Re: Tour du Pays Basque (2.UWT) du lundi 1er au samedi 6 avril 2024
Publié : 04 avr. 2024, 23:17
"Final bottle", haha, kèkcèkssa
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Un shot de caféine et d'autres substances pas toujours très identifiées, c'est la fameuse bomba de chez QS notamment
les organisateurs tendent à éviter ces secteurs justementThor8_one a écrit : 04 avr. 2024, 23:31 Pour le mobilier urbain, il explique qu on fait tout pour que les voitures roulent a 30km/h dans les villes et qu on fait arriver des cyclistes a 80km/h.
2003, évidemment, mais sur les autres années ça ne me laisse aucun souvenir.Ponpon80 a écrit : 05 avr. 2024, 07:32 Armstrong a chuté sur les tours 1999, 2002, 2003 (et je ne compte pas sa traversée dans les champs) et 2005. Les chutes n'ont eu aucune conséquence mais il a chuté sur 4 de ses 7 tours.
Dieu t'entende amigo
OuiPuncheur71 a écrit : 05 avr. 2024, 08:49 Les commentaires qui mettent en cause le parcours sur cette chute sont déplacés. Le parcours n'est absolument pas en cause, le virage n'était pas dangereux, il a été abordé trop vite, sans anticipation des racines qui déformaient le goudron. On va pas supprimer toutes les descentes où il y a des virages ? Et toutes les routes où il y a des petits trous/bosses ?
Soyons sérieux un moment, il s'agit d'un triste aléa, sauf que là il touche des "cracks". Y'en a tous les jours qui touchent des no-name, parfois avec des parcours à mettre en cause effectivement, et personne dit rien. Au lieu de chercher des responsables à tout et n'importe quoi, certains feraient mieux d'accepter la fatalité. Des chutes graves, il y en a toujours eu, il y en aura toujours.
Ponpon80 a écrit : 05 avr. 2024, 09:24 Pour les chutes d'Armstrong, 1999 : chute (accrochage) lors de la 2e étape gagnée par Cipollini parmi ses 4.
2002 : lors de l'étape gagnée par l'Espagnol de la Mapei (je n'arrive plus à trouver son nom), il chute à une dizaine de km de l'arrivée (et perd un peu de temps d'ailleurs), il dira que la chute l'a beaucoup gêné pour le chrono gagné par Botero.
2003 : chute lors de la 1ère étape et chute à Luz Ardiden causée par le spectateur.
2005 : chute lors de l'étape gagnée par Serrano à Mende (chute sans gravité au début d'étape).
Tu as sans doute raison, et ça me rappelle l'image de Remco resté par terre à attendre que la course des Raisins 2021 ne reprenne lorsqu'il était échappé avec 30 secondes sur le peloton. Il avait même pris le soin de se couvrir.jimmy39 a écrit : 05 avr. 2024, 08:54 Je voulais poser une question aux experts du fonctionnement du corps. Pourquoi les coureurs, lors de neutralisations dont la durée est par essence inconnue, restent debout ou à la limite vaguement appuyés sur leur machine ? Est-ce qu'il ne serait pas plus intelligent de s'asseoir par terre pour se reposer ?
Comme les neutralisations semblent être de plus en plus fréquentes, je m'étonne que les soi-disant équipes de pointe n'ait pas de protocole pour ce fait de course. Parce qu'on a bien vu que certains coureurs avaient plus de mal à rester performant après cette interruption que d'autres.
Il n'arrêtait pas de tomber à son retour. Il se fait la clavicule en 2009, il tombe plusieurs fois sur le TDF 2010.Ponpon80 a écrit : 05 avr. 2024, 09:48Ponpon80 a écrit : 05 avr. 2024, 09:24 Pour les chutes d'Armstrong, 1999 : chute (accrochage) lors de la 2e étape gagnée par Cipollini parmi ses 4.
2002 : lors de l'étape gagnée par l'Espagnol de la Mapei (je n'arrive plus à trouver son nom), il chute à une dizaine de km de l'arrivée (et perd un peu de temps d'ailleurs), il dira que la chute l'a beaucoup gêné pour le chrono gagné par Botero.
2003 : chute lors de la 1ère étape et chute à Luz Ardiden causée par le spectateur.
2005 : chute lors de l'étape gagnée par Serrano à Mende (chute sans gravité au début d'étape).
Et j'ai même oublié ses chutes en 2010, mais je ne me souviens absolument plus de ce tour.
Attention quand même à l'effet pervers : en l'absence de signalement je n'ai aucun doute sur le fait que les coureurs gagneront en confiance et rouleront encore plus vite, augmentant à nouveau les risques de chutes, et encore plus graves.Bold Uccello a écrit : 05 avr. 2024, 09:42[...]Puncheur71 a écrit : 05 avr. 2024, 08:49 Les commentaires qui mettent en cause le parcours sur cette chute sont déplacés. Le parcours n'est absolument pas en cause, le virage n'était pas dangereux, il a été abordé trop vite, sans anticipation des racines qui déformaient le goudron. On va pas supprimer toutes les descentes où il y a des virages ? Et toutes les routes où il y a des petits trous/bosses ?
