- 31 juil. 2023, 12:21
#3611974
N'hésitez pas à donner le votre également.
L'engouement populaire
C'est la très belle nouvelle de cette édition 2023 du Tour de France Femmes, le public était clairement au rendez-vous au bord des routes pour encourager les coureuses. Un véritable succès populaire, qui valide une nouvelle fois la montée en puissance du cyclisme féminin.
Demi Vollering
Impériale tout au long de la course, Demi Vollering n'a finalement jamais eu à forcer son talent pour remporter le premier Tour de France de sa carrière. Et même la pénalité qui lui a été infligée n'a finalement rien changé au résultat final, Demi Vollering était tout simplement la plus forte cette année sur les routes du Tour.
Les échappées qui vont au bout
Comme beaucoup, on aime lorsque la lutte est intense entre les échappées et le peloton, mais aussi et surtout lorsque les premières citées parviennent à résister à la meute pour se jouer la victoire. Ce fut le cas à plusieurs reprises cette année, grâce à Yara Kastelijn, Emma Norsgaard ou bien encore Ricarda Bauernfeind.
Lotte Kopecky
Alors que personne n'aurait misé ne serait-ce que sur un top 10 pour Lotte Kopecky avec la présence de l'étape du Tourmalet, la pensionnaire de la formation SD Worx a surpris tout le monde en se montrant très polyvalente tout au long de la semaine. Et si elle n'a logiquement rien pu faire face à son équipière Demi Vollering, elle termine la Grande Boucle à une excellente et surprenante seconde place.
L'attitude du DS de la SD Worx, ainsi que sa tactique
Lorsque l'on commet une erreur, on considère souvent à juste titre que faire profil bas est souvent une bonne idée. Une tactique que n'a pas adopté le directeur sportif de la SD Worx, auteur d'une sortie plus que lunaire alors qu'il était clairement coupable d'avoir ramené Demi Vollering dans le peloton de manière répréhensible. Bilan, une exclusion de la course qui fait tâche, surtout qu'on ne peut pas dire qu'il se soit montré à la hauteur au niveau tactique pendant la première partie de l'épreuve.
L'absence de diffusion en intégralité et la réalisation
Il est fort dommage que les femmes ne soient pas logées à la même enseigne que les hommes, et n'aient donc pas pu bénéficier d'une couverture en intégralité de leur course. D'autant plus dommage que les étapes étaient très plaisantes à suivre, même si la réalisation made in France TV laissait encore une fois à désirer, tout comme les traductions approximatives qui privent le téléspectateur d'une bonne grille de lecture par rapport aux propos des coureuses.
La FDJ - Suez
C'est peut-être le seul vrai flop au niveau sportif, car malheureusement, et ce malgré un effectif très costaud sur le papier, la FDJ - Suez n'a pas su se montrer à la hauteur de l'évènement, et n'a jamais véritablement pu peser sur la course. Pour diverses raisons certes, mais au final, le constat est le même, et en dehors de la 7ème place de Cecilie Ludwig, pas grand chose à se mettre sous la dent.
Les tops
L'engouement populaire
C'est la très belle nouvelle de cette édition 2023 du Tour de France Femmes, le public était clairement au rendez-vous au bord des routes pour encourager les coureuses. Un véritable succès populaire, qui valide une nouvelle fois la montée en puissance du cyclisme féminin.
Demi Vollering
Impériale tout au long de la course, Demi Vollering n'a finalement jamais eu à forcer son talent pour remporter le premier Tour de France de sa carrière. Et même la pénalité qui lui a été infligée n'a finalement rien changé au résultat final, Demi Vollering était tout simplement la plus forte cette année sur les routes du Tour.
Les échappées qui vont au bout
Comme beaucoup, on aime lorsque la lutte est intense entre les échappées et le peloton, mais aussi et surtout lorsque les premières citées parviennent à résister à la meute pour se jouer la victoire. Ce fut le cas à plusieurs reprises cette année, grâce à Yara Kastelijn, Emma Norsgaard ou bien encore Ricarda Bauernfeind.
Lotte Kopecky
Alors que personne n'aurait misé ne serait-ce que sur un top 10 pour Lotte Kopecky avec la présence de l'étape du Tourmalet, la pensionnaire de la formation SD Worx a surpris tout le monde en se montrant très polyvalente tout au long de la semaine. Et si elle n'a logiquement rien pu faire face à son équipière Demi Vollering, elle termine la Grande Boucle à une excellente et surprenante seconde place.
Les flops
L'attitude du DS de la SD Worx, ainsi que sa tactique
Lorsque l'on commet une erreur, on considère souvent à juste titre que faire profil bas est souvent une bonne idée. Une tactique que n'a pas adopté le directeur sportif de la SD Worx, auteur d'une sortie plus que lunaire alors qu'il était clairement coupable d'avoir ramené Demi Vollering dans le peloton de manière répréhensible. Bilan, une exclusion de la course qui fait tâche, surtout qu'on ne peut pas dire qu'il se soit montré à la hauteur au niveau tactique pendant la première partie de l'épreuve.
L'absence de diffusion en intégralité et la réalisation
Il est fort dommage que les femmes ne soient pas logées à la même enseigne que les hommes, et n'aient donc pas pu bénéficier d'une couverture en intégralité de leur course. D'autant plus dommage que les étapes étaient très plaisantes à suivre, même si la réalisation made in France TV laissait encore une fois à désirer, tout comme les traductions approximatives qui privent le téléspectateur d'une bonne grille de lecture par rapport aux propos des coureuses.
La FDJ - Suez
C'est peut-être le seul vrai flop au niveau sportif, car malheureusement, et ce malgré un effectif très costaud sur le papier, la FDJ - Suez n'a pas su se montrer à la hauteur de l'évènement, et n'a jamais véritablement pu peser sur la course. Pour diverses raisons certes, mais au final, le constat est le même, et en dehors de la 7ème place de Cecilie Ludwig, pas grand chose à se mettre sous la dent.