'y a que la fin qui est vraiment raide (1500 dernier mètres à 10 %) et il est quand même probable qu'on voit un gros groupe (20 coureurs) jusqu'aux 1500 derniers mètres. C'est le cyclisme actuel...

Mais l'as-tu déjà monté?

Je l'ai gravi 2 fois de chaque côté et je trouve le côté Luz-Barèges plus difficile. Pour moi il y a moyen de faire des dégâts.
Mais bon, en fait je crois que les 2 versants sont à peu près équivalents.

C'est donc selon chacun.
Moi, je trouve la montée par Barèges plus longue, avec des moments de répits (un km trankilou à SuperBarèges notamment) et surtout j'ai l'image d'une ascension qui se fait plutôt à l'ombre.
Par La Mongie, ca _débande jamais, le pente est à 10% tout le temps et souvent c'est sous la cagnat.

Bon, après, c'est près de 100 bornes, ca va se jouer à la giclette entre les cadors (après, faut espérer un top 25 dans la grosse échappée matinale pour éviter la procession sur le Soulor...)

[marooned]

Pour avoir gravi également les deux versants du Tourmalet, je trouve celui par Sainte-Marie-de-Campan plus dur mais celui de Luz-St-Sauveur est en revanche beaucoup plus joli.

[Lemon-Curry]

Par contre je crois que vous avez le mauvais topic. Le Tourmalet c'est après-demain, cette aprem y'a Peyresourde et la Hourquette c'est dans six ans.

[Gino Bartali]

Par ailleurs, je comprends pourquoi le Tour reste un événement en France :
(...) je crois que ce n'est pas demain que le Tour ne sera plus populaire.

C'est ce que je me disais hier pour Lavaur, on a vu arriver les campings car un peu partout avant et après la ville, sortant chacun leurs drapeaux, leurs maillots etc. (...) Une heure avant la caravane, il n'y avait plus de bruit dans la ville, les commerces s'étaient pour la plupart arrêtés. (...) Comme toi, je pense que le Tour de France a encore de belles années devant lui.

Même sentiment, je ne fais qu'une étape par an, et je ne sors plus sur le reste du calendrier, mais là, sur l'étape de Lavaur, c'est dingue l'engouement des gens au bord de la route. Sans vouloir choquer, mais c'est pourtant moisi au carré, la caravane: l'impression d'une meute de bonobos qu'on grêle de cacahuètes frelatées. J'étais avec des gens qui ont une petite conscience politique, voire militante, et qui étaient fiers de mettre le drapeau continental sur le pare-brise ou le bob skoda sur le crâne, ou qui s'interrogeaient sur leclerc qui remplace carrefour: j'avoue que ça me défrise. Dans mon virage, ça gueulait "allez Thomas !" parce que tout le monde pensait que c'était lui le De Gendt annoncé échappé, et un sondage rapide donnait Alaphilippe à 100% en jaune à Paris. C'est beau, l'amour du vélo, et faut de l'abnégation pour souffrir les masses laborieuses .

[matthmic]

Apparemment Jasper Philipsen ne repartirai pas ce matin (je sais pas si ça a déjà été signalé).

[Gino Bartali]

Par contre je crois que vous avez le mauvais topic. Le Tourmalet c'est après-demain, cette aprem y'a Peyresourde et la Hourquette c'est dans six ans.

Faut bien meubler tant qu'on n'a pas la compo de l'échappée royale.

[Boris]

Si on se fie aux résultats de cette année, et à la forme incroyable d' Alaf, est ce que ce serait une surprise qu' il batte Thomas sur le chrono ?

Je demande ça car thomas n' a pas fait mieux qu' une neuvième place en 5 chronos cette année.

Et comme je ne vois pas Alaf terminer hors du TOP 10 sur ce chrono vallonné...

Ce sera surement serré entre les deux. Alaf a déjà gagné des chrono. Il est devenu très puissant sur le plat. Et sa forme est incroyable.

Alaf risque de perdre 5 ou 10 minutes quand il craquera... Mais je pense pas que ce sera avant dimanche à mon avis. Meme le Tourmalet il le passera.

Il a telment progressé cette année, je pense que Samedi soir Ineos pourrait se poser des questions et tenter quelque chose Dimanche en mode rouleau compresseur.

La journée de repos plus l' étape tranquille d' hier ont du lui faire le plus grand bien. Il va falloir lui imposer 2 ou 3 jours intensifs pour le voir lacher maintenant.

S' il craque pas dans les pyrennées, l' étape de Valloire sera plus intéressante que prévue.

Ouais enfin, se fier aux résultats jusque là de Thomas pour juger de son état de forme, c'est prendre le risque de prendre une grosse baffe, un peu comme aux JO tous les 4 ans avec les pistards brits.

Et le G. nous a montré, certes fugacemment, en deux occasions qu'il a l'air costaud cette année encore (la Planche et après sa gamelle vers Sainté).

