+1 avec çaOn3 a écrit : 05 juin 2018, 18:20Deuxième étape d'Argentine, il s'accroche pour espérer remporter l'étape mais final trop dur.twisty a écrit : 05 juin 2018, 17:50
Sur quelles courses accidentées l'allemand a t'il été solide ???
Je viens de regarder 3 fois, je ne vois aucun résultat probant sur une course accidentée.
Ackermann, c'est une révélation sur ce Dauphiné, jamais je ne l'aurais classé parmi les sprinteurs qui passent bien les petits cols.
Sur le Tour de Romandie par exemple, il a fait gruppetto tous les jours sauf sur la dernière étape qui était la plus plate de toutes (sprint massif avec 97 des 103 coureurs à l’arrivée).
Nokere Koerse, il se troue sur l'arrivée mais il sort dans la roue de Van Aert à 2-3 reprises sur les secteurs pavés.
Quand ça a borduré (Abu Dhabi et je ne sais plus quelle kermesse belge), il était présent dans la bonne.
Je ne dis pas qu'il s'est nécessairement illustré quand c'était accidenté, par contre il a clairement montré qu'il avait la caisse pour le faire. C'est loin d'être un simple gros cul à la Kittel.
L'élément important est effectivement cette étape du San Juan où il passe très prêt de passer (une bosse où Gaviria était passé mais avait explosé ensuite, pour donner un comparatif). Comme par la suite, il s'est montré dans toutes les phases de course de costauds (bordures, pavés) et comme il s'est préparé en vue de ce Dauphiné, on pouvait s'attendre à ce qu'il réponde présent

Ackermann, c'est un Degenkolb (celui d'avant l'accident), pas un Kittel ou un Bauhaus incapables de franchir la moindre difficulté
