Exactement. Sur la Marmotte, la descente du Glandon est neutralisée depuis plusieurs années. On passe sur un tapis de chronométrage au sommet et sur un autre en bas de la descente pour relancer le chrono.
Il faut préciser qu'il y a un ravito après le tapis du sommet où les gens prennent leur temps évidemment. Tout comme bcp de gens s'arrête juste avant le tapis en bas de descente pour manger, enlever les vêtements,...
Alors c'est vrai que cela fait que le classement route n'est pas juste. Mais quand on lance 7000 coureurs en 1 heures, il y a des différences importantes de temps au départ. Déjà entre les différentes vagues (7h, 7h20 et 7h50). Mais également au sein d'une vague (je suis parti plusieurs minutes après les premiers de ma vague car j'étais très mal placé dans le sas de départ).
Donc finalement, on s'en fou un peu de la neutralisation. C'est juste dommage pour les bon descendeurs...
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Oui j'avais oublié l'histoire des vagues de départ.
En fait la clé c'est surtout de tomber dans un groupe qui roule assez vite mais plus on part loin, plus ce doit être compliqué.
En fait la clé c'est surtout de tomber dans un groupe qui roule assez vite mais plus on part loin, plus ce doit être compliqué.
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Sur la Marmotte, la notion de groupe n'est importante qu'au départ (mais c'est d'office un groupe) et dans la vallée entre le Glandon et le Télégraphe.
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Sur l'Etape du Tour les kilomètres avant le Tourmalet ont dû paraître longs si on prend pas un groupe sympa 

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C'est le début ! T'es tout excité, quelques petites bosses pour égayer le tout, tu jauges les mecs autour, tu pries pour que le temps se dégage, tu cherches à conserver des forces ... bref, c'est passé vite.kentinmania_ a écrit :Sur l'Etape du Tour les kilomètres avant le Tourmalet ont dû paraître longs si on prend pas un groupe sympa
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Ben moi les 35 bornes avant la côte de Bénéjac (2.7km à 6.7%) m'ont paru un peu long oui... J'étais dans le SAS 7 et ça ne roulait pas du tout, il fallait toujours faire l'effort pour aller chercher les mecs de devant qui, eux, ne roulaient pas non plus ! :cheer:kentinmania_ a écrit :Sur l'Etape du Tour les kilomètres avant le Tourmalet ont dû paraître longs si on prend pas un groupe sympa
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En lisant ton récit Alextru on se dit quand même que la Marmotte c'est une truc d'une difficulté incroyable.
Voir un mec de ton niveau autant galéré, on se dit que c'est pas la peine d'y aller en étant un cyclo moyen !
En tout cas je n'y metterai pas les pieds et me contenterai de l'EDT une fois de temps en temps !
Voir un mec de ton niveau autant galéré, on se dit que c'est pas la peine d'y aller en étant un cyclo moyen !
En tout cas je n'y metterai pas les pieds et me contenterai de l'EDT une fois de temps en temps !
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Je ne suis pas vraiment d'accord avec toi Velomen.
Pour commencer, je n'ai pas un niveau très élevé. Je ne fais du vélo \"sérieusement\" que depuis 4-5 ans et j'ai fait 3000km en 2010, 3000 en 2011, 6000 en 2012 et 3000 en 2013. C'est vraiment très loin des kilométrages des bons cyclo et c'est à la portée de n'importe qui d'un peu motivé. Par contre, c'est clair que j'ai visé principalement le développement des qualités nécessaires aux cyclos (gros foncier + dénivelé). Mais j'ai fait cela étape par étape. En visant chaque année un objectif un peu plus difficile et qui me faisait rêver.
Pour la Marmotte, oui, c'est clair que c'est très difficile. Le Glandon, c'est 21km avec quelques passages difficiles. Le Télégraphe et le Galibier, c'est très long et très dur. Puis enchainer avec l'Alpe d'Huez, c'est là que l'on frôle l'indigestion. Mais avec un gros foncier et une accumulation très importante de dénivelé à l'entrainement, c'est loin d'être impossible. Après tout, il n'y a que 1200m de D+ en plus que pour votre EDT il me semble. C'est pas énorme.