Après, vue la forme actuelle d'Alaph et la tronche des 2 étapes à venir, on peut penser qu'Alaph sera encore au jaune au pied du Tourmalet; en haut, c'est une autre histoire...

[BennyFDJ]

J'arrive après la guerre pour parler de Pinot
Oui je sais, vous en rêviez, je le fais !!

Juste pour dire, il est tombé malade mais plus tard sur ce Tour 2013. Le vrai problème en 2013 c'est la pression qu'il n'a pas supporté suite à son Tour 2012 extraordinaire pour un gamin de 22 ans. Et donc la chaleur n'était pas le réel problème rencontré ce jour-là...

rbl avait posté un interview de lui sur le topic du Tour de France 2019, à la page suivante.
viewtopic.php?f=3&t=67689&start=2420

L'extrait où il parle de ce Tour 2013, en gras l'étape en question et son angine plus tardive. Bonne lecture !!

Ce qui est une bonne chose ou pas ?
Un peu des deux, forcément. Il n'y a plus d'insouciance, mais tu deviens un vrai coureur, et c'est ce que j'ai toujours voulu être. Le Tour se passe, je fais encore deuxième à la Toussuire devant les favoris (lors de la 11e étape, quatre jours plus tard), je passe un palier et arrive le Tour 2013, où je prends une claque dans la gueule comme je n'en ai jamais pris. À partir de ce jour-là, il y a des étiquettes qui se sont collées à moi, parce que je "pète" dans une descente (dans le port de Pailhères), alors que je n'étais même pas lucide et que je ne me souviens de rien, les journalistes, comme quoi je ne les aime pas, ou la pression médiatique. Ces étiquettes, je les aurai jusqu'à la fin de ma carrière, mais personne ne se rend compte qu'à vingt-trois ans, on te lâche au milieu du Tour, on n'avait pas d'attaché de presse, j'avais des journalistes au téléphone trois fois par jour, j'étais complètement usé, cramé. Je n'étais pas prêt du tout à être leader.

Vous aviez senti tout ça avant le départ du Tour en 2013 ?
Oui, la pression m'a bouilli la cervelle. J'ai fait le Tour de Suisse cette année-là, je crois que je finis quatrième (à 1'26'' du Portugais Rui Costa). Donc j'étais en bonne condition pour jouer sur le Tour, mais entre la Suisse et le Tour, la pression monte et puis ça explose.

Dans quel état étiez-vous arrivé sur le Tour ?
Au moment de faire ma valise le mercredi matin, je m'en souviendrai toute ma vie, j'en pleurais. Parce que je n'avais pas envie et je sentais que ça allait mal se passer. Je pleurais, j'étais fatigué mentalement et je savais très bien que je ne pouvais pas assumer ce qu'on allait me demander, que ce soit vis-à-vis de l'équipe, qui avait été construite autour de moi, et surtout l'attente du public et des médias. Mais je devais faire face, donc j'ai dû mentir, dire que j'étais en condition alors que je ne l'étais pas. À vingt-trois ans, j'étais trop jeune.

Vous en êtes-vous ouvert à l'époque ?
J'en ai parlé à mon frère (Julien, aussi entraîneur de Groupama-FDJ), mais c'est tout. Je suis quelqu'un qui garde beaucoup de choses, trop de choses.

On se souvient de vous en Corse, après la 3e étape, assis sur une glacière, totalement carbonisé...
Oui, c'était compliqué. Par rapport à 2012 où le Tour était encore un jeu, là je me suis rendu compte que ça n'en était plus un. J'étais lâché au milieu de tout le monde, et je n'étais pas du tout prêt pour tout ça. Mon frère avait dit dans une interview que gagner à Porrentruy, c'était bien, mais que ça allait me desservir pour plus tard. Et c'était une vérité.

Racontez-nous cette fameuse descente du port de Pailhères...
Déjà dans le col, je ne sais pas comment je fais pour basculer avec les favoris et après je suis carbonisé, je ne suis plus lucide. Tout s'emmêle, je chope une angine, je monte le mont Ventoux à quarante de fièvre, le deuxième pire moment de ma carrière après le Giro l'an dernier (victime d'une défaillance à la veille de l'arrivée, il sera même hospitalisé en proie à des problèmes respiratoires). L'épuisement, et puis t'entends les gens au bord de la route qui disent : "Ah, c'est Pinot, qu'est-ce qu'il fout là ?" C'est horrible (il rigole). Je n'étais même pas capable de suivre le gruppetto. J'avais peur pour moi, je suis arrivé dans le bus dans un état pas possible, je suis allé au lit à 18 heures, je me suis réveillé le lendemain matin, et je suis rentré chez moi, en voiture.

[Dreki]

C'est ce que je me disais hier pour Lavaur, on a vu arriver les campings car un peu partout avant et après la ville, sortant chacun leurs drapeaux, leurs maillots etc. (...) Une heure avant la caravane, il n'y avait plus de bruit dans la ville, les commerces s'étaient pour la plupart arrêtés. (...) Comme toi, je pense que le Tour de France a encore de belles années devant lui.

