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Bonne entente dans l’échappée jusqu’au Turchino, le groupe prend rapidement 20’ d’avance, personne ne se soucis du piètre niveau des attaquants du jour, et il faut garder des hommes frais dans le final pour placer ses sprinteurs/faire le bouchon en tête de course pour empêcher les puncheurs d’attaquer.
La deuxième partie de course verra surtout Hentalla et Raggio et Tonelli travailler pour leurs équipiers, ils sauteront dans la Cipressa après avoir parvenu à maintenir 5’ d’avance sur le groupe des favoris
Charles Planet prend les choses en main dans la Cipressa, maintenant un bon rythme pour garder le peloton à distance, Peron et Poli dans le porte bagage et surtout empêcher les vélléités de Maestri qui voulait se faire la belle.
Il persévère dans le Poggio cette fois-ci c’est Masnada qui s’en va, et entame la descente avec 8’’ d’avance sur le groupe amoindri, Sagiv n’ayant pu suivre Il est repris à la flamme rouge grâce au travail de Poli qui persévère en tête, imprime un petit rythme pour son leader Peron, Maestri, Schöneberger, Masnada et Planet qui s’accroche au marquage de Maestri
LA TENSION EST A SON COMBLE POUR CE FINAL HISTORIQUE
Le sprint est lancé comme de coutume de loin et Peron s’impose devant Schöneberger qui sera déclassé parce qu’il est lesproposracistesnontpasleurplacesurleforum, Maestri et Masnada, c’est un triplé italien Via Roma , la foule est en délire, le sprint du peloton est réglé par Nacer Bouhanni qui bat Christophe Laporte et le train Cofidis d’un boyau
ASO ayant vu la démonstration de la Novo Nordisk, ne faisant que confirmer leur beau tour des Emirats font un démenti officiel annonçant qu'Arkéa n'a pas sa place à la Grande Boucle et que quitte à inviter une équipe sur des critères extra-sportifs, autant le faire pour la cause changingdiabetes
Charles Planet se révèle être un attaquant infatiguable, il termine sur les Champs avec le maillot à pois et devient le nouveau Warren Barguil aux yeux du Grand Public de Juillet, le nouvel anti-héros qui sauvera le cyclisme de son propre ennui estival
Tout le monde attend Pogacar, mais Pogacar n'attend personne
Bonne entente dans l’échappée jusqu’au Turchino, le groupe prend rapidement 20’ d’avance, personne ne se soucis du piètre niveau des attaquants du jour, et il faut garder des hommes frais dans le final pour placer ses sprinteurs/faire le bouchon en tête de course pour empêcher les puncheurs d’attaquer.
La deuxième partie de course verra surtout Hentalla et Raggio et Tonelli travailler pour leurs équipiers, ils sauteront dans la Cipressa après avoir parvenu à maintenir 5’ d’avance sur le groupe des favoris
Charles Planet prend les choses en main dans la Cipressa, maintenant un bon rythme pour garder le peloton à distance, Peron et Poli dans le porte bagage et surtout empêcher les vélléités de Maestri qui voulait se faire la belle.
Il persévère dans le Poggio cette fois-ci c’est Masnada qui s’en va, et entame la descente avec 8’’ d’avance sur le groupe amoindri, Sagiv n’ayant pu suivre Il est repris à la flamme rouge grâce au travail de Poli qui persévère en tête, imprime un petit rythme pour son leader Peron, Maestri, Schöneberger, Masnada et Planet qui s’accroche au marquage de Maestri
LA TENSION EST A SON COMBLE POUR CE FINAL HISTORIQUE
Le sprint est lancé comme de coutume de loin et Peron s’impose devant Schöneberger qui sera déclassé parce qu’il est lesproposracistesnontpasleurplacesurleforum, Maestri et Masnada, c’est un triplé italien Via Roma , la foule est en délire, le sprint du peloton est réglé par Nacer Bouhanni qui bat Christophe Laporte et le train Cofidis d’un boyau
ASO ayant vu la démonstration de la Novo Nordisk, ne faisant que confirmer leur beau tour des Emirats font un démenti officiel annonçant qu'Arkéa n'a pas sa place à la Grande Boucle et que quitte à inviter une équipe sur des critères extra-sportifs, autant le faire pour la cause changingdiabetes
Charles Planet se révèle être un attaquant infatiguable, il termine sur les Champs avec le maillot à pois et devient le nouveau Warren Barguil aux yeux du Grand Public de Juillet, le nouvel anti-héros qui sauvera le cyclisme de son propre ennui estival
Bonne entente dans l’échappée jusqu’au Turchino, le groupe prend rapidement 20’ d’avance, personne ne se soucis du piètre niveau des attaquants du jour, et il faut garder des hommes frais dans le final pour placer ses sprinteurs/faire le bouchon en tête de course pour empêcher les puncheurs d’attaquer.
