La ligne d'arrivée mais aussi les passages à niveau. :moqueur:

Modérateur : Modos VCN
C'est le même endroit photographié sous deux angles différents. La première photo donne l'impression que c'est hyper dur :moqueur: :lolilol:pascualito a écrit :Pavés de l'une des bosses :
[img:3gtvb4fc]http://d11cy6uk9jmv2y.cloudfront.net/wp ... image_.jpg[/img:3gtvb4fc]
une autre:
[img:3gtvb4fc]https://keyassets.timeincuk.net/inspire ... .30.36.png[/img:3gtvb4fc]
de toute façon chacune de ces côtes représente un dénivelé total d'une trentaine de mètres, donc clairement ce ne sont pas les côtes en elle même qui pourraient faire mal, davantage le placement et le frottement pour se placer, particulièremement poru celle-ci (Libby hill) qui est un double S donc ça va ralentir très fort à l'abord de la côte. un mec mal placé peut prendre de la distance dans les dents sur le placement._Allobroges a écrit :Voila, c'est cette cote dont je me rappelle avoir vu d'une video d'un cri-cri amateur américain
Le sommet est à l'altitude de la base de la statue que l'on voit au fond
Autant dire, pas grand chose
200 m, exactement ! :lolilol:kentinmania_ a écrit :250m:moqueur:
C'est que dalle
Bradounet_ a écrit :Le coup de cul à 11% de 260m de la 23ème rue ne figurera pas sur les épreuves des jeunes (juniors et espoirs). Bizarre.
J'ai réussi à trouver une vidéo du parcours.![]()
Les championnats universitaires américains se sont déroulés sur le circuit :
[video]http://www.youtube.com/watch?v=D14UhutvImw[/video]
On peut voir comme presque partout aux EU de nombreux virages à angles droits qui demandent pas mal d'explosivité, caractéristique des coureurs de critériums, surtout quand on est mal placé dans le peloton, sur 265 km, ça finit par être très usant, mais ils ont l'air d'être pris déjà assez vite sur la vidéo, pas certains que ça joue tant que ça, mais les pros relancent plus fort aussi.
Quelques rues bien larges tout de même mais super bien abritées du vent sous les arbres, ça file...
Pour les bosses, on identifie bien la bosse pavée à la 6ème minute, ça doit être Libby Hill Park, des passages vraiment étroits surtout tout en bas et en épingle, les pavés tapent quand même un peu. Il y a vraiment moyen de faire des différences dans le dernier tour et de scinder un peloton pour que ça n'arrive pas au sprint.
Une autre à 20'30", elle ne semble pas très impressionnante, tout en ligne droite, cela semble être la dernière de 290m à 6.9%.
Ils ne doivent pas empruntés la 23ème rue et sa bosse à 11% eux non plus, leur circuit de 9.7 miles est plus court que celui des élites, cela doit être le circuit pour les épreuves des jeunes.
Enfin, élément vraiment défavorable aux attaquants, c'est tout droit pendant 1 km jusqu'à la ligne (pas de ronds-points, rien).
Avec ce circuit où c'est parfaitement plat pendant 15 km, on peut être quasi certain que la bataille ne sera lancée que lors du dernier tour et les 3 derniers km.
C'est sûr qu'avec cette côte pavée, qu'on pourrait comparer au Boonenberg ou au Molenberg en encore plus court, on s'imagine déjà Vanmarcke mettre 10 mètres à tout le monde, mais faut-il encore qu'il soit dans sa forme de mars-avril, c'est souvent le problème avec les flandriens.
Sans avoir vu la deuxième bosse, ce sont, à mon avis trois montées, qui vont se monter au sprint sur la plaque.
La montée à 11% sera peut-être celle de trop pour des Degenkolb, Démare, Kristoff, Coquard, Swift, Trentin, Matthews...
Bouhanni, on ne l'a encore jamais vraiment vu dans les murs à deux chiffres.
Allez, je me lance et j'annonce Keukeleire champion du monde 2015.
Ca m'a tout l'air d'un final de Flèche Brabançonne adouci.
Dommage, qu'à chaque fois, tu ais une vision suspicieuse des performances. Comme quoi en cyclisme, il faut vivre la course du moment en se disant que le dopage est derrière...pierrefromalsace a écrit :Paris-Roubaix 2008 très linéaire, les meilleurs se retrouvent ensemble assez vite, rien à ajouter.
Paris-Roubaix 2009 met en revanche beaucoup plus de temps à se décanter, on dirait qu'on a franchi un palier dans la mode du "j'accélère un coup puis je me retourne pour voir qui prend le relais, mais personne ne se sent concerné".
Fin de course ressemblant à une vaste blague avec les 5 adversaires de Boonen qui s'éliminent mutuellement sur chutes. Le meilleur Paris-Roubaix de Chavanel.
Avec le recul, Cervélo candidat au titre d'arnaque de l'année. Du gros n'importe quoi avec Hushovd, Haussler et Klier qui montent de plusieurs paliers d'un coup. De toute façon l'année 2009 est bizarre en terme de performances chez beaucoup de coureurs, même si Wiggo accapare toute l'attention.
Allez plus que cinq ans et je vous rattrape !
Tu les regardes en accéléré :???pierrefromalsace a écrit :Bah non je regarde et je constate, ça ne m'empêche pas d'apprécier le spectacle.
Paris-Roubaix 2010, l'année du "moteur" Cancellara.
Tellement impressionnant, rien à ajouter. Derrière Hammond et Hoste brillent de leurs derniers feux et Sébastien Hinault livre une performance étonnante.
Non non, ce soir j'ai regardé le final de l'édition 2009 (que j'avais commencée hier soir) et l'édition 2010. J'ai regardé à partir de la Trouée et ensuite j'ai passé les sections où la course n'évolue pas.Wald a écrit :Tu les regardes en accéléré :???pierrefromalsace a écrit :Bah non je regarde et je constate, ça ne m'empêche pas d'apprécier le spectacle.
Paris-Roubaix 2010, l'année du "moteur" Cancellara.
Tellement impressionnant, rien à ajouter. Derrière Hammond et Hoste brillent de leurs derniers feux et Sébastien Hinault livre une performance étonnante.
Titchu, il y a vraiment des acharnés ici. ompom:pierrefromalsace a écrit :Non non, ce soir j'ai regardé le final de l'édition 2009 (que j'avais commencée hier soir) et l'édition 2010. J'ai regardé à partir de la Trouée et ensuite j'ai passé les sections où la course n'évolue pas.Wald a écrit :Tu les regardes en accéléré :???pierrefromalsace a écrit :Bah non je regarde et je constate, ça ne m'empêche pas d'apprécier le spectacle.
Paris-Roubaix 2010, l'année du "moteur" Cancellara.
Tellement impressionnant, rien à ajouter. Derrière Hammond et Hoste brillent de leurs derniers feux et Sébastien Hinault livre une performance étonnante.