Je suis persuadé que des gars comme toi ou On1 (pour ne citer que vous) êtes largement capable de réussir pareil défi, à la condition d'avoir réalisé l'entrainement nécessaire bien sur. Peut être pas de terminer dans les 500 premiers. Mais terminer dans de \"bonnes\" conditions, j'en suis vraiment convaincu. Reste que la principale question à se poser, c'est de savoir si l'on en a réellement envie. Car de toute les qualités nécessaires, la plus importante est le mental. Et puis cela ne sert à rien de se dégouter avec des objectifs sans cesse plus difficile.
Enfin, sur ma galère, il faut la pondérer. C'est clair que le Galibier et l'Alpe d'Huez ont été très durs mais j'ai surtout souffert de deux facteurs \"externes\". Le premier, ce sont les soucis de pédalier qui ont entrainé une incertitude importante (j'avais peur de tout bousiller) et donc des soucis dans ma résistante mentale. Le deuxième, c'est la chaleur dans l'Alpe d'Huez. Je n'avais pas de crampes ni de mal de jambes, mais j'étais en totale surchauffe. Avec 10° de moins, je suis persuadé que j'aurais gagné un paquet de minute.
Pour commencer, je n'ai pas un niveau très élevé. Je ne fais du vélo \"sérieusement\" que depuis 4-5 ans et j'ai fait 3000km en 2010, 3000 en 2011, 6000 en 2012 et 3000 en 2013. C'est vraiment très loin des kilométrages des bons cyclo et c'est à la portée de n'importe qui d'un peu motivé. Par contre, c'est clair que j'ai visé principalement le développement des qualités nécessaires aux cyclos (gros foncier + dénivelé). Mais j'ai fait cela étape par étape. En visant chaque année un objectif un peu plus difficile et qui me faisait rêver.
Pour la Marmotte, oui, c'est clair que c'est très difficile. Le Glandon, c'est 21km avec quelques passages difficiles. Le Télégraphe et le Galibier, c'est très long et très dur. Puis enchainer avec l'Alpe d'Huez, c'est là que l'on frôle l'indigestion. Mais avec un gros foncier et une accumulation très importante de dénivelé à l'entrainement, c'est loin d'être impossible. Après tout, il n'y a que 1200m de D+ en plus que pour votre EDT il me semble. C'est pas énorme.
Je suis persuadé que des gars comme toi ou On1 (pour ne citer que vous) êtes largement capable de réussir pareil défi, à la condition d'avoir réalisé l'entrainement nécessaire bien sur. Peut être pas de terminer dans les 500 premiers. Mais terminer dans de \"bonnes\" conditions, j'en suis vraiment convaincu. Reste que la principale question à se poser, c'est de savoir si l'on en a réellement envie. Car de toute les qualités nécessaires, la plus importante est le mental. Et puis cela ne sert à rien de se dégouter avec des objectifs sans cesse plus difficile.
Enfin, sur ma galère, il faut la pondérer. C'est clair que le Galibier et l'Alpe d'Huez ont été très durs mais j'ai surtout souffert de deux facteurs \"externes\". Le premier, ce sont les soucis de pédalier qui ont entrainé une incertitude importante (j'avais peur de tout bousiller) et donc des soucis dans ma résistante mentale. Le deuxième, c'est la chaleur dans l'Alpe d'Huez. Je n'avais pas de crampes ni de mal de jambes, mais j'étais en totale surchauffe. Avec 10° de moins, je suis persuadé que j'aurais gagné un paquet de minute.
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Oui, je comprends mal également cette réticence de velomen ! Evidemment, 170 bornes et 5km de dénivelé, c'est pas pour les nains de la route. Mais à l'annonce de ces chiffres, et en voyant ceux de l'EDT de cette année, j'avoue que ça me titille de m'y atteler l'an prochain (même si j'aimerais plutôt une cyclo en Italie, histoire de passer des vacances ailleurs que dans les Alpes françaises ou Pyrénées :)) ...
Par contre, ce qui est très costaud Alexstru, c'est que tu tapes ça avec très peu de km dans les jambes quand même ! Même si je me doute bien que tu te connais parfaitement et que tu t'entraînes donc tout en \"qualité\" (ce qui est sûrement plus important que d'aligner les km sans raisonnement aucun), faire des trucs comme LBL cyclo, de 270 bornes, avec en moyenne 3k km dans les jambes (du coup t'avais combien en début d'année quand t'as fait ?! 1500 ?! :woohoo: :woohoo: :woohoo: ), ça c'est particulièrement impressionnant.
