Re: Tour de France 2019
Publié : 26 oct. 2018, 12:48
Je ne dis pas le contraire.
Le tweet en question :
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Bon, je mets le tweet, ce que tu dis est un peu vrai
Voilà, mais il faut interdire les oreillettes, sinon les DS leur diront en direct les données qu'ils trouveront un moyen de recevoir, euxrbl85 a écrit : 26 oct. 2018, 12:50 Si les coureurs et entraineurs tiennent réellement aux data que cela procure, pourquoi ne pas faire en sorte que les coureurs puissent avoir leur SRM avec eux tout en faisant en sorte qu'il n'est accès au data qu'après la course et non directement pendant la course.
Comme ca ils peuvent quand même faire leurs analyses d'après course .
Suffit de faire en sorte que les DS ne puisse pas le recevoir. En gros il faut que le seul moyen d'avoir accès a ces données soit de brancher directement le SRM sur un ordi.jimmy39 a écrit : 26 oct. 2018, 12:52Voilà, mais il faut interdire les oreillettes, sinon les DS leur diront en direct les données qu'ils trouveront un moyen de recevoir, euxrbl85 a écrit : 26 oct. 2018, 12:50 Si les coureurs et entraineurs tiennent réellement aux data que cela procure, pourquoi ne pas faire en sorte que les coureurs puissent avoir leur SRM avec eux tout en faisant en sorte qu'il n'est accès au data qu'après la course et non directement pendant la course.
Comme ca ils peuvent quand même faire leurs analyses d'après course .![]()
Prudhomme en a probablement plein le cul de voir tant de côtes et de cols escamotés parce qu'il y a une descente un peu trop longue derrière. Parce que c'est un truc que je lis parfois , ça: " Avec la descente qu'il y avait derrière, il était inutile d'attaquer".marooned a écrit : 26 oct. 2018, 12:07 Perso je trouve ça horrible les bonifs. Que ce soit aux arrivées d'étapes ou aux sommets de certains cols. Pour moi, un classement général doit se jouer sur l'accumulation du temps réel pour parcourir chaque étape. Et uniquement là-dessus. Autant dire que ça ne m'enchante guère.
Ben tu valides exactement l'argument de Roy, il faut pouvoir connaître ces données (Roy ne parle pas du grand public, mais d'un outil à mettre en relation avec le passeport bio)...levrai-dufaux a écrit : 26 oct. 2018, 13:00 L'argument de Roy sur l'utilité des capteurs de puissance dans la lutte anti-dopage est bidon, désolé.
Ne serait-ce que parce qu'il n'y a aucun consensus sur les limites, ni même l'ordre de grandeur des puissances qui peuvent être atteintes sans dopage. Cela dépend tellement des conditions de courses, de la longueur des étapes, de leur enchaînement, etc... qu'en fait il me paraît presque impossible de dégager une conclusion générale à ce sujet. Il n'y a presque que des cas particuliers. Il n'y a qu'à voir les débats d'interprétations que suscitent ici les chiffres de Portoleau.
Et puis, l'argument de Roy est d'autant plus grotesque lorsqu'on voit l'opacité des équipes à communiquer les données sur leur coureur à la suite d'un exploit "suspect" (Ai-je vraiment besoin de préciser que je pense à Froome à Bardonecchia ?)
Ah, on est en 2019? Entre ça et Montfort qui ne veut surtout pas qu'on lui enlève un outil qui d'après lui ne sert à rienNoé a écrit : 26 oct. 2018, 12:34 Dans le Ouest-France d'aujourd'hui, Lappartient ferme la porte à l'interdiction du SRM en assurant que si ce doit être fait, "ce ne sera pas avant 2020 : on ne peut pas changer les règles en cours d'année".
