Comme quand un footeux qui vient de se prendre un tacle assassin se relève et met une droite à son agresseur, je ne cautionne pas, mais vraiment je le comprends, surtout que la douleur vive peut vraiment nous faire dégoupiller.
Comme quand un gamin qui venait de faire une crise de nerfs au taf et me demandait de relâcher l’étreinte parce qu’il était calmé, que je le relâche et qu’il m’envoie un pain en plein nez et explose de rire de me voir atteint. Bon bah évidemment je l’ai massacré en retour, hein, normal.......nan je déconne bien sûr, je l’ai contenu à nouveau tout en essayant de réprimer les larmes qui coulaient toutes seules sous l’effet de la vive douleur qu’engendre un pain dans le pif! Mais en vrai, je l’aurais bien tué, sur le coup.
