(Rétro Eurosport) dimanche 3 mai à 16 h 30 : Tour 2014 - #5 : Ypres – Arenberg-Porte du Hainaut

[AlbatorConterdo]

dég' de pas avoir accès à eurosport

et encore plus dég' car j'y avais accès gratuitement ya quelques semaines

https://www.streamonsport.net/39-regard ... atuit.html

[marcella]

Z en tête du peloton !

Cette étape fut vraiment mythique.

[jimmyjam2]

Quels commentaires affligeants quand même

Sannier et le regretté Fignong, qui ne rendent pas compte que Landis ne perd pas 1 seconde sur les 12km avant le dernier km.

[Tremiti]

Ca c'est de l'étape

[Coeur-de-Lyon]

Ca c'est de l'étape

C’est le truc le plus hallucinant que j’ai vu sur le Tour, même la célébration est folle

Beau jubilé

[nostradamus--dans--le--bus]

J' avais vu le début et la fin de l' étape seulement, j' étais étonné que les commentaires ne parlent pas plus de Landis, ils ont du mal à se rendre compte qu' il renverse le Tour.

[Zach]

TOUR 2011 - jeudi 21 et vendredi 22 juillet 2011

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18ème étape : Pignerol > Galibier / Serre-Chevalier, 200,5 km

19ème étape : Modane > L'Alpe-d'Huez, 109,5 km

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EUROSPORT 1 FRANCE - SAMEDI 2 MAI 2020 DE 14 H À 19 H 00

EUROSPORT 2 FRANCE - SAMEDI 2 MAI 2020 DE 20 H 00 À 21 H 00

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NB. Ces étapes ont déjà été diffusées sur la chaîne L'Equipe les 12 et 13 avril

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SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT ....

Deuis que Thomas Voeckler a pris le maillot jaune à Saint-Flour, la France chavire de bonheur. Ti'Blanc a pu conserver son maillot tout au long d'une héroïque traversée des Pyrénées, limitant les dégâts tant à Luz-Ardiden qu'au Plateau de Beille. La première étape des Alpes a amené le peloton à Pignerol, et une fois de plus Voeckler s'est illustré en ne perdant qu'une vingtaine de secondes sur ses adversaires malgré une visite impromptue dans une cour privée dans le descente du dernier col.

En ce jeudi 21 juillet, fête nationale en Belgique, les choses deviennent sérieuses : Agnel - Izoard et Galibier pour commencer, puis Galibier - Alpe d'Huez, et enfin contre la montre à Grenoble. La plupart de ceux qui suivent le cyclisme savent bien que la marche risque d'être un peu haute pour Voeckler, mais le grand public veut y croire ... Pourtant Cadel Evans n'est qu'à 1'18", Franck Schleck à 1'22" et Andy Schleck à 2'36" ...

Les maillots au départ de l'étape :
Jaune : Thomas Voeckler
Vert : Mark Cavendish
Maillot à pois : Jelle Vanendert
Blanc : Rigoberto Uran

LES ÉTAPES

LES CARTES

http://www.memoire-du-cyclisme.eu/eta_tdf/2011/2011_map18.jpg

http://www.memoire-du-cyclisme.eu/eta_tdf/2011/2011_map19.jpg

LES PROFILS

http://www.memoire-du-cyclisme.eu/eta_tdf/2011/2011_profil_18.gif
http://www.memoire-du-cyclisme.eu/eta_tdf/2011/2011_profil_19.gif

(Merci au site memoire-du-cyclisme.eu)

[SW3]

C'est le Sagan saturday sur Eurosport mais a priori pas en France

[dolipr4ne]

C'est le Sagan saturday sur Eurosport mais a priori pas en France

Nan, nous, c’est le frenchie saturday, weekend, month, year, infinite!

