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-Zabel21- a écrit : 26 janv. 2024, 11:10
Oui enfin hors du top 3 au virage tu ne pouvais même pas espérer gagner...
Oui mais c'était moins pire que le sprint cité l'année, ou seul celui qui passait premier le dernier virage pouvait gagner.
Hier il y a eu deux effets. Passer premier, et aussi le très bon lancement de Lamperti (et le très bon sprint de Magnier) qui a aussi joué pour empêcher les autres de remonter. Ils avaient aussi les jambes pour être capable de transformer l'avantage pris dans le virage.
On revoit ce que signifie la culture d'équipe quand même hein... SQS c'est plus de 10 ans de trains à un très très très haut niveau et sur cette arrivée c'était le fait d'être placé au virage qui a fait toute la différence. Bravo.
Les autres équipe souhaitaient aussi être en tête à ce virage, je pense que c'était clair pour tout le monde que c'était clé. Il fallait donc aussi avoir les jambes pour être premier, c'était une véritable lutte, sans les meilleurs jambes c'était difficile d'y être.
c'est pas qu'une question de pédalage de bourrin, c'est quand remonter, où et quand mettre le coup d'épaule, c'est que ça soit huilé pour pas perdre de jus avant, etc... sans les jambes ça sert à rien c'est sûr, mais ça aide beaucoup à les mettre en valeur les jambes !
Je n'ai regardé que les 3 derniers kilomètres et c'est vrai qu'il y a une question de timing dans un sprint. Mais la guerre de placement s'est quand même surtout faite en mode gros bourrin, avec certains qui pédalaient avec les oreilles et qui ont bien explosé et d'autres qui ont su mettre le coup d'accélérateur.
blouss_ a écrit : 26 janv. 2024, 12:24
Je n'ai regardé que les 3 derniers kilomètres et c'est vrai qu'il y a une question de timing dans un sprint. Mais la guerre de placement s'est quand même surtout faite en mode gros bourrin, avec certains qui pédalaient avec les oreilles et qui ont bien explosé et d'autres qui ont su mettre le coup d'accélérateur.
Quand la fusée est en place, que tes coureurs savent tenir la roue pour ne pas devoir mettre encore plus de force pour tenir leur place, que le sens du timing est nickel parce que pratiqué et réussi 1000 fois, alors tu préserves des forces pour t'imposer quand il le faut et ensuite pouvoir sprinter dans les meilleures conditions. Il ne faut pas minimiser l'impact de cette excellence technique collective dans le succès SQS sur les sprints.
blouss_ a écrit : 26 janv. 2024, 12:24
Je n'ai regardé que les 3 derniers kilomètres et c'est vrai qu'il y a une question de timing dans un sprint. Mais la guerre de placement s'est quand même surtout faite en mode gros bourrin, avec certains qui pédalaient avec les oreilles et qui ont bien explosé et d'autres qui ont su mettre le coup d'accélérateur.
Après il y a des coureurs à qui on fournit les bons produits, et il y a les autres nazes.
I AM THE LAW. (Chris Froome)
I'm here to kick ass and chew bubble gum, and I'm all out of gum. (Duke Nukem)
Gruppo Compatto dans la plaine, le premier col ayant seulement permis d'éliminer notamment Jesus Herrada et Mattia Cattaneo de la liste des prétendants puisqu'ils ont déjà craché leur venin
Gruppo Compatto dans la plaine, le premier col ayant seulement permis d'éliminer notamment Jesus Herrada et Mattia Cattaneo de la liste des prétendants puisqu'ils ont déjà craché leur venin
