Rivals Manager 2024
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Re: Rivals Manager 2024
Bonjour,
Une idée d'évolution me vient!
C'est peut-être con, mais ne serait-ce pas intéressant de bloquer le nombre de points marqués par une coureuse ou un coureur ?
Pour éviter qu'une fille ou un garçon ne mette la main sur le jeu comme cette année ?
Peut-être que je n'aurais pas eu cette idée si j'avais pris Pogacar ! :)
Qu'en pensez-vous ?
Une idée d'évolution me vient!
C'est peut-être con, mais ne serait-ce pas intéressant de bloquer le nombre de points marqués par une coureuse ou un coureur ?
Pour éviter qu'une fille ou un garçon ne mette la main sur le jeu comme cette année ?
Peut-être que je n'aurais pas eu cette idée si j'avais pris Pogacar ! :)
Qu'en pensez-vous ?
Re: Rivals Manager 2024
Personnellement je suis contre. Si un coureur comme Pogacar domine, cela fait partie de la stratégie de le prendre ou non. Perso, je ne pensais pas qu'il serait au moins aussi performant que l'an passé donc je ne l'ai pas pris. Bravo à ceux qui ont pris ce risque qui s'avère payant. Mais limiter un coureur à un certain nombre de points ce serait pénaliser cux qui ont fait le bon choix. Et puis il faudrait limiter les points selon la valeur de la cotation si l'on veut être plus juste.
Par contre, c'est toujours intéressant de proposer des pistes d'évolution(s) je trouve.
Par contre, c'est toujours intéressant de proposer des pistes d'évolution(s) je trouve.
- manu74annecy
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Re: Rivals Manager 2024
2240 points, peut-être 2390! C'est E.n.o.r.m.e!
Ya quelques équipes pro tour qui n'ont peut-être pas marqué autant de points sur le jeu.
C'est quasi le double du second du classement.
C'est le total des points de Van Aert + Vingegaard + Van Der Poel
evidemment, il ne pourra plus refaire ça, évidemment sa cote va encore augmenter l'année prochaine, mais évidemment qu'il faut le laisser aussi haut qu'il le peut.
Fallait quand même oser à 40 en début d'année, chapeau aux petits veinards qui l'avaient dans leur équipe.
Ya quelques équipes pro tour qui n'ont peut-être pas marqué autant de points sur le jeu.
C'est quasi le double du second du classement.
C'est le total des points de Van Aert + Vingegaard + Van Der Poel
evidemment, il ne pourra plus refaire ça, évidemment sa cote va encore augmenter l'année prochaine, mais évidemment qu'il faut le laisser aussi haut qu'il le peut.
Fallait quand même oser à 40 en début d'année, chapeau aux petits veinards qui l'avaient dans leur équipe.
- Delgato
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Re: Rivals Manager 2024
Du coup j'en profite pour reproposer l'idée de 3 transferts par an au lieu de 2
Ce n'est pas pour des stratégies, mais quand on voit le nombre de chutes et d'abandons records cette année.... (Sans parler des nouveaux virus)
Je trouve que ce jeu ressemble de plus en plus à une une loterie.
Exemple au Pays-Basque avec la grosse chute qui a mis out Remco, Roglic, Vingegaard et Landa (dont 3 clavicules) ou les 10 chutes de Van Aert dans la saison, oui oui vous avez bien lu : 10
Je sais pas quel produit a remplacé le tramadol mais ça semble avoir bcp d'effets !!
Ce n'est pas pour des stratégies, mais quand on voit le nombre de chutes et d'abandons records cette année.... (Sans parler des nouveaux virus)
Je trouve que ce jeu ressemble de plus en plus à une une loterie.
Exemple au Pays-Basque avec la grosse chute qui a mis out Remco, Roglic, Vingegaard et Landa (dont 3 clavicules) ou les 10 chutes de Van Aert dans la saison, oui oui vous avez bien lu : 10
Je sais pas quel produit a remplacé le tramadol mais ça semble avoir bcp d'effets !!
Dernière modification par Delgato le 11 oct. 2024, 16:52, modifié 1 fois.