[Trinite]

Le TdF 2019, j'y arrive toujours pas...je ne comprends pas le pourquoi de sa bonne image, si l'on arrive à faire abstraction de ses protagonistes. Si l'on remplace les 2 Français qui s'y sont mis en évidence par 2 étrangers, pas sûr qu'il jouirait de la même popularité...
Ok, il était assez indécis, mais je ne vois pas d'étape spectaculaire. La seule où les leaders ont voulu secouer le cocotier d'assez loin fut interrompue avant la fin. L'étape suivante fut rabotée... Sur le reste, on voit surtout des coureurs envoyer le pâté peut avant la fin, l'étape de la PDBF résumant assez bien l'ensemble.
On dit que jamais la Sky/Ineos ne fut aussi faible, et pourtant ils font 1 et 2, preuve du manque d'initiative des autres leaders
Bref, il ne m'aura pas marqué.

Globalement d'accord avec ça.
La Planche des belles filles se résume au dernier km, le groupe principal sur le Tourmalet était encore composé d'une dizaine de coureurs à 1.5 km de l'arrivée (comme une montée HC du Tour 2016 en gros). Pinot fait tout péter à 6.5 km de l'arrivée au Prat d'Albis mais si c'est Froome ou Yates à la place, tout le monde vomit. Quant aux Alpes, les circonstances ont fait que ça a été décapité.

L'année passée on a eu un joli TDF, le plus symp a des 3 GT à suivre j'ai trouvé.

Par contre, des purges y'en a eu des belles en France, bien moins en Italie et en Espagne (même si c'est souvent que des muritos, y'a souvent de la bagarre sur la Vuelta.)

En 2018 :
Giro : particulier entre la domination de Yates, son explosion et Froome qui nous fait une remake de Landis...
TDF : Plié dès la Rosière... Circulez, malgré un joli baroud de SK.
Vuelta : plus incertaine et pas mal de luttes.

En 2017 :
Giro : très sympa avec une confrontation grimpeurs (Quintana, Nibaliet Pinot) vs rouleur (Dumoulin) incertitude jusqu'au dernier jour.
TDF : Plutôt pas mal, malgré l'absence de différence faîtes en montagne par les favoris, mais course sympa à suivre.
Vuelta : la Sky au dessus, circulez, GT sauvé par Contador et MAL, qui l'ont rendus sympas à suivre.

En 2016 :
Giro : Super, notamment avec l'étape de Risoul magnifique où tout bascule !
TDF : La PURGE de la décennie pour moi où le grotesque (Ventoux) se mêle à l'ennui
Vuelta : Magnifique passe d'arme entre Quintana et Froome, belle lutte entre Chaves et Contador pour le podium et surtout l'étape de Formigal !

2015 :
Giro : très beau, mais plié dès le CLM, Contador est seul dans son équipe, ça fausse la donne, avec une équipe plus forte aucun suspens, mais du coup avec l'armada Astana, c'était cool à suivre.
TDF : Plié dès la première arrivée au sommet, Alpes sympas, mais sans plus...
Vuelta : Révélation de Dumoulin et gros numéro des Astana pour renverser la course, très joli GT.

2014 :
Giro : Assez vague souvenir, Uran est très fort je crois et va perdre le maillot lors de l'épisode du Stelvio et de la course suspendue ou pas... Du coup, ça fait un peu tache, alors que Quintana va le chercher celui là avec panache !
TDF : Surdominé par Nibali, avec l’éternel regret personnel que Contador n'ai pas pu finir, c'était honnêtement sa dernière vraie chance sur le Tour...
Vuelta : Perso j'ai adoré ! Avec le recul et en gommant les noms, peut être pas si chouette que ça... Dur à juger...


Sur ces 5 dernières éditions, le GT où on se fait le plus chier, c'est selon moi, le Tour et de loin. 2019 est un peu l'exception qui confirme la règle.