:woohoo:
Par contre, ce qui est très costaud Alexstru, c'est que tu tapes ça avec très peu de km dans les jambes quand même ! Même si je me doute bien que tu te connais parfaitement et que tu t'entraînes donc tout en \"qualité\" (ce qui est sûrement plus important que d'aligner les km sans raisonnement aucun), faire des trucs comme LBL cyclo, de 270 bornes, avec en moyenne 3k km dans les jambes (du coup t'avais combien en début d'année quand t'as fait ?! 1500 ?! :woohoo: :woohoo: :woohoo: ), ça c'est particulièrement impressionnant.

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Les conditions changent pas mal de chose. J'ai fait cette montée l'an passé au petit matin avec quelqu'un qui "trainait" et j'ai l'impression que c'était vraiment facile.Alex.stru a écrit : Le Télégraphe et le Galibier, c'est très long et très dur. (...)
Avec 10° de moins, je suis persuadé que j'aurais gagné un paquet de minute.
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On1 a écrit :, [i:7zz9kiw4]c'est pas pour les tapettes[/i:7zz9kiw4]
Bonjour l.homophobie... Que fait la.modération?????

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Ah, la semaine dernière, j'ai justement cherché des renseignement sur le Marathon des Dolomites On1. Ca me branche bien cette cyclo (espère de Marmotte italienne). C'est vraiment l'une des cyclo mythique de l'Italie.On1 a écrit :Oui, je comprends mal également cette réticence de velomen ! Evidemment, 170 bornes et 5km de dénivelé, [i:1yjsvpxe]c'est pas pour les tapettes[/i:1yjsvpxe]. Mais à l'annonce de ces chiffres, et en voyant ceux de l'EDT de cette année, j'avoue que ça me titille de m'y atteler l'an prochain (même si j'aimerais plutôt une cyclo en Italie, histoire de passer des vacances ailleurs que dans les Alpes françaises ou Pyrénées ...
Par contre, ce qui est très costaud Alexstru, c'est que tu tapes ça avec très peu de km dans les jambes quand même ! Même si je me doute bien que tu te connais parfaitement et que tu t'entraînes donc tout en "qualité" (ce qui est sûrement plus important que d'aligner les km sans raisonnement aucun), faire des trucs comme LBL cyclo, de 270 bornes, avec en moyenne 3k km dans les jambes (du coup t'avais combien en début d'année quand t'as fait ?! 1500 ?! :woohoo: :woohoo: :woohoo: ), ça c'est particulièrement impressionnant.:woohoo:
Sinon, pour répondre à ta question, avant le départ de LBL, j'avais 2700 km dans les jambes. Et pour la Marmotte, quand même 4900, ce qui est quand même pas mal. Par contre, les années précédentes, pour faire le parcours de 170km de LBL, j'avais en moyenne 1500 km. Mais je fais vraiment beaucoup de dénivelé à l'entrainement et je roule bcp au seuil.
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Oui j'ai vu quelques mecs avec l'attirail Marathon des Dolomites sur l'EDT ! Le parcours a l'air superbe en tout cas, ça laisse à réfléchir tout ça.Alex.stru a écrit :Ah, la semaine dernière, j'ai justement cherché des renseignement sur le Marathon des Dolomites On1. Ca me branche bien cette cyclo (espère de Marmotte italienne). C'est vraiment l'une des cyclo mythique de l'Italie.On1 a écrit :Oui, je comprends mal également cette réticence de velomen ! Evidemment, 170 bornes et 5km de dénivelé, [i:1s7j66bj]c'est pas pour les tapettes[/i:1s7j66bj]. Mais à l'annonce de ces chiffres, et en voyant ceux de l'EDT de cette année, j'avoue que ça me titille de m'y atteler l'an prochain (même si j'aimerais plutôt une cyclo en Italie, histoire de passer des vacances ailleurs que dans les Alpes françaises ou Pyrénées ...
Par contre, ce qui est très costaud Alexstru, c'est que tu tapes ça avec très peu de km dans les jambes quand même ! Même si je me doute bien que tu te connais parfaitement et que tu t'entraînes donc tout en "qualité" (ce qui est sûrement plus important que d'aligner les km sans raisonnement aucun), faire des trucs comme LBL cyclo, de 270 bornes, avec en moyenne 3k km dans les jambes (du coup t'avais combien en début d'année quand t'as fait ?! 1500 ?! :woohoo: :woohoo: :woohoo: ), ça c'est particulièrement impressionnant.:woohoo:
Sinon, pour répondre à ta question, avant le départ de LBL, j'avais 2700 km dans les jambes. Et pour la Marmotte, quand même 4900, ce qui est quand même pas mal. Par contre, les années précédentes, pour faire le parcours de 170km de LBL, j'avais en moyenne 1500 km. Mais je fais vraiment beaucoup de dénivelé à l'entrainement et je roule bcp au seuil.
