73ème Gran Premio città di Peccioli - Coppa Sabatini (1.Pro)
La Coppa Sabatini 2025, disputée ce jeudi 11 septembre, reste fidèle à son identité : une classique vallonnée au cœur de la Toscane, où seuls les plus solides puncheurs peuvent espérer briller. Le départ et l’arrivée sont, comme de coutume, fixés à Peccioli, pour une journée de près de 200 kilomètres au profil aussi usant que sélectif. Dès la mise en route, les coureurs affrontent une portion en ligne d’une cinquantaine de kilomètres, ponctuée par les ascensions de Montefoscoli, Terricciola, Lajatico et la montée vers la Piazza del Popolo. De quoi rapidement tendre le peloton et donner le ton.
La course entre ensuite dans son schéma bien huilé, avec cinq tours d’un circuit d’environ 25 kilomètres. À chaque passage, Montefoscoli, Terricciola et Peccioli se chargent d’user les organismes, créant un terrain propice aux attaques et aux mouvements de course. Les formations armées d’un leader doivent alors doser leurs efforts : contrôler le tempo sans étouffer leurs forces, tout en veillant à ne pas laisser filer une échappée dangereuse.
Le dénouement se joue sur trois boucles finales, plus courtes (12 km), où la nervosité atteint son paroxysme. La Via Mazzini, raidillon explosif qui mène à l’arrivée à Peccioli, sert de rampe de lancement aux offensives décisives. C’est souvent là que la sélection finale s’opère : un sprint réduit entre puncheurs au sommet ou, plus fréquemment encore, un numéro en solitaire d’un coureur capable de tenir son effort jusqu’au bout, à l’image du Suisse Marc Hirschi l’an dernier.
Départ à 11h30
Arrivée vers 16h15 pour la victoire de Del Toro
à partir de 14h45 sur HBO Max Eurosport
La Coppa Sabatini 2025, disputée ce jeudi 11 septembre, reste fidèle à son identité : une classique vallonnée au cœur de la Toscane, où seuls les plus solides puncheurs peuvent espérer briller. Le départ et l’arrivée sont, comme de coutume, fixés à Peccioli, pour une journée de près de 200 kilomètres au profil aussi usant que sélectif. Dès la mise en route, les coureurs affrontent une portion en ligne d’une cinquantaine de kilomètres, ponctuée par les ascensions de Montefoscoli, Terricciola, Lajatico et la montée vers la Piazza del Popolo. De quoi rapidement tendre le peloton et donner le ton.
La course entre ensuite dans son schéma bien huilé, avec cinq tours d’un circuit d’environ 25 kilomètres. À chaque passage, Montefoscoli, Terricciola et Peccioli se chargent d’user les organismes, créant un terrain propice aux attaques et aux mouvements de course. Les formations armées d’un leader doivent alors doser leurs efforts : contrôler le tempo sans étouffer leurs forces, tout en veillant à ne pas laisser filer une échappée dangereuse.
Le dénouement se joue sur trois boucles finales, plus courtes (12 km), où la nervosité atteint son paroxysme. La Via Mazzini, raidillon explosif qui mène à l’arrivée à Peccioli, sert de rampe de lancement aux offensives décisives. C’est souvent là que la sélection finale s’opère : un sprint réduit entre puncheurs au sommet ou, plus fréquemment encore, un numéro en solitaire d’un coureur capable de tenir son effort jusqu’au bout, à l’image du Suisse Marc Hirschi l’an dernier.
Départ à 11h30
Arrivée vers 16h15 pour la victoire de Del Toro
à partir de 14h45 sur HBO Max Eurosport
Mais non, ils sont toujours là, donc l'intérêt de la course est quand même proche de 0 hélas 