"Cours après l'amour et la paix suivra"
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Re: Rivals Manager 2024
Je passe 38e après un gros Lombardia
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- valverde56
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Re: Rivals Manager 2024
C'est bon ton meilleur classement est battu
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Re: Rivals Manager 2024
Oui et en chine j'aurais un peu de monde aussi : LVE, Poole, Onley, Del Toro
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Re: Rivals Manager 2024
Top 20/25 en vue
Re: Rivals Manager 2024
Saison catastrophe pour moi 280 e
Dire que j'ai laissé Pogi au dernier moment , catastrophique aussi mes transferts
Dire que j'ai laissé Pogi au dernier moment , catastrophique aussi mes transferts
Re: Rivals Manager 2024
Allé ça y est les derniers résultats ont été rentrés !
Bravo à Joachim et McFly67 les grands vainqueurs ! Bravo également à leur dauphins Pierrereip et jeffski, 3 points et 15 points de retard c'est vraiment passé pas loin pour eux...
Bravo à tous les managers de cette saison, reposez-vous bien pendant la coupure et affutez vos teams pour la saison prochaine !
Bravo à Joachim et McFly67 les grands vainqueurs ! Bravo également à leur dauphins Pierrereip et jeffski, 3 points et 15 points de retard c'est vraiment passé pas loin pour eux...
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Re: Rivals Manager 2024
39e pour ma 4e saison, mon record
Et 2e des commissaires de courses !
Bien joué Catmapei (13e)
Et Merci beaucoup aux organisateurs
Et 2e des commissaires de courses !
Bien joué Catmapei (13e)
Et Merci beaucoup aux organisateurs
"Cours après l'amour et la paix suivra"
Re: Rivals Manager 2024
904ème avec 8534 points
j'ai 16 coureurs à plus de 40 de renta, mon record mais cela ne m'a pas permit d'être haut dans le classement
mes grosses cotes n'ont pas tout écrasées et j'ai mal choisis mes petites cotes
Moscon a été le seul coureur à 0 point dans mon équipe
merci à tout ceux qui participe de près ou de loin à Rivals et vivement l'année prochaine
j'ai 16 coureurs à plus de 40 de renta, mon record mais cela ne m'a pas permit d'être haut dans le classement
mes grosses cotes n'ont pas tout écrasées et j'ai mal choisis mes petites cotes
Moscon a été le seul coureur à 0 point dans mon équipe
merci à tout ceux qui participe de près ou de loin à Rivals et vivement l'année prochaine
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Re: Rivals Manager 2024
Moi aussi j'ai 2 coureurs à zéro : Moscon et Léo Hayter
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Re: Rivals Manager 2024
Bonjour à toutes et tous,
Quelques mots du vainqueur de l'édition masculine 2024. Quelque chose me dit qu'il explose tous les records de précocité enregistrés ces dernières années par les phénomènes du cyclisme. Joachim est en effet un tout jeune garçon de 9 ans (!).
Le suspense a été entier jusqu'au bout de cette Veneto Classic et le scénario de course nous a fait craindre jusque dans les toutes dernières secondes un retournement de situation fatal. Les quelques minutes avant que ne s'affiche dans PCS la 12e place d'Axel Laurance, synonyme de victoire finale pour trois petits points, ont été les plus longs de sa jeune existence !
Merci à Pierrerep dont la résistance féroce nous a fait vibrer pendant toutes ces dernières semaines !
Pour tout ceux qui comme moi suent sang et eau pour composer une équipe, passent des heures à hésiter, défaire, refaire, jusqu'à l'ultime seconde, Joachim donnera une leçon d'efficacité. Il a composé son équipe en une vingtaine de minutes, certes devancées par des jours, sinon des mois, d'anticipation, de préparation et de projection mentale dans sa future équipe. Joachim est en effet un joueur déjà expérimenté, même si ses trois premières tentatives lui avaient surtout permis d'engranger l'expérience du haut niveau et s'étaient soldées par des résultats moyens, avec une 547e place comme meilleur résultat (ce qui en fait au passage un candidat légitime au titre de décapalliériste de l'année).
Sa recette pour gagner cette année pourrait se résumer de la sorte :
- un fort tropisme FdJ (Madouas, Küng, Grégoire, Martinez, Pithie, Askey, Watson)
- une fidélité sans faille à ses coureurs favoris : Madouas et Küng déjà cités, les spectaculaires Richard Carapaz et Thomas Pidcock, Brian Coquard, l'idole improbable et last but not least l'idole de la jeunesse, le seul et unique Tadej Pogacar.