Evidemment, on n'est pas en 2019, mais j'imagine que les règles pour l'année 2019 sont d'ores et déjà fixées. Et si Prudhomme veut faire passer son truc, je doute qu'il pense y arriver avant l'entrée dans la saison 2019.Fusagasuga2 a écrit : 26 oct. 2018, 13:12Ah, on est en 2019? Entre ça et Montfort qui ne veut surtout pas qu'on lui enlève un outil qui d'après lui ne sert à rienNoé a écrit : 26 oct. 2018, 12:34 Dans le Ouest-France d'aujourd'hui, Lappartient ferme la porte à l'interdiction du SRM en assurant que si ce doit être fait, "ce ne sera pas avant 2020 : on ne peut pas changer les règles en cours d'année".![]()
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Si tu m'as bien lu, je dis précisément le contraire dans la première partie de mon message.jimmy39 a écrit : 26 oct. 2018, 13:07Ben tu valides exactement l'argument de Roy, il faut pouvoir connaître ces données (Roy ne parle pas du grand public, mais d'un outil à mettre en relation avec le passeport bio)...levrai-dufaux a écrit : 26 oct. 2018, 13:00 L'argument de Roy sur l'utilité des capteurs de puissance dans la lutte anti-dopage est bidon, désolé.
Ne serait-ce que parce qu'il n'y a aucun consensus sur les limites, ni même l'ordre de grandeur des puissances qui peuvent être atteintes sans dopage. Cela dépend tellement des conditions de courses, de la longueur des étapes, de leur enchaînement, etc... qu'en fait il me paraît presque impossible de dégager une conclusion générale à ce sujet. Il n'y a presque que des cas particuliers. Il n'y a qu'à voir les débats d'interprétations que suscitent ici les chiffres de Portoleau.
Et puis, l'argument de Roy est d'autant plus grotesque lorsqu'on voit l'opacité des équipes à communiquer les données sur leur coureur à la suite d'un exploit "suspect" (Ai-je vraiment besoin de préciser que je pense à Froome à Bardonecchia ?)
Je reste ne mode frustré, mais avec les seuls offensives des plans b krusijwijk et valverde et l'attaque boomerang de barguil dans romme, on ne peut pas dire qu'il y ait eu de la bagarre dans les alpes. Ah si avec Thomas, Froome et Dumoulin... mais qu'ont fait bardet, quintana, landa et autres? rien, niente. asphyxié par le train sky, ils le seront autant dans les pyrénées.levrai-dufaux a écrit : 26 oct. 2018, 12:26Cette année, on a eu de la belle bagarre dès les Alpes que ce soit dans l'étape de la Rosière ou de l'Alpe d'Huez. Les coureurs n'ont pas attendu les Pyrénées qui leur paraissait peut-être moins propice ou plus "léger".
Tu es dur... On a eu une très belle montée de l'Alpe dans laquelle Quintana, Nibali et Bardet ont attaqué à tour de rôle.manu74annecy a écrit : 26 oct. 2018, 13:21Je reste ne mode frustré, mais avec les seuls offensives des plans b krusijwijk et valverde et l'attaque boomerang de barguil dans romme, on ne peut pas dire qu'il y ait eu de la bagarre dans les alpes. Ah si avec Thomas, Froome et Dumoulin... mais qu'ont fait bardet, quintana, landa et autres? rien, niente. asphyxié par le train sky, ils le seront autant dans les pyrénées.levrai-dufaux a écrit : 26 oct. 2018, 12:26
Cette année, on a eu de la belle bagarre dès les Alpes que ce soit dans l'étape de la Rosière ou de l'Alpe d'Huez. Les coureurs n'ont pas attendu les Pyrénées qui leur paraissait peut-être moins propice ou plus "léger".
L'argument de Roy tient du fait que les entraîneurs de l'équipe réclame depuis toujours des suivis de puissance. Ce n'est pas une question de grandeur de puissance pouvant être atteintes ou non, mais de suivi d'un profil physiologique du coureur dans le temps. Profil déterminé par les puissances dégagés sur différents temps d'effort et donc mesurés par un SRM.levrai-dufaux a écrit : 26 oct. 2018, 13:00 L'argument de Roy sur l'utilité des capteurs de puissance dans la lutte anti-dopage est bidon, désolé.
