tu penses à Nijboer celui de Caja Rural /Paternina/Banesto...le coequipier de [i:137oc2pc]Matje[/i:137oc2pc] Hermans et de René Beuker...?kokododujimjule a écrit :Faustini n'était pas vraiment une chaudière, une météorite oui, mais un type qui en 1996 chez aki s'est gorgé d'EPO (mais vraiment gorgé à 100%) et qui a fait des résultats incroyables une année et qui a directement arrêté après (témoignage de Menthéour). Est-ce pire qu'un Ullrich dopé toute sa carrière ?MysticalMike a écrit :C'est clair, précision très intéressante! Pour moi, Pistore avait plus suivi une trajectoire à la Stefano Faustini qui lui était une chaudière!CPTmatros a écrit :Merci pour ce complément d'info hyper intéressant c'est ce que je recherche en venant ici aussi !kokododujimjule a écrit :-Riis, Zulle Pantani, Rincon, Ugrumov étaient venus en touristes ou avaient chuté.CPTmatros a écrit : un top 10 bizarre cette année là:
- 2 "comètes" Pistore et Marquina 6 et 7eme
- Bartoli 9eme
- Della Santa 10eme
- 3 ONCE dans les 4 avec Mauri et ... Bruyneel.
Bref, un crédit à toute épreuve cette victoire du Panda.
-Simeoni finit dernier, on sait qu'il était propre chez Carrera :whistle:
-Nijboer devient le 458e espoir néerlandais qui déçoit après Breukink et Bouwmans et avant les Thomas Dekker, Gesink, Weening, Wielenga, Moerenhout,...
-Gianetti (sans doute l'homme EPO, la plus grosse chaudière inter-sidérale bien pire que Riis) nous fait un top 20 au général (avant de pouvoir suivre Pantani-Indurain en montagne dix jours plus tard au CDM).
-Casero et Serrano pointaient le bout du nez aux portes du top 10.
Pistore était tout sauf une chaudière, pour sa première année pro, il fait 6e du Tour d'Espagne et top 10 au tour de Lombardie à 24 ans. En 1996, il nous fait 4e à la vuelta et top 10 dans de très belles courses. Il arrête sa carrière en 1998, dégouté par le dopage, il avouera à la Gazzetta début 2000's qu'il ne s'est jamais dopé à l'EPO, qu'il prenait des corticoïdes dès 1996 mais qu'il est très fier de son année 1995 qu'il fera sans le moindre dopage. Giancarlo Ferretti disait de lui que c'était le coureur avec le plus fort potentiel qu'il a dirigé.
Je me souviens aussi de Gianluca Pianegonda vainqueur d'étape et porteur du maillot amarillo sur cette vuelta 95, qui lui aussi a arrêté sa carrière très tôt en 98 ou 99!
Pour moi le top des chaudières, cela reste : 1.Gianetti 2.Riis 3.Furlan
Des météorites il y en a des tas... sont-ce des coureurs nuls qui se sont dopés à fond durant un petit temps ? ou bien sont-ce des coureurs forts qui se sont dopés un petit temps seulement pour faire comme les autres mais qui ont très rapidement arrêté pour des raisons économiques, morales ou médicales ? Bref, un nul qui se charge à fond et qui ne peut pas faire cela deux fois sous peiner d'exploser sur la route ? ou un coureur doué comme les autres qui veut juste voir ce qu'il est capable s'il fait comme les autres ? Pas facile de juger...
Dans les météorites des années 90's et 2000's : Faustini, Bobrik, Berzin, Pianegonda, Brasi, Jaskula, Ferrigato, Fincato, Frattini, Putini, Cenghialta, De Las Cuevas, Thibout, Casarotto, Danny Nelissen, Nijboer, Breukink, Bouwmans,...
Pecharroman, Sévilla, Santi Perez, Nozal, aitor Gonzalez, Galdeano I., Fothen, Thomas Dekker, ...
il a toujours été un équipier de base, c'est même pour ça que Echevarri l'avait recruté pour les etapes de plaine du TDF
Quant à De Las Cuevas, le débat est ouvert...