Soyons sérieux un moment, il s'agit d'un triste aléa, sauf que là il touche des "cracks". Y'en a tous les jours qui touchent des no-name, parfois avec des parcours à mettre en cause effectivement, et personne dit rien. Au lieu de chercher des responsables à tout et n'importe quoi, certains feraient mieux d'accepter la fatalité. Des chutes graves, il y en a toujours eu, il y en aura toujours.
La seule chose que je vois et qui me paraît plus facile à mettre en place c'est une reconnaissance accrue du parcours par les organisateurs et éventuellement accompagné "d'experts" en sécurité routières (cyclistes), pour analyser les points sensibles d'un parcours. Ensuite une fois que tout est bien analysé, on peut posté lors de la course un agent de sécurité qui avec un drapeau signale en amont le risque accru sur une partie du parcours. Aussi cela peut être signifié sur le road book (ornières, racine, trou, gravillons, rétrécissement, etc) et rappeler en cours de course au DS par radio.
Actuellement on fait beaucoup de signalisation du danger au abord et dans les agglomérations. On peut le faire avec les descentes et portions techniques.
[...]
Le roadbook c'est intéressant, mais encore faudrait-il que les DS les ouvrentBold Uccello a écrit : 05 avr. 2024, 09:42
Oui.
Je suis d'accord on veut toujours tout remettre en cause dès que des coureurs "importants/réputés" chutent.
Malgré toute la peine que cette chute peut causer à voir, ce n'est pas nécessaire de remettre tout cause (état des routes, aménagement routiers, freins à disque, vélo trop rapide, etc).
La seule chose que je vois et qui me paraît plus facile à mettre en place c'est une reconnaissance accrue du parcours par les organisateurs et éventuellement accompagné "d'experts" en sécurité routières (cyclistes), pour analyser les points sensibles d'un parcours. Ensuite une fois que tout est bien analysé, on peut posté lors de la course un agent de sécurité qui avec un drapeau signale en amont le risque accru sur une partie du parcours. Aussi cela peut être signifié sur le road book (ornières, racine, trou, gravillons, rétrécissement, etc) et rappeler en cours de course au DS par radio.
Actuellement on fait beaucoup de signalisation du danger au abord et dans les agglomérations. On peut le faire avec les descentes et portions techniques.
Pas besoin de réinventer tout le sport cycliste. Même si bien sûr il faut toujours essayer de le faire évoluer dans des conditions réaliste tout ce qui peut l'être.
Dans un esprit scientifique la remise en question est primordial mais cela n'implique pas qu'il faut tout jeter à chaque fois mais plutôt faire évoluer![]()
Je trouve au contraire que c'est trop facile de remettre la charge sur les organisateurs.Bold Uccello a écrit : 05 avr. 2024, 09:42OuiPuncheur71 a écrit : 05 avr. 2024, 08:49 Les commentaires qui mettent en cause le parcours sur cette chute sont déplacés. Le parcours n'est absolument pas en cause, le virage n'était pas dangereux, il a été abordé trop vite, sans anticipation des racines qui déformaient le goudron. On va pas supprimer toutes les descentes où il y a des virages ? Et toutes les routes où il y a des petits trous/bosses ?
Soyons sérieux un moment, il s'agit d'un triste aléa, sauf que là il touche des "cracks". Y'en a tous les jours qui touchent des no-name, parfois avec des parcours à mettre en cause effectivement, et personne dit rien. Au lieu de chercher des responsables à tout et n'importe quoi, certains feraient mieux d'accepter la fatalité. Des chutes graves, il y en a toujours eu, il y en aura toujours..
Je suis d'accord on veut toujours tout remettre en cause dès que des coureurs "importants/réputés" chutent.
Malgré toute la peine que cette chute peut causer à voir, ce n'est pas nécessaire de remettre tout cause (état des routes, aménagement routiers, freins à disque, vélo trop rapide, etc).
La seule chose que je vois et qui me paraît plus facile à mettre en place c'est une reconnaissance accrue du parcours par les organisateurs et éventuellement accompagné "d'experts" en sécurité routières (cyclistes), pour analyser les points sensibles d'un parcours. Ensuite une fois que tout est bien analysé, on peut posté lors de la course un agent de sécurité qui avec un drapeau signale en amont le risque accru sur une partie du parcours. Aussi cela peut être signifié sur le road book (ornières, racine, trou, gravillons, rétrécissement, etc) et rappeler en cours de course au DS par radio.
Actuellement on fait beaucoup de signalisation du danger au abord et dans les agglomérations. On peut le faire avec les descentes et portions techniques.
Pas besoin de réinventer tout le sport cycliste. Même si bien sûr il faut toujours essayer de le faire évoluer dans des conditions réaliste tout ce qui peut l'être.
Dans un esprit scientifique la remise en question est primordial mais cela n'implique pas qu'il faut tout jeter à chaque fois mais plutôt faire évoluer![]()