Ne serait-ce que parce qu'il n'y a aucun consensus sur les limites, ni même l'ordre de grandeur des puissances qui peuvent être atteintes sans dopage. Cela dépend tellement des conditions de courses, de la longueur des étapes, de leur enchaînement, etc... qu'en fait il me paraît presque impossible de dégager une conclusion générale à ce sujet. Il n'y a presque que des cas particuliers. Il n'y a qu'à voir les débats d'interprétations que suscitent ici les chiffres de Portoleau.
Et puis, l'argument de Roy est d'autant plus grotesque lorsqu'on voit l'opacité des équipes à communiquer les données sur leur coureur à la suite d'un exploit "suspect" (Ai-je vraiment besoin de préciser que je pense à Froome à Bardonecchia ?)
Sauf qu'ils ont raison, ça ne changera rien. On peut les interdire par principe. En se disant que la gestion de l'effort ne doit pas être assisté. Mais dans les faits les coureurs continueront de courir de la même façon et Sky fera toujours le même train. Ce sont des coureurs pros, ils connaissent parfaitement leurs allures et les allures de leur(s) leader(s).tuco a écrit : 26 oct. 2018, 14:09 Avant d'en venir au parcours, un point sur les absurdités et les lamentablitudes
l'absurdité, c'est de devoir demander une autorisation à l'UCI pour décider du barême des points des côtes de 4e catégorie. Grotesque. Dans la même lignée que la limitation du kilométrage. Comme si la FIFA décidait que dans le championnat polonais, un match nul devait valoir 2 ou 1 point.
La lamentablitude, ce sont les réactions du milieu au projet d'interdiction du SRM (visible ou total, je ne sais pas)
PORTAL : "pour moi ça ne changera rien. On a pas interdit les compteurs de vitesse" (quel rapport ?)
JULIEN PINOT (oscar de la lamentablitude) :
"ça n'aura strictement aucun impact"
"on diabolise [non, argument émotionnel face à un problème rationnel] le capteur de puissance, surtout de la part d'une ancienne génération [encore une fois hors-sujet] qui n'a rien compris [à quoi ? On ne le saura pas]"
"ils en ont une telle habitude qu'ils n'en ont plus besoin en course" (lol, alors pourquoi ne pas les empêcher de le regarder ? Je comprends qu'une fois la course terminée, les données soient utiles, c'est pourquoi je préfère l'option "le coureur ne peut pas les voir en course" à la totale interdiction)
VINCENT VILLERIUS : "ça n'a pas de sens" (si !). "Ils ne savent pas de quoi ils parlent" (ben...si, encore). "ça n'a aucune influence sur la course" (lol).
Un boitier sans écran et le tour est joué.rbl85 a écrit : 26 oct. 2018, 12:50 Si les coureurs et entraineurs tiennent réellement aux data que cela procure, pourquoi ne pas faire en sorte que les coureurs puissent avoir leur SRM avec eux tout en faisant en sorte qu'il n'est accès au data qu'après la course et non directement pendant la course.
Comme ca ils peuvent quand même faire leurs analyses d'après course .
Oui c'est a ca que je pensais, juste un boitier qui recupere les données pour l'après course.JFKs a écrit : 26 oct. 2018, 14:18Un boitier sans écran et le tour est joué.rbl85 a écrit : 26 oct. 2018, 12:50 Si les coureurs et entraineurs tiennent réellement aux data que cela procure, pourquoi ne pas faire en sorte que les coureurs puissent avoir leur SRM avec eux tout en faisant en sorte qu'il n'est accès au data qu'après la course et non directement pendant la course.
Comme ca ils peuvent quand même faire leurs analyses d'après course .