C'est quand même très dur.
On a un prologue plutôt sympa, l'étape des bordures à Zélande le lendemain, l'arrivée au Mur de Huy qui a fait des différences, l'étape des pavés certes un peu décevante (comparé à 2014 évidemment mais moins difficile), Mur de Bretagne, la Pierre St Martin bah si on veut de l'action et des coureurs éparpillés..., la montée de Mende qui fait encore des écarts avec Froome/Quintana, et les Alpes où y'a eu des attaques de loin (Nibali, Quintana) avec un maillot jaune qui finit difficilement.

Après si on aime pas Froome, le ressenti sera différent mais ça veut dire que ça dépend aussi des protagonistes.

[dolipr4ne]

Que Ullrich se couvre plus ou pas en haut du Galibier n'aurait rien changé à la fin de l'étape. Il était juste à la rue comme il l'a toujours été dans le froid et la pluie. Son organisme ne réagissait pas bien dans ces conditions. Ca s'est vérifié durant toute sa carrière. Pantani lui colle 2'30" sur les 5 derniers km du Galibier. 30" au km... Et c'était le même tarif dans les Deux-Alpes. Rideau.

On ne peut pas etre aussi categorique, non? Meme Riis avait dit que c’etait une grosse erreur de ne pas s’etre couvert pour la descente. Et si Ullrich etait effectivement à la rue sous ce temps, on peut peut-etre croire qu’il aurait été un tout petit peu moins mal dans la derniere ascension, non?
En tout cas, quand on voit qu’il est quasiment le seul à ne pas s’etre couvert avant la descente, on peut quand meme relever que c’est une enieme erreur tactique de sa part. Je ne compte plus le nombre de fois où je l’ai vu rouler/relayer/attaquer là où il ne le devait pas. Meme techniquement, je l’ai vu (ça devait etre sur une autre étape que les Deux Alpes) prendre un virage à l’interieur d’un lacet, toujours assis evidemment, alors qu’il etait en grande souffrance. Au point qu’un échappé qu’il venait de rejoindre le redépasse, tellement Ullrich a pris ce virage comme un gamin (n’est pas Poels qui veut #angliru ). Il courait extremement mal, non? Exces de confiance vis-à-vis de sa force hors du commun?

[Trinite]

Un Tour avec au moins 6 vainqueurs potentiels à quelques jours de la fin, franchement, faut remonter loin pour trouver un équivalent.

Le Tour 2008 était dans une situation équivalente et, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'a pas marqué les mémoires (ce qui est un peu injuste pour Sastre, auteur d'une très belle montée de l'Alpe et d'un beau CLM final).

Pour le Tour 2019, je rejoins Albator, je le trouve également un peu surcoté même si ce fut une édition plaisante à suivre. Disons qu'il reste un goût amer avec les Alpes totalement tronqués. Et c'est dommage, car la plus belle étape de ce Tour aurait probablement été celle de l'Iseran sans l'interruption.

Le problème du Tour 2008 était le manque de grands noms ou de coureurs charismatiques.
Sastre, Menchov, Evans, F.Shcleck, Kohl, Vandevelde, Kirchen... Bon bah voilà quoi, c'est un beau plateau pour se jouer le gagne du Tour de Suisse quand tu vois les noms. On était encore dans la transition après l'affaire Puerto.

[marooned]

Que Ullrich se couvre plus ou pas en haut du Galibier n'aurait rien changé à la fin de l'étape. Il était juste à la rue comme il l'a toujours été dans le froid et la pluie. Son organisme ne réagissait pas bien dans ces conditions. Ca s'est vérifié durant toute sa carrière. Pantani lui colle 2'30" sur les 5 derniers km du Galibier. 30" au km... Et c'était le même tarif dans les Deux-Alpes. Rideau.

