" La note du premier "posteur" relative aux commentaires de Chène dans la montée des Deux-Alpes est parfaitement exacte. J'ai immédiatement relevé cette relation de course "abracadabrantesque" comme aurait dit "Chichi" ! "
merci Vincent2a , je suis en quelque sorte rassuré de n' être pas le seul à l' avoir remarqué !
dans un genre anecdotique et non critique , deux autres souvenirs des commentaires ce jour-là : au moment de la crevaison d' ullrich juste avant la montée finale , chêne : " ce n' est jamais le bon moment pour crever , mais là c' est vraiment le mauvais mauvais mauvais moment " , et thévenet s' agaçant sérieusement que le regretté jimenez fasse semblant ( selon lui ) de ne pas réussir pendant de longues minutes à enfiler son imperméable au début de la descente du galibier dans le but ( toujours selon lui ) de ne pas prendre de relais
Patrick Chêne et les Deux Alpes
Modérateur : Modos VCN
Re: Patrick Chêne et les Deux Alpes
Et en plus il y avait des équipes de 12 à l'époque.ulysse1 a écrit : 10 mai 2017, 13:37 il faut dire aussi que sur ces 4 km du puy de dôme la pente moyenne dépasse 12 % , ce qui en france est tout à fait hors norme ;
mais la plus grande différence entre bahamontes et les meilleurs grimpeurs d' aujourd' hui est qu' il n' y avait pratiquement pas d' arrivée en altitude , et qu' il gagnait la plupart de ses étapes de montagne après des descentes , et pas de 20 km comme aujourd' hui , mais en général de 40 ( briançon ) ou mieux encore , le jour de ses 36 ans , de 70 km ( pau après l' aubisque , quatrième col de l' étape classique , au somment duquel il avait près de 7 minutes d' avance , et pas comme un quelconque échappé du jour mais alors qu' il était candidat à la victoire finale et virtuel maillot jaune depuis un moment ce jour-là )
La question se pose donc : plutôt que de vouloir diminuer le nombre de coureurs par équipe, ne faudrait-il pas mieux l'augmenter ? Curieux d'avoir l'avis de veji2 sur le sujet

Re: Patrick Chêne et les Deux Alpes
Bah, à l'époque, il y avait assez peu de vrais pros. Tu peux mettre 15 coureurs dans une équipe, mais si tu en as que 4 ou 5 qui ont le niveau, tu ne peux pas contrôler la course. Bahamontès, il n'avait qu'1 ou 2 équipiers valables, Fernando Manzanèque surtout.marooned2 a écrit : 10 mai 2017, 14:25Et en plus il y avait des équipes de 12 à l'époque.ulysse1 a écrit : 10 mai 2017, 13:37 il faut dire aussi que sur ces 4 km du puy de dôme la pente moyenne dépasse 12 % , ce qui en france est tout à fait hors norme ;
mais la plus grande différence entre bahamontes et les meilleurs grimpeurs d' aujourd' hui est qu' il n' y avait pratiquement pas d' arrivée en altitude , et qu' il gagnait la plupart de ses étapes de montagne après des descentes , et pas de 20 km comme aujourd' hui , mais en général de 40 ( briançon ) ou mieux encore , le jour de ses 36 ans , de 70 km ( pau après l' aubisque , quatrième col de l' étape classique , au somment duquel il avait près de 7 minutes d' avance , et pas comme un quelconque échappé du jour mais alors qu' il était candidat à la victoire finale et virtuel maillot jaune depuis un moment ce jour-là )
La question se pose donc : plutôt que de vouloir diminuer le nombre de coureurs par équipe, ne faudrait-il pas mieux l'augmenter ? Curieux d'avoir l'avis de veji2 sur le sujet![]()
Aujourd'hui, le niveau moyen est tellement relevé qu'on serait parfois bien content qu'il n'y ait que 4 ou 5 équipiers valables. Mais dans le cyclisme 2017, sur des équipes de 9, ben tu as 9 coureurs de très bon niveau. Et parfois 9 leaders potentiels, dans les plus grosses armadas (Sky, Movistar ).
Re: Patrick Chêne et les Deux Alpes
si quintana était moins bon descendeur et moins bon rouleur , son palmarès serait moins étoffé mais peut-être nous montrerait-il qu' il est vraiment de la lignée des " super-grimpeurs " légendaires , et finalement cela nous plairait sans doute davantage !