@Socrates : C'était une boutade, n'y vois là aucune homophobie ! Ceci dit, je comprends que ça puisse choquer, du coup j'édite.
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Je sais où sont mes limites. Et la Marmotte, c'est clairement au dessus de mon niveau... Plus de 10h de vélo avec 4 cols HC ou 1ère catégorie, c'est un autre monde.On1 a écrit :Oui, je comprends mal également cette réticence de velomen ! Evidemment, 170 bornes et 5km de dénivelé, [i:2pn44a41]c'est pas pour les nains de la route[/i:2pn44a41]. Mais à l'annonce de ces chiffres, et en voyant ceux de l'EDT de cette année, j'avoue que ça me titille de m'y atteler l'an prochain (même si j'aimerais plutôt une cyclo en Italie, histoire de passer des vacances ailleurs que dans les Alpes françaises ou Pyrénées ...
Par contre, ce qui est très costaud Alexstru, c'est que tu tapes ça avec très peu de km dans les jambes quand même ! Même si je me doute bien que tu te connais parfaitement et que tu t'entraînes donc tout en "qualité" (ce qui est sûrement plus important que d'aligner les km sans raisonnement aucun), faire des trucs comme LBL cyclo, de 270 bornes, avec en moyenne 3k km dans les jambes (du coup t'avais combien en début d'année quand t'as fait ?! 1500 ?! :woohoo: :woohoo: :woohoo: ), ça c'est particulièrement impressionnant.:woohoo:
Et la notion de plaisir doit quand même rester importante, si c'est pour revenir complètement dégouté ce n'est pas la peine.
C'est comme le grand parcours de la Pyrénéenne c'est un horreur, j'ai déjà fini complètement cramé le moyen parcours, alors je n'ose même pas imaginer le grand.
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Barousse bales aujourd'hui
Je me pointe au départ de cette cyclo (117km col de peyresourde et port de Bales) à 7h. Après le traditionnel retrait du dossard, je fais un petit échauffement d'une dizaine de kilomètre ou je tombe sur des connaissances.
Le départ est donné a 8h30. Il est assez rapide mais compte tenu que la circulation est ouverte, le rythme est entrecoupé de nombreux ralentissements: ce n'est pas pour me déplaire !
Au kilomètre 14, la première chute intervient, un mec tombe juste derrière moi, ce n'est pas passé loin pour ma part.
On remonte la vallée d'Aure, on est en peloton jusqu'a Arreau puis ça accelere brutalement. Je suis lâché mais je ne m'en fais pas.
Je monte ensuite le peyresourde en 39 minutes. Viens alors la descente... Je précise que je descends beaucoup mieux depuis que j'ai le nouveau vélo, j'ai fais énormément de progrès la dessus par rapport a avant.
En plein village de St Aventin, un camion double une voiture venant de s'arrêter , je me retrouve en plein milieu. Une seule solution monter sur le trottoir pour éviter le massacre.
Je leve la roue avant tel en cyclo cross et c'est repartit. Probleme, je suis victime 3km plus tard d'une crevaison lente. Je finis la descente, change la chambre et repart.
La montée du bales est correcte, en 1h10, j'ai de bonnes jambes et ça se passe bien.
J'arrive au sommet, je mange un truc et c'est parti pour la descente, j'arrive au premier lacet, je freine de la roue arriere, celle-ci se balade et paf, me voila dans le ravin... Je remonte à l'aide d'un motard, je remets la chaine (elle était coincée entre la pate de dérailleur et le pédalier, c'était funny a remettre
3km plus tard rebelotte mais cette fois-ci dans les arbres. La j'ai beaucoup plus mal, je me releve mais j'ai un gros hématome a la cuisse (la manette m'est rentrée dans la cuisse).
Une voiture de sécurité juste derrière moi descend avec 3 minots à l'interieur. Il fait signe aux jeunes de prévenir les autres que je suis tombé et que la zone est dangereuse, le concurrent suivant arrive et se reche aussi :woohoo: Lui se fait bien plus mal, il tombe sur le goudron.
Je regarde avec le mec quel est le soucis, en fait ma roue est complétement voilée et la jante rentre à l'interieur.