On ne peut pas etre aussi categorique, non? Meme Riis avait dit que c’etait une grosse erreur de ne pas s’etre couvert pour la descente. Et si Ullrich etait effectivement à la rue sous ce temps, on peut peut-etre croire qu’il aurait été un tout petit peu moins mal dans la derniere ascension, non?
En tout cas, quand on voit qu’il est quasiment le seul à ne pas s’etre couvert avant la descente, on peut quand meme relever que c’est une enieme erreur tactique de sa part. Je ne compte plus le nombre de fois où je l’ai vu rouler/relayer/attaquer là où il ne le devait pas. Meme techniquement, je l’ai vu (ça devait etre sur une autre étape que les Deux Alpes) prendre un virage à l’interieur d’un lacet, toujours assis evidemment, alors qu’il etait en grande souffrance. Au point qu’un échappé qu’il venait de rejoindre le redépasse, tellement Ullrich a pris ce virage comme un gamin (n’est pas Poels qui veut #angliru ). Il courait extremement mal, non? Exces de confiance vis-à-vis de sa force hors du commun?

Peut être que c'était une erreur tactique mais quand un coureur de cette dimension lâche 2'30" sur les 5 derniers km du Galibier, c'est qu'il est victime d'une grande défaillance et qu'il n'est plus du tout lucide. Donc pour moi, c'était déjà trop tard (qu'il se couvre en haut du Galibier ou pas). On est pas dans le cas où il craque dans les Deux Alpes car il est victime d'un refroidissement après avoir oublié de se couvrir en haut du Galibier. Non il craque à partir de l'attaque de Pantani dans le Galibier. Il commence à perdre 30" au km à ce moment là (dans les montées) et cette perte de temps est linéaire jusqu'à l'arrivée. En plus, il n'est même pas malade le lendemain d'ailleurs puisque c'est lui qui gagne l'étape à Albertville. Sous le soleil évidemment. Donc voila, c'est juste que ses jambes n'ont pas répondu dans le froid et la pluie. Comme c'est souvent le cas pour Alaphilippe et Valverde.

Après tactiquement, c'était pas le plus fort du peloton. Je crois que personne ne va dire le contraire. C'est souvent le cas des surdoués qui se reposent trop sur leur potentiel physique et c'était sans doute le cas pour Ullrich. Même lors de sa victoire en 1997, il y avait des moments où il courrait très mal tactiquement

[dolipr4ne]

Oui, en 1997, il fait peter Riis une paire de fois, alors que celui-ci s’est fait plusieurs fois la peau pour le ramener sur la tete.
En 2000, dans le Ventoux, c’est son chef-d’oeuvre, je pense: Pantani attaque et s’en va pour gagner l’etape sur sa 72eme attaque. Ullrich n’a pas arrêté de rouler, sans jamais rien demander, tel un robot écervelé, et il continue encore et encore, avec Armstrong dans la roue. Thevenet le fustige à ce moment...et pan, attaque terrible de l’Americain!

[El_Pistolero_07]

Le TdF 2019, j'y arrive toujours pas...je ne comprends pas le pourquoi de sa bonne image, si l'on arrive à faire abstraction de ses protagonistes. Si l'on remplace les 2 Français qui s'y sont mis en évidence par 2 étrangers, pas sûr qu'il jouirait de la même popularité...
Ok, il était assez indécis, mais je ne vois pas d'étape spectaculaire. La seule où les leaders ont voulu secouer le cocotier d'assez loin fut interrompue avant la fin. L'étape suivante fut rabotée... Sur le reste, on voit surtout des coureurs envoyer le pâté peut avant la fin, l'étape de la PDBF résumant assez bien l'ensemble.
On dit que jamais la Sky/Ineos ne fut aussi faible, et pourtant ils font 1 et 2, preuve du manque d'initiative des autres leaders
Bref, il ne m'aura pas marqué.

Globalement d'accord avec ça.
La Planche des belles filles se résume au dernier km, le groupe principal sur le Tourmalet était encore composé d'une dizaine de coureurs à 1.5 km de l'arrivée (comme une montée HC du Tour 2016 en gros). Pinot fait tout péter à 6.5 km de l'arrivée au Prat d'Albis mais si c'est Froome ou Yates à la place, tout le monde vomit. Quant aux Alpes, les circonstances ont fait que ça a été décapité.

