Dans les grosses cotes, j'ai eu de beaux loupés. Kwiatkowski, Démare, Kelderman, Van Garderen, c'était très médiocre dans l'ensemble. Mais certains n'ont pas eu de chance, et cela aurait pu se dérouler d'une toute autre manière... Dans le fond, le seul que je regrette vraiment d'avoir pris, c'est Démare: je ne le sentais pas tellement au moment de la constitution de l'équipe.
Dans les cotes plus basses, pas mal de gars décevants aussi. Les sprinteurs Hofland et Mezgec ont globalement été mauvais. Niemiec était un pari, c'est loupé. Frank est très inconstant, et n'a pas fait grand chose à part un top 10 sur le Tour (c'est tout ce que je retiens de sa saison en tout cas). Beau loupé aussi du côté des Italiens, comme Zardini et Villella. Voire même Formolo.
Et puis il y a deux que je n'étais pas loin d'intégrer à mon équipe, et qui ont fait une belle saison: je pense notamment à Aru, Pinot et Gallopin. Et surtout à Alaphilippe, que j'ai, de mémoire, évincé dans les derniers moments.
Rivals Manager 2015 : Vos plus grands regrets
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Rivals Manager 2015 : Vos plus grands regrets
Je n'avais à priori cette année aucun de ceux cités par Momo (sauf F.Aru transféré en avril)
La classe de Cipo, la voix de JRG, le punch de P.Gilbert Montagné, la chevelure de Lorenzo Lamas.
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mon plus grand regret reste marcel kittel, j'ai attendu toute la saison son retour en forme,en vain.
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De nombreux regrets cette année, principalement italiens.
Les mauvaises pioches :
- Zardini : invisible comme toute sa formation
- Villela : un naufrage. Je l'ai intégré au dernier moment, me retrouvant avec un reliquat de points imprévu.
- Nerz : énorme plantage. Je croyais vraiment en lui avec son nouveau statut de leader chez Bora après deux saisons de larbin intéressantes chez BMC
- Vichot : après une année 2014 prometteuse freinée par les blessures, je l'imaginais reprendre le cours de sa progression. J'en faisais une bonne pioche potentielle sur les classiques. Erreur. Il a été encore plus malchanceux.
- Formolo : une belle performance sur l'étape du Giro mais c'est tout. C'est peu. A l'image de son équipe.
Les déceptions :
- Slagter : sa première saison chez Garmin semblait attester d'un retour au premier plan. Ben non. Très déçu par son côté unidimensionnel.
- Stuyven : je l'espérais plus responsabilisé.
- Dillier : idem
- Cort Nielsen : je rêvais de débuts fracassants sur des courses à sa main. Il n'a finalement pas été aussi protégé que Caleb Ewan. Prometteur cependant pour la suite.
- D. Caruso : au sein d'une grande équipe, je pensais le franchir un palier en GT.
- Jans : clairement en sur-régime l'an dernier.
- Talansky : ce devait être le steal de la saison. Poissard.
- Hivert : avec son passage chez Bretagne, je misais sur lui pour le début de saison qu'il affectionne et les coupes de France. Raté.
- Kelderman : décevant.
- Vanmarcke : décevant.
Les mauvaises idées :
- trop de garmindale dans l'équipe ( 6 ) et comme la structure est passée à côté de sa saison
- écarter Aru pour des raisons éthiques et stratégiques. Je ne le pensais pas capable de faire mieux qu'en 2014, ayant entendu qu'il était destiné à bosser pour Nibali sur le Tour.
- ne pas avoir pris connaissances du nouveau barème.
Le bug :
- déjà signalé, l'oubli d'Alaphilippe au moment de valider ma sélection. Ce qui explique le reliquat inattendu de points.
Les mauvaises pioches :
- Zardini : invisible comme toute sa formation
- Villela : un naufrage. Je l'ai intégré au dernier moment, me retrouvant avec un reliquat de points imprévu.
- Nerz : énorme plantage. Je croyais vraiment en lui avec son nouveau statut de leader chez Bora après deux saisons de larbin intéressantes chez BMC
- Vichot : après une année 2014 prometteuse freinée par les blessures, je l'imaginais reprendre le cours de sa progression. J'en faisais une bonne pioche potentielle sur les classiques. Erreur. Il a été encore plus malchanceux.
- Formolo : une belle performance sur l'étape du Giro mais c'est tout. C'est peu. A l'image de son équipe.
Les déceptions :
- Slagter : sa première saison chez Garmin semblait attester d'un retour au premier plan. Ben non. Très déçu par son côté unidimensionnel.
- Stuyven : je l'espérais plus responsabilisé.
- Dillier : idem
- Cort Nielsen : je rêvais de débuts fracassants sur des courses à sa main. Il n'a finalement pas été aussi protégé que Caleb Ewan. Prometteur cependant pour la suite.
