Fusagasuga2 a écrit : 22 mai 2017, 16:58
veji2 a écrit : 22 mai 2017, 16:55
Le jeune Contador faisait du Armstrong dans le texte, le jus et la préparation : il les posait sur la table à la première arrivée en altitude et vaporisait son monde une bonne fois, bref la méthode classique du coureur dominateur. Contador fout le feu depuis qu'il n'est plus vraiment au dessus de ses rivaux.
C'est bien ce que j'avais en tête mais je préférais avoir une confirmation.
En 2007 Contador nous a quand même gratifié de quelques envolées "à l'ancienne" (
ça m'étonne que tu ne l'ai pas évoqué El Pistolero, il faudrait que tu te replonges de temps en temps dans l'Ancien Testament de ta religion

). Sur Paris-Nice 2007 où il a harcelé Rebellin sur les deux dernières étapes, finissant par renverser la situation. Et sur le Tour il attaque quand même dans le Galibier à 35 kilomètres de l'arrivée avant d'être repris dans la descente du Lautaret malgré le relais de Popovych.
Après c'est vrai que quand il a commencé à vraiment dominer la discipline dans les années qui ont suivi on l'a vu moins entreprenant (j'avoue que je ne me rappelle plus très bien du Giro 2008 par exemple mais il me semble qu'il avait plus subi la course de mouvement de Ricco qu'autre chose.)
Ce qui ne l'a pas empêché durant cette période de tenter un truc sur le Paris-Nice 2009 en lançant une grande manoeuvre à 75 kilomètres de l'arrivée durant la dernière étape pour renverser (sans succes) une situation compromise. Mais c'est le seul exemple qui me vient en tête sur la période 2008-2010 et c'était bien parce qu'il avait course perdue.
Édith : Bon, le temps que je ponde mon pavé (c'est très long et chiant sur tablette) tu en avais parlé, mes Ah coulent pas)