L'année passée on a eu un joli TDF, le plus symp a des 3 GT à suivre j'ai trouvé.

Par contre, des purges y'en a eu des belles en France, bien moins en Italie et en Espagne (même si c'est souvent que des muritos, y'a souvent de la bagarre sur la Vuelta.)

En 2018 :
Giro : particulier entre la domination de Yates, son explosion et Froome qui nous fait une remake de Landis...
TDF : Plié dès la Rosière... Circulez, malgré un joli baroud de SK.
Vuelta : plus incertaine et pas mal de luttes.

En 2017 :
Giro : très sympa avec une confrontation grimpeurs (Quintana, Nibaliet Pinot) vs rouleur (Dumoulin) incertitude jusqu'au dernier jour.
TDF : Plutôt pas mal, malgré l'absence de différence faîtes en montagne par les favoris, mais course sympa à suivre.
Vuelta : la Sky au dessus, circulez, GT sauvé par Contador et MAL, qui l'ont rendus sympas à suivre.

En 2016 :
Giro : Super, notamment avec l'étape de Risoul magnifique où tout bascule !
TDF : La PURGE de la décennie pour moi où le grotesque (Ventoux) se mêle à l'ennui
Vuelta : Magnifique passe d'arme entre Quintana et Froome, belle lutte entre Chaves et Contador pour le podium et surtout l'étape de Formigal !

2015 :
Giro : très beau, mais plié dès le CLM, Contador est seul dans son équipe, ça fausse la donne, avec une équipe plus forte aucun suspens, mais du coup avec l'armada Astana, c'était cool à suivre.
TDF : Plié dès la première arrivée au sommet, Alpes sympas, mais sans plus...
Vuelta : Révélation de Dumoulin et gros numéro des Astana pour renverser la course, très joli GT.

2014 :
Giro : Assez vague souvenir, Uran est très fort je crois et va perdre le maillot lors de l'épisode du Stelvio et de la course suspendue ou pas... Du coup, ça fait un peu tache, alors que Quintana va le chercher celui là avec panache !
TDF : Surdominé par Nibali, avec l’éternel regret personnel que Contador n'ai pas pu finir, c'était honnêtement sa dernière vraie chance sur le Tour...
Vuelta : Perso j'ai adoré ! Avec le recul et en gommant les noms, peut être pas si chouette que ça... Dur à juger...


Sur ces 5 dernières éditions, le GT où on se fait le plus chier, c'est selon moi, le Tour et de loin. 2019 est un peu l'exception qui confirme la règle.

C'est quand même très dur.
On a un prologue plutôt sympa, l'étape des bordures à Zélande le lendemain, l'arrivée au Mur de Huy qui a fait des différences, l'étape des pavés certes un peu décevante (comparé à 2014 évidemment mais moins difficile), Mur de Bretagne, la Pierre St Martin bah si on veut de l'action et des coureurs éparpillés..., la montée de Mende qui fait encore des écarts avec Froome/Quintana, et les Alpes où y'a eu des attaques de loin (Nibali, Quintana) avec un maillot jaune qui finit difficilement.

Après si on aime pas Froome, le ressenti sera différent mais ça veut dire que ça dépend aussi des protagonistes.

Là dessus tu marques un sérieux point. Surtout que Froome avec l'armada Sky, une fois la PSM passée, je considérais le TDF plié. Et c'est vrai que tu mets Contador à la place, cette étape de la PSM, je l'ai sur le PC....