- un joli flair pour choisir les jeunes coureurs qui allaient exploser, soigneusement notés tout au long de l'année après les courses qu'il regarde principalement en prenant son bain avec beaucoup de mousse (et après avoir fini ses devoirs). Par exemple, Oier Lazkano dont une victoire au Tour de Burgos 2023 alors qu'il venait de lâcher Santiago Bruitrago dans un murito lui avait arracher ce commentaire retentissant qui résonne régulièrement dans notre appartement comme une douce musique : "Lui, je le prends l'année prochaine !".
- un joli flair pour laisser de côté les coureurs qui allaient flopper cette année, Cian Uijtdebroekslui ayant notamment inspiré cette sentence lapidaire et impitoyable mais que personne ne pourrait contester aujourd'hui : "Lui, tout le monde va le prendre mais c'est comme Staune-Mittet, il est tout claqué en vrai".
- un ajustement brillant très tôt dans la saison en se délestant d'un Axel Zingle poussif pour récupérer la poule aux œufs d'or Maxim Van Gils.
- seul bémol : un deuxième échange catastrophique pour récupérer Egan Bernal avant le Tour en échange de l'ambulance Tao (heureusement compensé par le choix douteux de son principal concurrent Pierrerep de s'attacher avant la Vuelta les services d'un Kuss méconnaissable. Il doit encore s'en mordre les doigts...).
On finira tout de même en se demandant si cette victoire ne vient pas trop tôt dans une vie. Que faire ensuite quand le Graal a été atteint si jeune ? Seul l'avenir nous le dira...
Quelques mots du vainqueur de l'édition masculine 2024. Quelque chose me dit qu'il explose tous les records de précocité enregistrés ces dernières années par les phénomènes du cyclisme. Joachim est en effet un tout jeune garçon de 9 ans (!).
Le suspense a été entier jusqu'au bout de cette Veneto Classic et le scénario de course nous a fait craindre jusque dans les toutes dernières secondes un retournement de situation fatal. Les quelques minutes avant que ne s'affiche dans PCS la 12e place d'Axel Laurance, synonyme de victoire finale pour trois petits points, ont été les plus longs de sa jeune existence !
Merci à Pierrerep dont la résistance féroce nous a fait vibrer pendant toutes ces dernières semaines !
Pour tout ceux qui comme moi suent sang et eau pour composer une équipe, passent des heures à hésiter, défaire, refaire, jusqu'à l'ultime seconde, Joachim donnera une leçon d'efficacité. Il a composé son équipe en une vingtaine de minutes, certes devancées par des jours, sinon des mois, d'anticipation, de préparation et de projection mentale dans sa future équipe. Joachim est en effet un joueur déjà expérimenté, même si ses trois premières tentatives lui avaient surtout permis d'engranger l'expérience du haut niveau et s'étaient soldées par des résultats moyens, avec une 547e place comme meilleur résultat (ce qui en fait au passage un candidat légitime au titre de décapalliériste de l'année).
Sa recette pour gagner cette année pourrait se résumer de la sorte :
- un fort tropisme FdJ (Madouas, Küng, Grégoire, Martinez, Pithie, Askey, Watson)
- une fidélité sans faille à ses coureurs favoris : Madouas et Küng déjà cités, les spectaculaires Richard Carapaz et Thomas Pidcock, Brian Coquard, l'idole improbable et last but not least l'idole de la jeunesse, le seul et unique Tadej Pogacar.
- un joli flair pour choisir les jeunes coureurs qui allaient exploser, soigneusement notés tout au long de l'année après les courses qu'il regarde principalement en prenant son bain avec beaucoup de mousse (et après avoir fini ses devoirs). Par exemple, Oier Lazkano dont une victoire au Tour de Burgos 2023 alors qu'il venait de lâcher Santiago Bruitrago dans un murito lui avait arracher ce commentaire retentissant qui résonne régulièrement dans notre appartement comme une douce musique : "Lui, je le prends l'année prochaine !".
- un joli flair pour laisser de côté les coureurs qui allaient flopper cette année, Cian Uijtdebroekslui ayant notamment inspiré cette sentence lapidaire et impitoyable mais que personne ne pourrait contester aujourd'hui : "Lui, tout le monde va le prendre mais c'est comme Staune-Mittet, il est tout claqué en vrai".
- un ajustement brillant très tôt dans la saison en se délestant d'un Axel Zingle poussif pour récupérer la poule aux œufs d'or Maxim Van Gils.
