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. Le Gruppo Sportivo Emilia est l'autre organisateur de cyclisme en Italie, qui prend en charge des courses comme la Semaine Coppi Bartali ou le Tour d'Emilie, et intervient comme prestataire par exemple à Laigueglia. Et voici que Adriano Amici, le patron de la structure, nous sort cette année non pas une, mais deux nouvelles courses inscrites au calendrier U.C.I.. Après la "Per sempre Alfredo" en mars (victoire de Moschetti), voici la Semaine Cycliste italienne qui part sur un concept bien particulier : à l'initiative d'un industriel amoureux de cyclisme, cette épreuve par étapes voyagera dans chacune des vingt régions italiennes au gré des candidatures des villes et des provinces concernées.
C'est la Sardaigne qui ouvre la bal ce mercredi avec une course en cinq étapes ; l'île avait reçu le grand départ du Giro en 2017, et accueille par ailleurs une autre épreuve par étapes, le Tour de Sardaigne : celui-ci s'est couru jusqu'en 2011, a été relancé en 2020 avant d'être annulé en raison de la crise sanitaire, et pour 2021 est programmé du 12 au 16 octobre prochains.
Le G S Emilia a tracé un parcours plutôt facile, seule la première étape présentant un profil intéressant ; en effet les quatre autres journées seront parsemées de quelques ascensions mais qui risquent bien de ne pas être décisives étant situées trop loin des lignes d'arrivée. Il est vrai qu'en plein Tour de France, l'épreuve se destine aux coureurs préparant les Jeux Olympiques, ainsi qu'au peloton italien, et qu'il n'était pas question de proposer un parcours trop difficile.
Cette Settimana Ciclistica nous offrira une liste de départ tout-à-fait sérieuse avec pas moins de six World Teams et en particulier une formation Bahrein-Victorious qui n'aurait pas déparé sur le Tour de France, autour de Mark Padun et Damiano Caruso. Une très forte sélection nationale avec Moscon, Ciccone et Ganna est également sur les rangs mais les coureurs concernés quitteront la course au soir du troisième jour pour rejoindre Tokyo. Côté français, on notera la présence des Arkea-Samsic, ainsi que des Delko qui n'ont pas couru depuis Paris-Camembert il y a un mois, si l'on excepte les championnats nationaux.
REGARDER
La course n'est pas diffusée en direct.
Highlights en soirée sur Raisport (50 minutes) les 14,15 et 16 à 19 h 50, le 17 à 18 h 50 et le 18 à 19 h 30
Merci pour la présentation ! Balèze de faire un parcours aussi plat en Sardaigne… Un peu dommage même si le plateau hétérogène pourrait permettre de décanter tout ça. Toujours sympa de voir une épreuve naître en tout cas.
Merci pour la présentation.
Je te rejoins, je trouve ça stupide de ne pas profiter du relief de la Sardaigne sans pour autant mettre des cols en arrivée mais en faisant des étapes difficiles de petites bosses. C’est généralement les plus belles étapes.
ils ont du avoir du mal à trouver des villes pour accueillir les arrivées puisque les 3 dernières étapes se terminent à Cagliari, ville située dans la plaine et éloignée des montagnes.
tony43 a écrit : 13 juil. 2021, 06:39
Merci pour la présentation.
Je te rejoins, je trouve ça stupide de ne pas profiter du relief de la Sardaigne sans pour autant mettre des cols en arrivée mais en faisant des étapes difficiles de petites bosses. C’est généralement les plus belles étapes.
Il faut penser un peu aux coureurs locaux.
Soyons magnanimes : Pour un arrêt de la pratique cycliste professionnelle en Italie
Au km 50 s'est développée une échappée de 9 coureurs avec Herregodts, Siskevicius, Burchio, Rudy Barbier, Abrahamsen, Pellaud, Azurmendi, Wackermann et Simion. Au fil des ascensions, Simion, Siskevicius, Barbier puis Burchio ont perdu contact et l'avance des 5 échappés a augmenté jusqu'à 4 minutes et demiie.
Actuellement à 40 km de l'arricée, les cinq échappés restants (Herregodts, Abrahamsen, Pellaud, Azurmendi et Wackermann) obr deux minutes d'avance sur un ppeloton emmené par l'équipe nationale italienne.
tony43 a écrit : 13 juil. 2021, 06:39
Merci pour la présentation.
Je te rejoins, je trouve ça stupide de ne pas profiter du relief de la Sardaigne sans pour autant mettre des cols en arrivée mais en faisant des étapes difficiles de petites bosses. C’est généralement les plus belles étapes.
je me demande même s'il y a un col à plus de 10 % sur l'ile?
Déjà lors du Grand Départ de 2017 le profile accidenté n'était pas du tout prononcé
Pellaud et Herregodts derniers ratrappés parmi les échappés ; le peloton est divisé en trois morceaux à l'abord de la dernière montée la Scala di Ciocca
tony43 a écrit : 13 juil. 2021, 06:39
Merci pour la présentation.
Je te rejoins, je trouve ça stupide de ne pas profiter du relief de la Sardaigne sans pour autant mettre des cols en arrivée mais en faisant des étapes difficiles de petites bosses. C’est généralement les plus belles étapes.
je me demande même s'il y a un col à plus de 10 % sur l'ile?
Déjà lors du Grand Départ de 2017 le profile accidenté n'était pas du tout prononcé
Il y a le monte Limbara, coté nord de l'île, qui pour moi est la montée la plus dure de Sardaigne.
Ok ce n'est pas un col, mais ya moyen de redescendre 1km avant le sommet en tournant à gauche et faire une boucle pour refaire la montée jusqu'en haut, du même genre que l'Alpe d'Huez
Premier passage sur la ligne à 16 km de l'arrivée de la seconde étape : Masnada seul en tête après s'être extrait d'une échappée où figuraient avec lui Santiago Buitrago (Bahrain Victorious), Krists Neilands (Israel Start Up Nation) et Simon Pellaud (Androni Giocattoli Sidermec)
daizenshu_ a écrit : 15 juil. 2021, 20:36
Pour que Ackermann remporte un sprint désormais, il a besoin qu'il n'y ait pas d'autre sprinters face à lui...
Il a bien passé la bosse tout de même. Viviani, Barbier, Mareczko, Guardini ont eu été lâchés (bon je sais c'est pas des références...). Mais bon il n'y avait plus qu'un tiers du peloton tout de même.