La deuxième partie de course verra surtout Hentalla et Raggio et Tonelli travailler pour leurs équipiers, ils sauteront dans la Cipressa après avoir parvenu à maintenir 5’ d’avance sur le groupe des favoris
Charles Planet prend les choses en main dans la Cipressa, maintenant un bon rythme pour garder le peloton à distance, Peron et Poli dans le porte bagage et surtout empêcher les vélléités de Maestri qui voulait se faire la belle.
Il persévère dans le Poggio cette fois-ci c’est Masnada qui s’en va, et entame la descente avec 8’’ d’avance sur le groupe amoindri, Sagiv n’ayant pu suivre Il est repris à la flamme rouge grâce au travail de Poli qui persévère en tête, imprime un petit rythme pour son leader Peron, Maestri, Schöneberger, Masnada et Planet qui s’accroche au marquage de Maestri
LA TENSION EST A SON COMBLE POUR CE FINAL HISTORIQUE
Le sprint est lancé comme de coutume de loin et Peron s’impose devant Schöneberger qui sera déclassé parce qu’il est lesproposracistesnontpasleurplacesurleforum, Maestri et Masnada, c’est un triplé italien Via Roma , la foule est en délire, le sprint du peloton est réglé par Nacer Bouhanni qui bat Christophe Laporte et le train Cofidis d’un boyau
ASO ayant vu la démonstration de la Novo Nordisk, ne faisant que confirmer leur beau tour des Emirats font un démenti officiel annonçant qu'Arkéa n'a pas sa place à la Grande Boucle et que quitte à inviter une équipe sur des critères extra-sportifs, autant le faire pour la cause changingdiabetes
Charles Planet se révèle être un attaquant infatiguable, il termine sur les Champs avec le maillot à pois et devient le nouveau Warren Barguil aux yeux du Grand Public de Juillet, le nouvel anti-héros qui sauvera le cyclisme de son propre ennui estival
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piratapantani a écrit : 23 mars 2019, 14:01
je ne sais pas est ce qu'il y'a deux chaines l’équipe mais moi lors des précédentes courses je ne captais rien..a la place j'avais du sky!?
Non, c'est normal d'avoir du Sky en regardant le cyclisme.
Mais rassure toi, dès le premier mai, cela n'arrivera plus.
piratapantani a écrit : 23 mars 2019, 14:01
je ne sais pas est ce qu'il y'a deux chaines l’équipe mais moi lors des précédentes courses je ne captais rien..a la place j'avais du sky!?
Non, c'est normal d'avoir du Sky en regardant le cyclisme.
Mais rassure toi, dès le premier mai, cela n'arrivera plus.
Bradounet_ a écrit : 23 mars 2019, 14:53
Les Novo Nordisk, ils ont du sortir en facteur sans s'en rendre compte, ça s'est fait à l'insuline de leur plein gré.
), sauf la saison passée: ça serait beau qu'il y ait confirmation. 
Il est repris à la flamme rouge grâce au travail de Poli qui persévère en tête, imprime un petit rythme pour son leader Peron, Maestri, Schöneberger, Masnada et Planet qui s’accroche au marquage de Maestri 
devant Schöneberger qui sera déclassé parce qu’il est 
, la foule est en délire, le sprint du peloton est réglé par Nacer Bouhanni qui bat Christophe Laporte et le train Cofidis d’un boyau 
