Non mais c'est pas ASO, le problème. Le problème, c'est l'AMA, ses règlements merdeux, son manque de poids, son inefficacité. Quand il est question de dopage, c'est l'AMA qui détient les clés, pas l'organisateur.MeroveeG a écrit : 02 juil. 2018, 18:05 Quelle décision délirante. Comme par hasard, ça tombe opportunément le lendemain de l'annonce de la récusation de Froome.
Soit ASO était au courant et a fait de la communication pour exprimer leur avis, soit c'est vraiment pourri.
Il faudrait une sécession d'ASO comme en 2008.
En attendant, il faudrait que le squelette reste chez lui à part s'il aime les crachats, au propre comme au figuré.
Quel discrédit pour le cyclisme et pendant que nous y sommes, c'est...... Happy Hour sur le salbutamol! servez vous, quand ça marche pour l'un, ça devrait marcher pour les autres!
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Quel intérêt pour Prudhomme de juger la situation consternante (et ça ne date pas d'hier), au risque de pourrir le contexte et l'ambiance du Tour ?
La vérité c'est que Prudhomme est un passionné de vélo, un vrai, un ancien (excellent) journaliste spécialisé dans ce sport. Il a essayé de forçer la main de l'UCI (qui lui a répondu "désolé, on peut pas"), mais en face, y avait Sky, son fric, sa mauvaise foi, sa capacité de pourrissement, son appétit immodéré pour la gagne (et à n'importe quel prix). Si le cyclisme crève demain des conséquences de cette affaire mais que Froome a réussi son doublé Giro-Tour, Blairsford se paluche comme une bête. "Après nous le déluge, mais en attendant, on vous nique", telle pourrait être la devise de l'équipe Sky.