Donc, pour en finir avec les grimpeurs, et oui une autre fois

Cependant à partir de 1970 il faudra la présence d'au moins deux de ces coureurs, et toujours une coupure ou mieux dans le top10, les étapes se terminant au sommet devenant plus nombreuses.
À la fin pour être juste avec les purs grimpeurs, un dernier classement où le total de leurs points sera divisé par le nombre d'étapes où ils se sont classés. Ainsi quelques légendes aux carrières trop courtes obtiendront un rang plus près de leur réputation.
Ma sélection ne comporte que des coureurs ayant obtenu de nombreux succès après 1945, ceux dont la carrière s'est achevée 3 ou 4 saisons plus tard sans avoir obtenu un certain total de points ne sont pas retenu, comme par exemple Berrendero ou Vietto, et quelques autres, ceux-là ayant fait leurs meilleurs résultats bien avant.
* le seul réputé sprinter présent est Darrigade, coureur très complet du genre DeVlaeminck ou Saronni à un niveau moindre qu’eux évidemment, la chance de ce type de coureurs c’est de compter sur leur pointe de vitesse pour se présenter en tête d’un groupe de favoris qui terminent une étape de montagne se finissant en plaine. Même si quelques échappés ont profité d’une trêve relative entre les tenors. Il faut toujours une cassure entre les échappés et les premiers «grimpeurs» donc une échappée de moins de 9 coureurs, sinon l'étape est ignorée.
Il y a un autre point à signaler, quand je ferai le décompte des présences dans les top10, je ne retiens que les présences et non de la valeur des rangs, le nombre de présence est extrêmement varié d’une année à l’autre car parfois un GT présente 7 voire 8 étapes qui répondent à mes critères -montagne- et j'ai relevé un cas extrême: celui la Vuelta 1966 où je n’ai pu retenir aucune étape. Mais le plus souvent c’est 4 ou 5 étapes sauf périodes très pauvres en grimpeurs et si les dit spécialistes arrivent groupés aucune présence à leur crédit.
Je vais ouvrir un nouveau sujet avec les résultats à venir la semaine prochaine possiblement.
