Je ne suis pas forcément de ton avis. Si on a eu 2 semaines de Tour auparavant, et par définition de la haute-montagne, si elle n'est pas à la fin, on aura des écarts conséquents.dolipr4ne a écrit : 17 août 2020, 15:41 Je suis convaincu que l’organisateur qui saura virer toute haute-montagne (ou alors une etape maxi) en derniere semaine de GT aura tout compris niveau suspense et spectacle, et qu’il créera meme un précédent que les autres s’empresseront de copier.
Par la force des choses (sauf gros rebondissements sur les 2 premières semaines, mais on a pas vu ça depuis ullrich en 98), l'équipe du leader n'aura pas 10 gars à surveiller, sur un parcours casse pate, elle pourra donc toujours temporiser.
Peut-être aucun coureur d'ailleurs à surveiller, avec plusieurs minutes d'avance, il pourra laisser les autres se laisser rouler les uns sur les autres pour conserver leurs places au classement
S'il y en a 1 ou 2 éventuellement, ça restera plus facile à contrôler que la douzaine que devait surveiller Pinot hier.
Donc un Tour qui se terminerait la dernière semaine par des étapes dans le massif central ou les Vosges, je ne pense pas que je serai ravi du tracé. (hier il y a quand même de la haute-montagne, Romme/Colombière, ça les a lessivé!)
Je te rejoins davantage sur le salary cap, us postal, sky, ineos, jumbo, franchement, faudrait trouver enfin une solution!
Et là enfin on aura peut-être des retournements de situation typiques des Giros (2002, 2010, 2012,2016, 2018)
Et pourtant là-bas, c'est la haute-montagne qui a fait son œuvre (la version finale 2016, si o n l'a un jour sur le Tour, il ous marque à jamais!)