- seul bémol : un deuxième échange catastrophique pour récupérer Egan Bernal avant le Tour en échange de l'ambulance Tao (heureusement compensé par le choix douteux de son principal concurrent Pierrerep de s'attacher avant la Vuelta les services d'un Kuss méconnaissable. Il doit encore s'en mordre les doigts...).
On finira tout de même en se demandant si cette victoire ne vient pas trop tôt dans une vie. Que faire ensuite quand le Graal a été atteint si jeune ? Seul l'avenir nous le dira...
Dernière modification par Trystero le 21 oct. 2024, 00:03, modifié 1 fois.
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Re: Rivals Manager 2024
Si cela vous intéresse il y a un jeu sympa organisé par Cytep sur teamcyclisme où on est une cinquantaine à y jouer :
https://teamcyclisme2.forumactif.com/
Un peu le même principe qu'à Rival, mais avec en plus la possibilité de réaliser plusieurs transferts toutes les fins de mois avec les pépites gagnées grâces aux points de nos coureurs
"Cours après l'amour et la paix suivra"
Re: Rivals Manager 2024
Incroyable ! Bravo JoachimTrystero a écrit : ↑20 oct. 2024, 22:06 Bonjour à toutes et tous,
Quelques mots du vainqueur de l'édition masculine 2024. Quelque chose me dit qu'il explose tous les records de précocité enregistrés ces dernières années par les phénomènes du cyclisme. Joachim est en effet un tout jeune garçon de 9 ans (!).
Le suspense a été entier jusqu'au bout de cette Veneto Classic et le scénario de course nous a fait craindre jusque dans les toutes dernières secondes un retournement de situation fatal. Les quelques minutes avant que ne s'affiche dans PCS la 12e place d'Axel Laurance, synonyme de victoire finale pour trois petits points, ont été les plus longs de sa jeune existence !
Merci à Pierrerep dont la résistance féroce nous a fait vibrer pendant toutes ces dernières semaines !
Pour tout ceux qui comme moi suent sang et eau pour composer une équipe, passent des heures à hésiter, défaire, refaire, jusqu'à l'ultime seconde, Joachim donnera une leçon d'efficacité. Il a composé son équipe en une vingtaine de minutes, certes devancées par des jours, sinon des mois, d'anticipation, de préparation et de projection mentale dans sa future équipe. Joachim est en effet un joueur déjà expérimenté, même si ses trois premières tentatives lui avaient surtout permis d'engranger l'expérience du haut niveau et s'étaient soldées par des résultats moyens, avec une 547e place comme meilleur résultat (ce qui en fait au passage un candidat légitime au titre de décapalliériste de l'année).
Sa recette pour gagner cette année pourrait se résumer de la sorte :
- un fort tropisme FdJ (Madouas, Küng, Grégoire, Martinez, Pithie, Askey, Watson)
- une fidélité sans faille à ses coureurs favoris : Madouas et Küng déjà cités, les spectaculaires Richard Carapaz et Thomas Pidcock, Brian Coquard, l'idole improbable et last but not least l'idole de la jeunesse, le seul et unique Tadej Pogacar.
- un joli flair pour choisir les jeunes coureurs qui allaient exploser, soigneusement notés tout au long de l'année après les courses qu'il regarde principalement en prenant son bain avec beaucoup de mousse (et après avoir fini ses devoirs). Par exemple, Oier Lazkano dont une victoire au Tour de Burgos 2023 alors qu'il venait de lâcher Santiago Bruitrago dans un murito lui avait arracher ce commentaire retentissant qui résonne régulièrement dans notre appartement comme une douce musique : "Lui, je le prends l'année prochaine !".
- un joli flair pour laisser de côté les coureurs qui allaient flopper cette année, Cian Uijtdebroekslui ayant notamment inspiré cette sentence lapidaire et impitoyable mais que personne ne pourrait contester aujourd'hui : "Lui, tout le monde va le prendre mais c'est comme Staune-Mittet, il est tout claqué en vrai".
- un ajustement brillant très tôt dans la saison en se délestant d'un Axel Zingle poussif pour récupérer la poule aux œufs d'or Maxim Van Gils.
