Que dire de la saison de la formation Team Dimension Data, si ce n’est que celle-ci est largement en-dessous des standards normalement attendus lorsque l’on évoque une structure appartement au World-Tour. Invisible durant une bonne partie de l’année, l’équipe sud-africaine ne compte, au moment de dresser le bilan, que 7 succès au compteur, et sans la belle Vuelta de Ben King, aucun d’entre eux n’aurait été obtenu sur le circuit principal. Autant dire que pour Dimension Data, c’est une année à oublier, et 2019 ne pourra qu’être un meilleur cru, surtout avec l'arrivée de Michael Valgren.
La révélation
Ben O’Connor : si l’on met de côté Ben King et ses deux succès obtenus lors de la Vuelta, Ben O’Connor est certainement la seule et unique satisfaction de l’année côté sud-africain. Auteur d’une très belle première partie de saison, le jeune australien de 22 ans a notamment signé un top 10 lors du Tour des Alpes, avant d’enchaîner avec un très bon Giro, qu’il a malheureusement du quitter prématurément, alors qu’il était à la lutte pour un top 10. De bon augure pour la saison prochaine, où il sera forcément attendu.
Ben O’Connor : si l’on met de côté Ben King et ses deux succès obtenus lors de la Vuelta, Ben O’Connor est certainement la seule et unique satisfaction de l’année côté sud-africain. Auteur d’une très belle première partie de saison, le jeune australien de 22 ans a notamment signé un top 10 lors du Tour des Alpes, avant d’enchaîner avec un très bon Giro, qu’il a malheureusement du quitter prématurément, alors qu’il était à la lutte pour un top 10. De bon augure pour la saison prochaine, où il sera forcément attendu.
La déception
Mark Cavendish : on aurait pu citer Meintjes, Boasson Hagen, Cummings ou même encore Morton, mais finalement le choix s’est porté sur Mark Cavendish, qui même si il a subit quelques pépins cette saison a semblé bien loin du niveau qui était le sien il y a quelques années. Très inquiétant pour le britannique, d’autant plus suite à l’émergence d’une nouvelle génération dorée du sprint, qui pourrait bien ne lui laisser que des plumes en 2019.
Mark Cavendish : on aurait pu citer Meintjes, Boasson Hagen, Cummings ou même encore Morton, mais finalement le choix s’est porté sur Mark Cavendish, qui même si il a subit quelques pépins cette saison a semblé bien loin du niveau qui était le sien il y a quelques années. Très inquiétant pour le britannique, d’autant plus suite à l’émergence d’une nouvelle génération dorée du sprint, qui pourrait bien ne lui laisser que des plumes en 2019.
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