Pas sûr, l'article dit ne pas connaître les raisons de cette avancée : en gros soit les experts n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur un non-lieu ou sur une sanction,jimmy39 a écrit : 01 févr. 2018, 17:00Ok, Legal Anti-Doping Services (LADS), il n'y pas un acronyme français pour ce truc![]()
Donc il aurait été assez sévèrement puni par les experts, c'est déjà une bonne nouvelle
Et l'autre bonne nouvelle, c'est que ça avance et qu'on aura peut-être une décision bientôt (avant recours au CAS je suppose, comme c'est parti).
soit il y a eu accord et notification d'une sanction à Froome, qui l'a refusée. Sévère ou pas, on ne sait pas, on peut imaginer qu'il aurait accepté une sanction "clémente" (et là on recoupe peut-être les infos du CdS) mais il est aussi possible que même avec une sanction réduite il ait gardé sa posture jusqu'au-boutiste.
Mais ça peut être autre chose aussi...
Sinon oui, le fait que ça avance est une bonne nouvelle, mais il ne faut pas crier victoire trop vite, ça ne présage pas d'un dénouement rapide, il peut effectivement y avoir une décision bientôt, mais comme l'a déclaré Lappartient,
L'affaire risque de durer, comme le reconnaît David Lappartient: «Nous sommes dans le processus des experts. C'est en tout cas à Froome de démontrer les raisons qui ont pu conduire à une telle concentration de salbutamol, la charge de la preuve lui incombe. A lui de constituer son dossier. A partir de là, le Legal Anti-Doping Services (LADS) de l'UCI verra si ses arguments sont recevables. Si ce n'est pas le cas, une sanction qui peut être de deux ans lui sera proposée. S'il ne l'accepte pas, on ira au tribunal antidopage de l'UCI avec possibilité d'appel, d'un côté comme de l'autre devant le TAS (Tribunal arbitral du sport). On est parti pour une bagarre juridique qui va durer longtemps. Cette affaire ne va pas se régler en deux minutes. Elle peut au moins durer un an. On va traîner cela comme un boulet.»