- seul bémol : un deuxième échange catastrophique pour récupérer Egan Bernal avant le Tour en échange de l'ambulance Tao (heureusement compensé par le choix douteux de son principal concurrent Pierrerep de s'attacher avant la Vuelta les services d'un Kuss méconnaissable. Il doit encore s'en mordre les doigts...).
On finira tout de même en se demandant si cette victoire ne vient pas trop tôt dans une vie. Que faire ensuite quand le Graal a été atteint si jeune ? Seul l'avenir nous le dira...
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Re: Rivals Manager 2024
Oh purée, d'un sens, c'est impressionnant et je félicite ce nouveau mutant, d'un autre, c'est décourageant pour ceux qui comme moi ont à peine un ou 2 top 100 en une quinzaine de participations et 35 ans de passion.SACRIPAN a écrit : ↑21 oct. 2024, 00:16Incroyable ! Bravo JoachimTrystero a écrit : ↑20 oct. 2024, 22:06 Bonjour à toutes et tous,
Quelques mots du vainqueur de l'édition masculine 2024. Quelque chose me dit qu'il explose tous les records de précocité enregistrés ces dernières années par les phénomènes du cyclisme. Joachim est en effet un tout jeune garçon de 9 ans (!).
Le suspense a été entier jusqu'au bout de cette Veneto Classic et le scénario de course nous a fait craindre jusque dans les toutes dernières secondes un retournement de situation fatal. Les quelques minutes avant que ne s'affiche dans PCS la 12e place d'Axel Laurance, synonyme de victoire finale pour trois petits points, ont été les plus longs de sa jeune existence !
Merci à Pierrerep dont la résistance féroce nous a fait vibrer pendant toutes ces dernières semaines !
Pour tout ceux qui comme moi suent sang et eau pour composer une équipe, passent des heures à hésiter, défaire, refaire, jusqu'à l'ultime seconde, Joachim donnera une leçon d'efficacité. Il a composé son équipe en une vingtaine de minutes, certes devancées par des jours, sinon des mois, d'anticipation, de préparation et de projection mentale dans sa future équipe. Joachim est en effet un joueur déjà expérimenté, même si ses trois premières tentatives lui avaient surtout permis d'engranger l'expérience du haut niveau et s'étaient soldées par des résultats moyens, avec une 547e place comme meilleur résultat (ce qui en fait au passage un candidat légitime au titre de décapalliériste de l'année).
Sa recette pour gagner cette année pourrait se résumer de la sorte :
- un fort tropisme FdJ (Madouas, Küng, Grégoire, Martinez, Pithie, Askey, Watson)
- une fidélité sans faille à ses coureurs favoris : Madouas et Küng déjà cités, les spectaculaires Richard Carapaz et Thomas Pidcock, Brian Coquard, l'idole improbable et last but not least l'idole de la jeunesse, le seul et unique Tadej Pogacar.
- un joli flair pour choisir les jeunes coureurs qui allaient exploser, soigneusement notés tout au long de l'année après les courses qu'il regarde principalement en prenant son bain avec beaucoup de mousse (et après avoir fini ses devoirs). Par exemple, Oier Lazkano dont une victoire au Tour de Burgos 2023 alors qu'il venait de lâcher Santiago Bruitrago dans un murito lui avait arracher ce commentaire retentissant qui résonne régulièrement dans notre appartement comme une douce musique : "Lui, je le prends l'année prochaine !".
- un joli flair pour laisser de côté les coureurs qui allaient flopper cette année, Cian Uijtdebroekslui ayant notamment inspiré cette sentence lapidaire et impitoyable mais que personne ne pourrait contester aujourd'hui : "Lui, tout le monde va le prendre mais c'est comme Staune-Mittet, il est tout claqué en vrai".
- un ajustement brillant très tôt dans la saison en se délestant d'un Axel Zingle poussif pour récupérer la poule aux œufs d'or Maxim Van Gils.
- seul bémol : un deuxième échange catastrophique pour récupérer Egan Bernal avant le Tour en échange de l'ambulance Tao (heureusement compensé par le choix douteux de son principal concurrent Pierrerep de s'attacher avant la Vuelta les services d'un Kuss méconnaissable. Il doit encore s'en mordre les doigts...).
On finira tout de même en se demandant si cette victoire ne vient pas trop tôt dans une vie. Que faire ensuite quand le Graal a été atteint si jeune ? Seul l'avenir nous le dira...
Sinon, je serais curieux de connaître le classement de la première équipe sans Pogi.