Parce que cela manque d'intérêt de connaître le scénario à l'avance, surtout quand on n'a pas de petit chouchou sprinteur pour qui s'inquiéter
Après, peut-être ne faut-il pas regarder avant les 20 derniers km, et essayer d'avoir une vraie vie en attendant l'étape du lendemain, et laisser regarder ceux que ça intéresse... Voire même, ne regarder que les résultats et en avoir profité pour faire tout autre chose ?
En fait le problème ce n'est pas les étapes toute plates s'il y en a peu (comme cette année du reste), mais notre exigence excessive (voire malsaine) vis-à-vis d'un évènement qui nous fait vibrer...