- 08 oct. 2021, 11:52
#3392711
La question à un million qui pollue les discussions des cyclos depuis qu'on nous matraque de partout avec ce marketing "gravel".
A priori, je m'adresse vraiment à ceux qui le pratiquent pour avoir un retour qui repose essentiellement sur des expériences.
J'ai un dilemme somme toute assez classique. Certains ont déjà lu ici ma pratique de l'ultra et, avec uniquement un vélo de route, je suis limité sur le choix de mes prochains défis. J'ai l'espoir qu'un gravel pourrait sérieusement étendre mon champs d'action mais, étant loin d'être un Mathieu Van der Poel, j'ai peur que ce dernier ne me l'étende pas tant que ça. Comprenez, je ne compte pas non plus affronter des chemins ultra-techniques, ça ne m'intéresse pas, mais sur des chemins "moyennement techniques", quelque part entre le single track et les routes blanches, est-ce que je risque de me retrouver limité avec un gravel?
Par exemple, ne risquerais-je pas de regretter de ne pas avoir acheté VTT en descendant le Parpaillon en gravel? D'un autre côté, ma région n'est pas vraiment ce qu'on appelle un paradis pour les VTT (hormis quelques terrils) par contre pour le gravel, il y a encore de quoi faire...
J'ai dans ma tête des rêves d'Italy Divide, de Route de la Soie, ou plus simplement de petit voyage à vélo de Rome aux Alpes Suisses.
Bref, si il y a des gens qui peuvent m'aider à m'orienter via leurs expériences ici, je suis preneur.
A priori, je m'adresse vraiment à ceux qui le pratiquent pour avoir un retour qui repose essentiellement sur des expériences.
J'ai un dilemme somme toute assez classique. Certains ont déjà lu ici ma pratique de l'ultra et, avec uniquement un vélo de route, je suis limité sur le choix de mes prochains défis. J'ai l'espoir qu'un gravel pourrait sérieusement étendre mon champs d'action mais, étant loin d'être un Mathieu Van der Poel, j'ai peur que ce dernier ne me l'étende pas tant que ça. Comprenez, je ne compte pas non plus affronter des chemins ultra-techniques, ça ne m'intéresse pas, mais sur des chemins "moyennement techniques", quelque part entre le single track et les routes blanches, est-ce que je risque de me retrouver limité avec un gravel?
Par exemple, ne risquerais-je pas de regretter de ne pas avoir acheté VTT en descendant le Parpaillon en gravel? D'un autre côté, ma région n'est pas vraiment ce qu'on appelle un paradis pour les VTT (hormis quelques terrils) par contre pour le gravel, il y a encore de quoi faire...
J'ai dans ma tête des rêves d'Italy Divide, de Route de la Soie, ou plus simplement de petit voyage à vélo de Rome aux Alpes Suisses.
Bref, si il y a des gens qui peuvent m'aider à m'orienter via leurs expériences ici, je suis preneur.