Forum cyclisme de Velo-Club du Net

Gambrinus2 a écrit :[align=center:123grq6u][url=http://www.hostingpics.net/viewer.php?i ... g:123grq6u][img:123grq6u]http://img15.hostingpics.net/pics/51558 ... tocrop.jpg[/img:123grq6u][/url:123grq6u][/align:123grq6u]

Enfin il craque, me suis-je dit ce jour là :woohoo: Bon débarras après 5 Tours chiants au possible...... :goodbye:
J'en ai presque eu une érection..... ops: Oui je sais, c'est pas bien, mais il faut remettre les choses dans leur contexte :sleep:

Nopik a écrit :Ahh oui le fameux chrono et les 8" m'étaient sorti de la tête ! :whistle:
Du coup oui la déception c'était vraiment à chaud.
Mais ils étaient équipiers, ou je confonds ?

-Kasseifretter- a écrit :[img:1tfni8ue]http://bikeraceinfo.com/images-all/phot ... labert.jpg[/img:1tfni8ue]

Celle-ci est aussi mythique mais pour moi, quand je regarde cette image, j'ai la voix de Patrick Chene dans la tête qui hurle "Merci Monsieur Jalabert!"...

Chavaloin a écrit :Le Tour 89 mon premier souvenir du Tour en direct, j'étais triste comme jamais mais ce fut le plus beau Tour auquel j'ai assisté.

Pour Delgado il a surtout perdu le Tour sur le chrono par équipe ou il perd 4'32" en plus.

Puis à ce moment là c'était bien quand Indurain gagnait (quel numéro dans l'étape de l'Alpe avec Delgado sur le porte bagage.)

Transju27 a écrit :

Nopik a écrit :Ahh oui le fameux chrono et les 8" m'étaient sorti de la tête ! :whistle:
Du coup oui la déception c'était vraiment à chaud.
Mais ils étaient équipiers, ou je confonds ?

Tu le fais exprès, ou t'es idiot ?
Quand on s'intéresse un peu au cyclisme le Tour 89 et les 8s entre Fignon et Lemond s'est incontournable.
Quant à dire "ils étaient équipiers", regarde la photo, les sponsors des 2 coureurs ne sont évidemment pas les mêmes.

T'arrives de quelle planète ?

GATO a écrit :

Chavaloin a écrit :Le Tour 89 mon premier souvenir du Tour en direct, j'étais triste comme jamais mais ce fut le plus beau Tour auquel j'ai assisté.

Pour Delgado il a surtout perdu le Tour sur le chrono par équipe ou il perd 4'32" en plus.

Puis à ce moment là c'était bien quand Indurain gagnait (quel numéro dans l'étape de l'Alpe avec Delgado sur le porte bagage.)

Perico Delgado n`avait pas trouvé le sommeil de toute la nuit, les nerfs et la culpabilité de son erreur du prologue.
Le matin il y avait une étape de transicion et le chrono par équipes l`après-midi, il était sans force, l`équipe a du l`attendre plusieurs fois. Sans cela il aurait joué la victoire avec les deux autres.
Quel Tour énorme de Miguel B)

-Kasseifretter- a écrit :[img:in11ntb5]https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/73 ... 0852e6.jpg[/img:in11ntb5]

Fin des années 80... J'avais 12 ans... Je reconnais que les errances capillaires des sportifs et autres vedettes de l'époque auront une influence sur mon look d'adolescent... :rock:
:whistle:

Tontontrotsko a écrit :[img:3snfjhu5]http://www.strettoweb.com/wp-content/up ... nibali.png[/img:3snfjhu5]

Mercredi 9 juillet 2014. Jusque-là raillé pour ses raids de grande aventure brisés par quelque quatrième couteau surgi du néant, ou ses succès arrachés, dit-on, à une concurrence qualifiée d'étriquée, ou encore son style poussif, un homme a rendez-vous avec son destin. Lui, le Sicilien ombrageux à la peau tannée par le soleil méditerranéen, lui dont la svelte silhouette épouse comme une ombre les interminables pentes des plus hauts cols européens, lui qui a soumis tant et tant de ces cols non pas dans leur versant ascendant mais descendant, en sublime artificier, en oiseau de proie, avec la majesté indolente d'un point de fuite, oui, c'est cet homme qui se révèle dans le bourbier flamand proposé ce jour-là. L'image dit tout : les yeux fermés, Vincenzo Nibali s'avance avec la plus froide détermination du monde vers la réalisation de la Prophétie. Rien ne pouvait l'arrêter, et son corps ceint de lumière et du bleu délavé des ciels purs avalait un à un les morceaux de terre arrachée qui se succédaient dans une improbable liturgie. Ni la pierre, froide et huileuse, parsemée en petits blocs acérés comme autant d'épines sur le front du Christ, ni la pluie, torrents implacables jetés à la figure de ces pantins désarticulés comme pour laver les âmes les plus souillées d'entre eux, rien, absolument rien ne pouvait stopper cette chevauchée héroïque. Se permettant même le luxe de désarçonner les bûcherons friands de ces paysages apocalyptiques, Vincenzo Nibali étire comme une guirlande la file des prétendants au sacre suprême sans jamais se retourner, avec pour verbe le mouvement ininterrompu de ses cuisses. Voyez cette pointe de lassitude dans le regard ! Elle n'est pas abandon. Sinon l'abandon à la Prophétie. Elle dit tout, de cet acteur écrasé par le défi comme ont pu l'être tant et tant de ces héros mythologiques dont on se ressasse les exploits entre crainte et envie, élu d'une cause qui le dépasse mais qui se magnifie, malgré tout. Car la Prophétie est la Vie, jamais choisie mais qui se doit d'être honorée à sa juste valeur. Alors il avance, inexorablement, vers l'accomplissent de son destin. Déjouant tous les pronostics. Levant grand les bras à l'espérance folle qu'il a répandu sur les routes, cette folle journée-là, qui fût bien davantage qu'un moment de sport. Ce jour-là, Vincenzo Nibali était un poème.

On1 a écrit :[b:3id7ejgd]Très bon topic,[/b:3id7ejgd] j'ai quelques images en tête à poster quand je serai sur PC.

damienleflahute a écrit :

-Kasseifretter- a écrit : ...

Putain j'adorais Theunisse! Je ne sais plus quelle excuse il avait donné suite à son contrôle positif mais je le croyais. Il n'y avait pas de dopage dans le vélo, c'etair plutôt un truc de coureur de 100m. Je n'avais pas 11 ans.