Je me fais doubler dans la suite de la descente par une soixantaine de concurrents et j'arrive à l'arrivée je ne sais pas trop comment.
J'en termine en 4h48, j'ai du perdre 20 minutes entre tout ca et une dizaine de minutes à descendre le bales a 20km/h
Pierre Richard je vous dis :fouet:
Je me pointe au départ de cette cyclo (117km col de peyresourde et port de Bales) à 7h. Après le traditionnel retrait du dossard, je fais un petit échauffement d'une dizaine de kilomètre ou je tombe sur des connaissances.
Le départ est donné a 8h30. Il est assez rapide mais compte tenu que la circulation est ouverte, le rythme est entrecoupé de nombreux ralentissements: ce n'est pas pour me déplaire !
Au kilomètre 14, la première chute intervient, un mec tombe juste derrière moi, ce n'est pas passé loin pour ma part.
On remonte la vallée d'Aure, on est en peloton jusqu'a Arreau puis ça accelere brutalement. Je suis lâché mais je ne m'en fais pas.
Je monte ensuite le peyresourde en 39 minutes. Viens alors la descente... Je précise que je descends beaucoup mieux depuis que j'ai le nouveau vélo, j'ai fais énormément de progrès la dessus par rapport a avant.
En plein village de St Aventin, un camion double une voiture venant de s'arrêter , je me retrouve en plein milieu. Une seule solution monter sur le trottoir pour éviter le massacre.
Je leve la roue avant tel en cyclo cross et c'est repartit. Probleme, je suis victime 3km plus tard d'une crevaison lente. Je finis la descente, change la chambre et repart.
La montée du bales est correcte, en 1h10, j'ai de bonnes jambes et ça se passe bien.
J'arrive au sommet, je mange un truc et c'est parti pour la descente, j'arrive au premier lacet, je freine de la roue arriere, celle-ci se balade et paf, me voila dans le ravin... Je remonte à l'aide d'un motard, je remets la chaine (elle était coincée entre la pate de dérailleur et le pédalier, c'était funny a remettre
3km plus tard rebelotte mais cette fois-ci dans les arbres. La j'ai beaucoup plus mal, je me releve mais j'ai un gros hématome a la cuisse (la manette m'est rentrée dans la cuisse).
Une voiture de sécurité juste derrière moi descend avec 3 minots à l'interieur. Il fait signe aux jeunes de prévenir les autres que je suis tombé et que la zone est dangereuse, le concurrent suivant arrive et se reche aussi :woohoo: Lui se fait bien plus mal, il tombe sur le goudron.
Je regarde avec le mec quel est le soucis, en fait ma roue est complétement voilée et la jante rentre à l'interieur.
Je me fais doubler dans la suite de la descente par une soixantaine de concurrents et j'arrive à l'arrivée je ne sais pas trop comment.
J'en termine en 4h48, j'ai du perdre 20 minutes entre tout ca et une dizaine de minutes à descendre le bales a 20km/h
Pierre Richard je vous dis :fouet:
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Bravo tu as été impressionnant de courage d'arriver au bout qui plus est a une belle moyenne (près de 27 si je me souviens bien) avec tout ce qui t'es arrivé !
Bon rétablissement à toi et j'espère que tu vas vite pouvoir remonter sur le vélo !

Bon rétablissement à toi et j'espère que tu vas vite pouvoir remonter sur le vélo !
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Bravo pour ta perf, mais les raisons de tes chutes sont la pluie ? Car une roue arrière qui part lors d'un freinage je vois que ça comme raison... En tout cas tu as eu de la chance de ne pas t'étre fait mal lors de ces deux gadins ;-)
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Salut Tony, la roue arrière est complétement voilée, elle arrive même à toucher les patins. Cela ne freinait quasiment plus et c'était une vraie patinoire. J'ai eu de la chance oui car la première fois je suis vraiment tomber à pic dans le ravin et ça fait drôle.
Après les deux chutes était dans des virages, je devais être a 25km/h grand maximum.
Après les deux chutes était dans des virages, je devais être a 25km/h grand maximum.
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Bravo à toi Pierrericharddu34 ! Le pire a donc été évité : :hosto: , et en plus tu termines malgré un matos mal en point. :)
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Les résultats de cette épreuve http://www.ats-sport.com/h/index.php?fi ... =2644-4219
Enfin, le smiley qui exprime parfaitement ta course :velotombe:
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