Même sentiment, je ne fais qu'une étape par an, et je ne sors plus sur le reste du calendrier, mais là, sur l'étape de Lavaur, c'est dingue l'engouement des gens au bord de la route. Sans vouloir choquer, mais c'est pourtant moisi au carré, la caravane: l'impression d'une meute de bonobos qu'on grêle de cacahuètes frelatées. J'étais avec des gens qui ont une petite conscience politique, voire militante, et qui étaient fiers de mettre le drapeau continental sur le pare-brise ou le bob skoda sur le crâne, ou qui s'interrogeaient sur leclerc qui remplace carrefour: j'avoue que ça me défrise. Dans mon virage, ça gueulait "allez Thomas !" parce que tout le monde pensait que c'était lui le De Gendt annoncé échappé, et un sondage rapide donnait Alaphilippe à 100% en jaune à Paris. C'est beau, l'amour du vélo, et faut de l'abnégation pour souffrir les masses laborieuses .

Sans remettre en cause la ferveur populaire qu’engendre le Tour de France, j’en profite qu’on parle de ça pour casser le mythe de l’audience du Tour, soit disant événement sportif annuel le plus regardé au monde.

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/ar ... 55770.html

Âme sensible s’abstenir, vous ne pourrez plus vous défendre en soirée devant vos amis quand vous avouerez mater le Tour de France et qu’ils vous regarderont comme un ovni.

[JFKs]

Comme Federer à Wimbledon

Federer était malade

[Iguane]

Par contre je crois que vous avez le mauvais topic. Le Tourmalet c'est après-demain, cette aprem y'a Peyresourde et la Hourquette c'est dans six ans.

Faut bien meubler tant qu'on n'a pas la compo de l'échappée royale.

Pasqualon - Herrada - Taaramae - Rosskopf - Bernard - Montfort - Erviti -Kämna - Tratnik - Houle, rien que du rêve en barre.

[Gino Bartali]

Faut bien meubler tant qu'on n'a pas la compo de l'échappée royale.

Pasqualon - Herrada - Taaramae - Rosskopf - Bernard - Montfort - Erviti -Kämna - Tratnik - Houle, rien que du rêve en barre.

Respect pour tous ces champions qui nous font rêver. Mais si on peut ajouter Nibali ou un top20...

[Le sucre sportif]

Faut bien meubler tant qu'on n'a pas la compo de l'échappée royale.

Pasqualon - Herrada - Taaramae - Rosskopf - Bernard - Montfort - Erviti -Kämna - Tratnik - Houle, rien que du rêve en barre.

Non mais ho ! Mettre Bernard dans ta liste de naze faut pas pousser : je te suggère de revoir Liège-Bastogne-Liège de cette année, et l'étape où Ciccone va chercher le maillot jaune aussi

Je l'imaginais faire un beau duo avec Ciccone pour aller chercher le maillot à pois, mais je suis inquiet pour Ciccone et je ne vois pas en Bernard la mentalité d'un gagneur, de quelqu'un qui se défonce pour ses intérêts perso (un peu comme Adrien Petit par exemple) mais je ne demande qu'à me tromper

Herrada aussi, tu parles de celui qui a battu Bardet au sommet du Ventoux
Kämna vu son tour de Suisse et Taaramae peuvent aussi faire des étincelles
Erviti, Backaert, Houle, tratnik, Rosskopf pour mettre K.O. le peloton pendant la longue portion plate de début d'étape

Ca va être bieng

[Gino Bartali]

Pasqualon - Herrada - Taaramae - Rosskopf - Bernard - Montfort - Erviti -Kämna - Tratnik - Houle, rien que du rêve en barre.

Non mais ho ! Mettre Bernard dans ta liste de naze faut pas pousser (...)

Herrada aussi, tu parles de celui qui a battu Bardet au sommet du Ventoux
Kämna vu son tour de Suisse et Taaramae peuvent aussi faire des étincelles
Erviti, Backaert, Houle, tratnik, Rosskopf pour mettre K.O. le peloton pendant la longue portion plate de début d'étape

Ca va être bieng

Message insultant pour Pasqualon et Monfort. Bon, pour le copain de Lance, j'ai vraiment du mal, mais si le vainqueur du Tour du Luxembourg pouvait en claquer une belle, tous les amateurs de ruoT seraient ravis !!!

[Le sucre sportif]

J'avoue je ne vois ni en eux de bons baroudeurs, ni de bons rouleurs.

Mais comme le dit Teteoo, les purs grimpeurs sont désavantagés par cette portion plate, ils doivent s'échapper avec des équipiers rouleurs dans un gros groupe pour pouvoir s'exprimer dans les cols sans avoir lâché trop d'énergie.

Ca commence tôt aujourd'hui !
C'est déjà le départ fictif

[Le sucre sportif]

On retrouve les baroudeurs attendus en première ligne, Ineos via Luke Rowe dans le rôle du filtreur/barrage tenu sur les étapes de plats par les Deceunink.