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ray a écrit : 26 janv. 2020, 11:47 Holmes, il était dans l'échappée ?

blouss_ a écrit : 26 janv. 2020, 11:48

ray a écrit : 26 janv. 2020, 11:47 Holmes, il était dans l'échappée ?

oui, tout comme Boaro, Armirail et Storer

Rondeville a écrit : 26 janv. 2020, 12:11 Power a bien craqué aussi, il se fait lâcher un peu avant Impey pour finir à quasiment 2'.

Ancelin a écrit : 26 janv. 2020, 11:48

blouss_ a écrit : 26 janv. 2020, 11:40 A noter aussi la révélation du petit colombien de service Santiago Buitrago, top 20 pour sa première course WT à 20 ans.

Oui pourtant c'était pas le meilleur colombien en espoir.

TommySheeran a écrit : 26 janv. 2020, 07:47 Holmes c'est élémentaire . Plaisir de retrouver Geschke a ce niveau. Pour Bardet quel intérêt d'avoir fait le voyage il aurait mieux fait de reprendre plus tard

Nopik a écrit : 26 janv. 2020, 08:12 Bennett a 29", il a bien fait de faire rouler Tolhoek. Et Bardet hors du top 10 à 48"... Comprends pas l'attitude de ces gens là.

Dommage pour Impey qui a vraiment craqué

TommySheeran a écrit : 26 janv. 2020, 11:00

On3 a écrit : 26 janv. 2020, 10:36


Les mecs qui reprochent à Bardet de reprendre trop tôt, sont les mêmes qui lui reprochent de couper trop tôt et de ne pas faire de second GT sur la saison.

Sa sert a quoi d'arriver si tôt en australie (il est arrivé au moins 10 jours avant le down under) si c'est pour jamais peser sur la course. Il aurait très bien pu reprendre en espagne ou en france en fevrier. Je vois juste pas l’intérêt, aucun rapport avec le fait de courir 2 Gt la même année

Ilnur majka a écrit : 26 janv. 2020, 11:27 A noter les "petites équipes " ont bien montrer leur maillot sur ce Tour d'Adelaide
victoire de Nizzolo pour la NTT et 3e place au CG et maillot a pois pour la CCC
pour le moment le concept de WT à deux vitesse démenti :siffle :

luckywinner a écrit : 26 janv. 2020, 15:53

TommySheeran a écrit : 26 janv. 2020, 07:47 Holmes c'est élémentaire . Plaisir de retrouver Geschke a ce niveau. Pour Bardet quel intérêt d'avoir fait le voyage il aurait mieux fait de reprendre plus tard

Pas besoin d'attendre le résultat de la course pour dire ça
Après l'objectif c'est plutôt d'aborder la saison différemment pour lui. Le parcours ne lui aurait pas permis de vraiment briller dans tous les cas.

Perso je me demande comme Yates lui va digérer cette formeforme, mais si il a craqué un peu aujourd'hui.
Je ne me souviens pas d'un grimpeur européen aussi en forme sur le TDU.

On3 a écrit : 26 janv. 2020, 16:17

Ilnur majka a écrit : 26 janv. 2020, 11:27 A noter les "petites équipes " ont bien montrer leur maillot sur ce Tour d'Adelaide
victoire de Nizzolo pour la NTT et 3e place au CG et maillot a pois pour la CCC
pour le moment le concept de WT à deux vitesse démenti :siffle :

Les nazes se rebiffent.

Nopik a écrit : 26 janv. 2020, 16:04 Ah oui la fameuse tactique du "vous avez raté l'échappée, maintenant vous allez rouler derrière". Surtout sur le TDU. C'est grandiose.

luckywinner a écrit : 26 janv. 2020, 16:58

Nopik a écrit : 26 janv. 2020, 16:04 Ah oui la fameuse tactique du "vous avez raté l'échappée, maintenant vous allez rouler derrière". Surtout sur le TDU. C'est grandiose.

En quoi ça te dérange ?
Tu préfères voir une équipe fantôme dans le peloton ?

C'est du management d'équipe ce que font les DS dans ces situations.

La sanction doit, tout d’abord, donner à penser et non à voir ; et donc renoncer tant au spectaculaire, qu’à la mise en scène ou à l’édification du groupe. S’il n’y a pas de sanction exemplaire, mais que des punisseurs exemplaires, c’est parce que ce qui doit toujours être privilégié, c’est le sens donné par une parole établissant une relation avec la transgression. La sanction n’a pas l’obligation d’être admise, du moment qu’elle est comprise. Cette compréhension peut se manifester tardivement, ses effets ayant un rôle bien plus structurant qu’on ne l’imagine. En cela, la sanction se distingue de la vengeance qui, elle, est silencieuse et ne s’annonce pas forcément.

Seconde règle, la sanction porte sur des actes : on sanctionne un manquement à un contrat social, pas celui qui s’en est rendu coupable, l’indignité de ce qui a été commis et non l’indignité de son auteur, le vol et non le voleur. Le sujet doit bénéficier d’une bienveillance inconditionnelle. C’est sur ses conduites que s’exerce l’intolérance. On préserve ainsi l’infracteur d’une culpabilité ontologique qui porterait sur sa personne, sur son manque ou son déficit.

Troisième règle, la sanction doit apparaître comme privative d’un avantage, d’une joie ou d’un droit partagé (comme être avec ses pairs). S’il y a là une inévitable source de frustration, il ne peut y avoir d’humiliation. Aristote expliquait qu’il y a une bonne honte, c’est celle qui freine les attitudes, sans altérer la personnalité.

Dernière règle d’une sanction qui se veut éducative : un geste à l’intention de la victime. Ce qu’il est de coutume d’appeler la réparation, permet non seulement de compenser le tort commis, mais aussi, par un acte positif, de réintégrer le lien social.