jimmy39 a écrit :Mister_Nobody a écrit :Psyonix76 a écrit :Si Laporte met un coup de casque , c'est que juste avant , le Katusha lui met un coup à l'épaule ou dans les vertèbres qui le fait dévier de trajectoire. Si Katusha ne veut pas prendre de coup , qu'elle n'en donne pas.
Ya pas de soucis, les deux doivent être sanctionnés.
Mais dans un peloton comme dans la vie on ne devrait pas tolérer le "je me fais justice tout seul".
Ce n'est pas parce que le mec te met un coup dans les côtes que ça justifie, cautionne ou dédouane un coup de tête.
Zidane approuve ce message.

Seulement, le Katusha, en plus d'être "violent" fait quelque chose complètement interdit par les moeurs du peloton, sortir un coéquipier de la roue de son train :redcard:
Alors juger Laporte sans en tenir compte :non-non:
Je ne sais pas où tu veux en venir?
Encore une fois qu'importe les "excuses", ce qu'à fait Laporte est quand même calibré.
Donc la question est, pour toi, doit-on exclure et bannir ce genre de gestes oui ou non?
Pour moi oui, donc que le Katusha ait fait noir ou blanc une seconde avant ne change rien au jugement sur Laporte.
Ou bien pour toi "tenir compte" sous-entend que le pauvre petit à été malmené et que donc ça justifie son geste ou du moins explique une tolérance et donc une non-sanction exemplaire? Si c'est le cas il est évident que l'on ne sera pas du même avis, mais perso je préfère voir un cyclisme sans ce genre de gestes. Et aujourd'hui ils s'en tirent bien, ça aurait pu être plus dramatique. Et encore une fois ça ne dédouane pas non plus le Katusha bien entendu, qui lui aussi doit être sanctionné si il a commis un geste répréhensible (pas fais gaffe perso donc je vous crois).
C'est là où des fois il y a une part d'hypocrisie chez certains (je ne parle pas de toi en particulier): les premiers à être très laxistes, très tolérants y compris au sujet de comportements plus que limites (cf notre débat d'il y a quelques temps sur la règlementation après les incidents et accidents divers), mais après aussi les premiers à venir larmoyer quand un drame se produit. Faudrait être cohérent cinq minutes et ne pas vouloir le "tout-spectacle" tout en pleurant à chaudes larmes quand l'inévitable arrive.