Tellement de jalousie_AlbatorConterdo a écrit :A 35 ans , ce qui lui laisse de la marge pour remporter quelques Vueltas ! ompom:_ussa a écrit :Valverde.
Le mec va faire une meilleure saison que Gilbert 2011...

Modérateur : Modos VCN
Tellement de jalousie_AlbatorConterdo a écrit :A 35 ans , ce qui lui laisse de la marge pour remporter quelques Vueltas ! ompom:_ussa a écrit :Valverde.
Le mec va faire une meilleure saison que Gilbert 2011...
Laisse les ragerkelmeur a écrit :Tellement de jalousie_AlbatorConterdo a écrit :A 35 ans , ce qui lui laisse de la marge pour remporter quelques Vueltas ! ompom:_ussa a écrit :Valverde.
Le mec va faire une meilleure saison que Gilbert 2011...
c'est d'un laid... il n'y a plus rien pour les coureurs longs de nos jours, plus rien pour le mec qui est pas hyper explosif mais qui si tu lui donnes 30 secondes peut résister à 3/4 mecs qui se prennent des relais en voulant en garder un petit peu pour le final... C'est frustrant de voir toutes les courses se réduire à la dernière difficulté.Bradounet_ a écrit :Ce nouveau final c'est le copié-collé du Tour de Lombardie.
NAhhh...kentinmania_ a écrit :On s'approchait de plus en plus des sprints semi massifs sur la Concha. Il fallait faire quelque chose même si effectivement ça favorise une course de côte.
Si il ne reste pas trop d'équipiers après Jaizkibel, alors Arkale peut être un tremplin pour des Jungels, Bardet, Gilbert... avant la dernière bosse qui favorise les puncheur-grimpeurs
Liam_ a écrit :Ce qui m'étonne c'est qu'après la Pierre St Martin où il a dû se rassurer il n'aille pas jouer l'échappée sur une des deux autres étapes des Pyrénées. Celle vers le Plateau de Beille était facile à prendre par exemple. Sur sa forme de la PSM y avait un coup à jouer face à Purito, Fuglsang et Bardet.kentinmania_ a écrit :Je ne veux pas m'avancer mais il est possible qu'il se soit relevé. Il s'est testé sur quelques étapes. Etant loin au général il n'avait aucune raison de forcer dans le Tourmalet vu que l'échappée était trop loin.Liam_ a écrit :
Le Tour d'Adam reste un mystère pour moi. Très fort à la Pierre St Martin et à l'Alpe et entre les deux rien. Par exemple Gallopin et Tomas se sont éteints progressivement, alors que lui s'est écroulé dès le Tourmalet.
Je suis plus déçu par son étape à Pra-Loup par exemple où il n'a pas pu suivre le groupe Uran-Talansky-Frank.
Au lieu de ça il tente le coup vers Valence alors que le terrain ne s'y prêtait pas et que ça ne lui apportait rien. Pinot aussi tu vas me dire mais lui restait sur la déception de Mende, j'ai l'impression que c'était plus pour se faire plaisir et exorciser le résultat de la veille.
Ça fait le mec pas trop en jambes. Problème de récup après avoir tapé dedans à la PSM ?
Jusque là Simon avait plutôt montré des qualités de finisseur comme le mentionne Allobroges. Adam semblait avoir un plus gros moteur, plus endurant et meilleur grimpeur (même s'il est assez tonique pour se débrouiller dans les petites côtes, cf Classica 2014 ou Mur de Bretagne). Mais cette saison semble infirmer cette tendance.runnz a écrit :Liam_ a écrit :Ce qui m'étonne c'est qu'après la Pierre St Martin où il a dû se rassurer il n'aille pas jouer l'échappée sur une des deux autres étapes des Pyrénées. Celle vers le Plateau de Beille était facile à prendre par exemple. Sur sa forme de la PSM y avait un coup à jouer face à Purito, Fuglsang et Bardet.kentinmania_ a écrit :Je ne veux pas m'avancer mais il est possible qu'il se soit relevé. Il s'est testé sur quelques étapes. Etant loin au général il n'avait aucune raison de forcer dans le Tourmalet vu que l'échappée était trop loin.Liam_ a écrit :
Le Tour d'Adam reste un mystère pour moi. Très fort à la Pierre St Martin et à l'Alpe et entre les deux rien. Par exemple Gallopin et Tomas se sont éteints progressivement, alors que lui s'est écroulé dès le Tourmalet.
Je suis plus déçu par son étape à Pra-Loup par exemple où il n'a pas pu suivre le groupe Uran-Talansky-Frank.
Au lieu de ça il tente le coup vers Valence alors que le terrain ne s'y prêtait pas et que ça ne lui apportait rien. Pinot aussi tu vas me dire mais lui restait sur la déception de Mende, j'ai l'impression que c'était plus pour se faire plaisir et exorciser le résultat de la veille.
Ça fait le mec pas trop en jambes. Problème de récup après avoir tapé dedans à la PSM ?
C'est lequel le plus fiable en montagne entre les deux ? J'avais l'impression que c'était Adam, depuis l'impression qu'il m'avait laissé au Tour de l'Avenir 2013, mais maintenant je penche en faveur de Simon malgré son "mauvais" Tour.
veji2 a écrit :NAhhh...kentinmania_ a écrit :On s'approchait de plus en plus des sprints semi massifs sur la Concha. Il fallait faire quelque chose même si effectivement ça favorise une course de côte.