- D. Caruso : au sein d'une grande équipe, je pensais le franchir un palier en GT.
- Jans : clairement en sur-régime l'an dernier.
- Talansky : ce devait être le steal de la saison. Poissard.
- Hivert : avec son passage chez Bretagne, je misais sur lui pour le début de saison qu'il affectionne et les coupes de France. Raté.
- Kelderman : décevant.
- Vanmarcke : décevant.
Les mauvaises idées :
- trop de garmindale dans l'équipe ( 6 ) et comme la structure est passée à côté de sa saison
- écarter Aru pour des raisons éthiques et stratégiques. Je ne le pensais pas capable de faire mieux qu'en 2014, ayant entendu qu'il était destiné à bosser pour Nibali sur le Tour.
- ne pas avoir pris connaissances du nouveau barème.
Le bug :
- déjà signalé, l'oubli d'Alaphilippe au moment de valider ma sélection. Ce qui explique le reliquat inattendu de points.
- daizenshu_
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Mon plus grand regret a été d'oublier de faire ma compo à temps...
:paf-mur:
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d'un autre côté t'es le seul à n'avoir qu'un seul regretdaizenshu_ a écrit :Mon plus grand regret a été d'oublier de faire ma compo à temps...
af-mur:

Rivals Manager 2015 : Vos plus grands regrets
Pour ma part je reste assez stable dans la médiocrité. J'arrive toujours à finir autour de 500e place, mais jamais fait mieux que 200e . :pamafote:
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Pour ma part je reste assez stable dans la médiocrité. J'arrive toujours à finir autour de la 500e place, mais jamais fait mieux que 200e . :pamafote:
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Eh bien je termine 73ème avec 8219 points, ce que je trouve correct. Dès le mois de mai je me suis baladé autour de cette place-là, fort régulièrement ma foi.
Je ne comprends pas ce que vous appelez \"rentabilité\" par contre, comment calculez-vous ça.
Je choisis surtout les coureurs en fonction de si je les aime bien ou pas, ce qui n'est guère une attitude de trader pur et dur, mais voici tout de même le bilan de mon équipe :
Les déceptions/mecs à la con que tu te dis chaque année \"c'est fini, ces gogols à ils dégagent\" mais que tu les intègres quand même à ton équipe (ou bien l'autre version : l'aveuglement devant des perfs que tu sais miteuses ou douteuses) :
Mohoric
Schumacher
Quintana Dayer
Henao Sebastian
Betancur :banane:
Les déceptions relatives disons
Barguil
Vervake
Cort Nielsen
Villella
Coquard
Les autres se sont bien débrouillés en géneral.
Mais voilà je ne saurai jamais me résoudre à prendre des Kristoff, des Matthews, des Gerrans, etc.
Par contre, mention à Valverde quand même : je n'aime guère sa manière de courir (quoi que les autres ne fassent guère mieux en général), mais on se rend compte de sa grandeur quand même. Enorme tout au long de la saison, chapeau.
Je ne comprends pas ce que vous appelez \"rentabilité\" par contre, comment calculez-vous ça.
Je choisis surtout les coureurs en fonction de si je les aime bien ou pas, ce qui n'est guère une attitude de trader pur et dur, mais voici tout de même le bilan de mon équipe :
Les déceptions/mecs à la con que tu te dis chaque année \"c'est fini, ces gogols à ils dégagent\" mais que tu les intègres quand même à ton équipe (ou bien l'autre version : l'aveuglement devant des perfs que tu sais miteuses ou douteuses) :
Mohoric

Schumacher
Quintana Dayer
Henao Sebastian
Betancur :banane:
Les déceptions relatives disons
Barguil
Vervake
Cort Nielsen
Villella
Coquard
Les autres se sont bien débrouillés en géneral.
Mais voilà je ne saurai jamais me résoudre à prendre des Kristoff, des Matthews, des Gerrans, etc.
Par contre, mention à Valverde quand même : je n'aime guère sa manière de courir (quoi que les autres ne fassent guère mieux en général), mais on se rend compte de sa grandeur quand même. Enorme tout au long de la saison, chapeau.
\"I was lonely and bored. After training I went to the seaside to party, for drinks and women.\" (Dmytro Grabovskyy)
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Pour calculer la rentabilité, on fait le nombre de points divisé par sa valeur ;-)
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Oui, OK, et quel est le nombre arbitraire qui décide de la rentabilité alors ? 30 ? 40 ?Play-basket8 a écrit :Pour calculer la rentabilité, on fait le nombre de points divisé par sa valeur ;-)
Merci pour ta réponse sinon.
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C'est 40 pour considerer qu' il est rentable :)
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Avec l'évolution à la hausse du barème cette saison je pense que le renta à du augmenter un peu non ?
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oui, avec 40, plus aucune chance de gagner le jeu