Mais je revendique que le TDF 2019 était sympa, on a :

- Alaphilippe qui éparpille tout le monde à la pédale dans son registre de puncheur et qui gagne son bras de fer avec le groupe derrière lui.
- Les Vosges pas folichon c'est vrai, je le reconnais, victoire de Sagan et km gravilloné
- L'étape de Sainté avec l'attaque de Pinot/Alaph là où on y croyait pas trop et la démonstration de De Gendt qui ne perd qu'une trentaine de seconde sur le duo et presque rien sur le peloton qui roule derrière les 2 français.
- La bordure de la 10e étape
- Le Tourmalet est moyen avec le recul, mais en direct on a Bardet qui explose loin de l'arrivée, une démonstration tactique Movistar qui roule alors que Quintana est en train de lâcher, Gaudu/Pinot qui envoie du rêve, Thomas qui se fait distancer... Y'a eu de l'émotion là
- Prat d'Albis, attaque de Landa et Fuglang dès l'avant dernier col puis Pinot qui fait péter tout le monde, les premiers signes de faiblesse du maillot jaune.
- Galibier attaque de Bernal et de Thomas
- iseran Bernal part de très loin et la dramaturgie Pinot
-Val Thorrens pas terrible en effet.


Globalement c'était un beau Tour, pas un Tour mythique, mais un joli Tour, je dirais 7,5/10 avec un potentiel 8 si l'étape de l'Iseran n'avait pas était rabottée.

[marooned]

Ce qui a contribué à rendre ce Tour 2019 très sympa, c'est qu'il n'y a pas eu l'horrible train défensif de la Sky/Ineos pendant 15 étapes comme les années précédentes

Les seules fois où on a eu des trains qui ont roulé, c'était pour préparer des attaques et avec 2-3 équipiers maximum. Même Ineos dans le Galibier et l'Iseran, c'était nettement plus sympa et moins écœurant à regarder que les années précédentes. En gros, c'était Poels qui mettait un gros rythme puis Bernal et Thomas qui passaient à l'attaque derrière et ensuite ça se jouait entre leaders. Rien à voir avec l'impression de rouleau compresseur des années précédentes où 6 mecs te géraient tranquillement une étape de 180 bornes avec 3 HC. Parce que l'Alpe d'Huez 2018, c'était un peu ça quand même.

Bref, le fait qu'il n'y ait pas vraiment d'équipe dominatrice a grandement contribué à rendre ce Tour 2019 plus sympa et plus ouvert que ses prédécesseurs. Même si Ineos fait le doublé à l'arrivée, c'était nettement plus agréable à regarder.

[Zach]

TOUR 2010 - jeudi 22 juillet 2010

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17ème étape : Pau > Col du Tourmalet, 174 km

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EUROSPORT 1 FRANCE - DIMANCHE 3 MAI 2020 DE 14 H 00 À 16 H 30

EUROSPORT 2 FRANCE - DIMANCHE 3 MAI 2020 DE 19 H 00 À 21 H 00

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SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT ....

Au départ de Rotterdam, Contador et les frères Schleck sont les noms les plus souvent cités parmi les favoris du Tour de France 2010 : Contador a gagné en 2007 et 2009, et Andy Schleck a été deuxième en 2009. Derrière eux, on parle aussi de Basso, Wiggins, Evans, cependant que Armstrong, 3ème en 2009, séduit ceux qui recherchent la grosse cote.

Cancellara domine la première semaine en jouant les mobylettes dans le prologue et le parrain dans l'étape des Ardennes remportée par Chavanel. Andy Schleck accède à la première place du général à la faveur de l'étape de Saint-Jean-de-Maurienne mais les écarts sont faibles : à Luchon où Voeckler s'impose, le luxembourgeois doit céder la place à Contador qui l'a dépassé dans Balès suite à un saut de chaîne. Entre Luchon et Pau, les favoris se neutralisent et la classement général reste inchangé : Contador devant, Andy Schleck à 8 secondes et Samu Sanchez à 2 minutes.

Au lendemain d'une journée de repos curieusement placée à quatre jours de l'arrivée, l'étape reine du Tour 2010 marque le centenaire du premier passage du Tourmalet avec la première arrivée au sommet de ce col emblématique. Le duel entre Contador et Schleck s'annonce passionnant, sachant que Schleck doit impérativement reprendre du temps à l'espagnol qui devrait lui être supérieur dans le chrono de 52 km entre Bordeaux et Pauillac, deux jours plus tard.

