jimmy39 a écrit : 20 nov. 2018, 17:12
jicébé a écrit : 20 nov. 2018, 17:03
Tu fais la réponse que j'attendais, ou plutôt à laquelle je m'attendais: toutes les courses peuvent bien faire un effort pour permettre la refonte (absolument nécessaire) du calendrier (le Giro et le ToC sont apparemment décidés à le faire, cet effort, puisque Lappartient aurait déjà rencontré leurs organisateurs respectifs avant d'en arriver à cette proposition), mais le Tour, surtout pas touche...
Mais c'est n'importe quoi cette histoire, le Giro et le Tour de Californie ne sont absolument pas en concurrence, personne ne va doubler les 2 courses et les horaires de retransmission sont totalement différents, donc il n'y aura aucun téléspectateur de plus. Si le Giro est content de reculer d'une semaine (probablement en espèrant avoir moins de mauvais temps, par pour faire plaisir au ToC) en acceptant le risque d'avoir moins de grands leaders, pourquoi cela devrait-il toucher le Tour
Et si on en changeait la date, on fait quoi de la Vuelta qui est déjà en toute fin de saison ? On ne peut pas la retarder encore, donc on s'en fout qu'il y ait une semaine de moins d'écart avec le Tour
Par définition, si le Giro et le ToC se disputent en même temps, ils sont en concurrence; s'ils se disputent à 1 sem d'intervalle, ils le sont (un peu) moins.
Bien que ça ne résolve pas tout, le fait que l'on essaie d'éviter certains chevauchements de calendrier va dans le bon sens. Personnellement, ça m'énerve qu'il y ait ces fichues concurrences P-N-T-A _ Giro-ToC _ Dauphiné-TdS _ Vuelta-Hambourg-Plouay-Canadiennes; qu'il y ait la Catalogne et le Pays Basque en plein milieu des classiques me dérange aussi car, bien que ce ne soit pas le même type de coureurs qui y participent, ça dissipe en tout cas mon attention.
Et si le décalage du Giro doit passer par le décalage du Tour, décalons aussi la Vuelta d'une semaine: elle se terminera 1 sem avant les Ch. du Monde plutôt que 2 sem, je ne vois pas où est le problème.