Si il ne reste pas trop d'équipiers après Jaizkibel, alors Arkale peut être un tremplin pour des Jungels, Bardet, Gilbert... avant la dernière bosse qui favorise les puncheur-grimpeurs
Le problème c'est qu'on ne raisonne que via les parcours : on se dit qu'on va avoir un sprint à 60 à LBL ? on va rajouter St Nicolas. On se dit qu'on va avoir un sprint à 60 sur RVV ? On te fait une orgie de bergs dans les derniers 50kms, etc...
Ne raisonner que sur le parcours c'est raisonner par l'absurde, car on ne fait que déplacer le problème : pour être sûr qu'on a bien que un ou deux gars qui arrivent seuls sur la ligne d'arrivée, on met une horreur 5kms avant mais de facto on a un sprint à 60 sur cette horreur là.
On se plaint des courses par étapes cadenassées mais les courses d'un jour c'est pire : réduire le nombre d'équipiers est encore plus important pour celles là : En gros il faudrait avoir le minimum minimorum d'équipiers pour apporter des bidons aux leaders et tirer quelques bouts droits mais sans plus. Quand on voit les JOs de Londres, on avait d'un coup des coureurs qui étaient obligés à réapprendre à courir comme le faisait les cadors jusqu'au milieu des années 80 : assumer ses responsabilités assez tôt dans la course, faire soit même l'effort pour être devant pour ne pas être enterrer à l'arrière, etc...
Je vois des courses comme les JO et pour moi l'avenir il est là : tu fais des équipes avec 4/5 coureurs sur les courses d'un jour ça redevient une épreuve d'endurance individuelle, avec des leaders qui ne sont pas cachés pendan 230 bornes mais qui doivent régulièrement faire l'effort d'être à l'avant, maintenir un tempo, etc.
Je sais que ce n(est pas réaliste en soi, mais déjà des équipes de 6 ce serait un peu moins pire. La réforme de fonds dans le cyclisme ce n'est pas les parcours, c'est "comment exposer les leaders à la course bien plus tôt, les forcer à courir avant le dernier col, la dernière bosse?". Si on trouve la réponse à cette question, la problématique du parcours disparaitra d'elle même.
:danielh:veji2 a écrit :NAhhh...kentinmania_ a écrit :On s'approchait de plus en plus des sprints semi massifs sur la Concha. Il fallait faire quelque chose même si effectivement ça favorise une course de côte.
Si il ne reste pas trop d'équipiers après Jaizkibel, alors Arkale peut être un tremplin pour des Jungels, Bardet, Gilbert... avant la dernière bosse qui favorise les puncheur-grimpeurs
Le problème c'est qu'on ne raisonne que via les parcours : on se dit qu'on va avoir un sprint à 60 à LBL ? on va rajouter St Nicolas. On se dit qu'on va avoir un sprint à 60 sur RVV ? On te fait une orgie de bergs dans les derniers 50kms, etc...
Ne raisonner que sur le parcours c'est raisonner par l'absurde, car on ne fait que déplacer le problème : pour être sûr qu'on a bien que un ou deux gars qui arrivent seuls sur la ligne d'arrivée, on met une horreur 5kms avant mais de facto on a un sprint à 60 sur cette horreur là.
On se plaint des courses par étapes cadenassées mais les courses d'un jour c'est pire : réduire le nombre d'équipiers est encore plus important pour celles là : En gros il faudrait avoir le minimum minimorum d'équipiers pour apporter des bidons aux leaders et tirer quelques bouts droits mais sans plus. Quand on voit les JOs de Londres, on avait d'un coup des coureurs qui étaient obligés à réapprendre à courir comme le faisait les cadors jusqu'au milieu des années 80 : assumer ses responsabilités assez tôt dans la course, faire soit même l'effort pour être devant pour ne pas être enterrer à l'arrière, etc...
Je vois des courses comme les JO et pour moi l'avenir il est là : tu fais des équipes avec 4/5 coureurs sur les courses d'un jour ça redevient une épreuve d'endurance individuelle, avec des leaders qui ne sont pas cachés pendan 230 bornes mais qui doivent régulièrement faire l'effort d'être à l'avant, maintenir un tempo, etc.
Je sais que ce n(est pas réaliste en soi, mais déjà des équipes de 6 ce serait un peu moins pire. La réforme de fonds dans le cyclisme ce n'est pas les parcours, c'est "comment exposer les leaders à la course bien plus tôt, les forcer à courir avant le dernier col, la dernière bosse?". Si on trouve la réponse à cette question, la problématique du parcours disparaitra d'elle même.
Après le souci c'est aussi de gérer la logistique de course derrière : si tu mettais 35 équipes de 5 pour des classiques par exemple, il faut sans doute repenser le rapport cycliste / voiture de son équipe pour chopper un vélo, un mécano pour changer une roue, etc...Tony09* a écrit :Qui a dit qu'on allait reduire le nombre de coureurs par course ? On augmente simplement le nombre d'equipes et de meme le nombre de sponsors (des coureurs plus egalement payer, plus de staff, plus d'argent, plus de spectacle...)