Samu Sanchez chute en début d'étape mais parvient à rejoindre le peloton. L'échappée matinale sert de lièvre à Carlos Sastre, vainqueur du Tour 2008 mais déjà à 9 minutes au général ...

Les maillots au départ de l'étape :
Jaune : Andy Schleck
Vert : Thor Hushovd
Maillot à pois : Anthony Charteau
Blanc : Andy Schleck devant Robert Gesink

L'ÉTAPE DU JOUR

LA CARTE

http://www.memoire-du-cyclisme.eu/eta_tdf/2010/2010_map-17.jpg

LE PROFIL

http://www.memoire-du-cyclisme.eu/eta_tdf/2010/2010-profil17.gif

Remerciements :
- memoire-du-cyclisme.eu pour les archives
- mediasportif.fr pour la programmation TV

[Akaion]

On ne peut pas etre aussi categorique, non? Meme Riis avait dit que c’etait une grosse erreur de ne pas s’etre couvert pour la descente. Et si Ullrich etait effectivement à la rue sous ce temps, on peut peut-etre croire qu’il aurait été un tout petit peu moins mal dans la derniere ascension, non?
En tout cas, quand on voit qu’il est quasiment le seul à ne pas s’etre couvert avant la descente, on peut quand meme relever que c’est une enieme erreur tactique de sa part. Je ne compte plus le nombre de fois où je l’ai vu rouler/relayer/attaquer là où il ne le devait pas. Meme techniquement, je l’ai vu (ça devait etre sur une autre étape que les Deux Alpes) prendre un virage à l’interieur d’un lacet, toujours assis evidemment, alors qu’il etait en grande souffrance. Au point qu’un échappé qu’il venait de rejoindre le redépasse, tellement Ullrich a pris ce virage comme un gamin (n’est pas Poels qui veut #angliru ). Il courait extremement mal, non? Exces de confiance vis-à-vis de sa force hors du commun?

Peut être que c'était une erreur tactique mais quand un coureur de cette dimension lâche 2'30" sur les 5 derniers km du Galibier, c'est qu'il est victime d'une grande défaillance et qu'il n'est plus du tout lucide. Donc pour moi, c'était déjà trop tard (qu'il se couvre en haut du Galibier ou pas). On est pas dans le cas où il craque dans les Deux Alpes car il est victime d'un refroidissement après avoir oublié de se couvrir en haut du Galibier. Non il craque à partir de l'attaque de Pantani dans le Galibier. Il commence à perdre 30" au km à ce moment là (dans les montées) et cette perte de temps est linéaire jusqu'à l'arrivée. En plus, il n'est même pas malade le lendemain d'ailleurs puisque c'est lui qui gagne l'étape à Albertville. Sous le soleil évidemment. Donc voila, c'est juste que ses jambes n'ont pas répondu dans le froid et la pluie. Comme c'est souvent le cas pour Alaphilippe et Valverde.

Après tactiquement, c'était pas le plus fort du peloton. Je crois que personne ne va dire le contraire. C'est souvent le cas des surdoués qui se reposent trop sur leur potentiel physique et c'était sans doute le cas pour Ullrich. Même lors de sa victoire en 1997, il y avait des moments où il courrait très mal tactiquement

Quand tu vois que Leblanc aussi, frigorifié perd énormément sur les deux alpes, oui, ça aurait modifié les dégâts, même si Ullrich aurait perdu le Tour, mais je pense de bien moins.

[gradouble]

TOUR 2010 - jeudi 22 juillet 2010

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17ème étape : Pau > Col du Tourmalet, 174 km

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C'est là qu'on a eu un duel Contador-Schleck, assez sympa photogéniquement, il me semble.

Contador tout en jaune contre Andy tout en blanc, les 2 ensemble perdus dans la brume du Tourmalet.

[SW3]

Émouvant d'entendre la voix de Laurent Fignon