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TheChosenOne6 a écrit : 26 août 2020, 15:26
Les italiens courent à l’envers complet pour l’instant.
Alors qu’ils devraient miser sur une course de mouvement avec plusieurs cartes crédibles ils se comportent comme s’il avait quelqu’un capable de gagner en cas de sprint. Nizzolo peut sans doute faire un podium mais de la à aller gagner...
C'est toujours savoureux de découvrir les résultats sur le site VCN et ensuite de découvrir le déroulé de la course sur le forum.
SimoniMan a écrit : 26 août 2020, 16:22
C'est pas un jeu video luckywinner, tu ne peux pas mettre les mecs en "ghost"
J'ai précisé que pour Ballerini, il est clean par contre Cimolai je suis désolé mais c'est pas acceptable de voir ça, et c'est évidemment volontaire son action, il aurait pu se décaler toute à droite avant de décélérer.
TheChosenOne6 a écrit : 26 août 2020, 15:26
Les italiens courent à l’envers complet pour l’instant.
Alors qu’ils devraient miser sur une course de mouvement avec plusieurs cartes crédibles ils se comportent comme s’il avait quelqu’un capable de gagner en cas de sprint. Nizzolo peut sans doute faire un podium mais de la à aller gagner...
Oui, ils aiment bien courir en patron quand ils courent en nation.
Personne n'ose leur dire qu'on n'est plus dans les années 90.
Mes amis, je dois faire mon mea culpa. Suite à la grosse attaque de Schonberger je dois vous concéder que j'étais dans l'erreur et qu'il a vraiment un gros niveau World-Tour
TheChosenOne6 a écrit : 26 août 2020, 16:17
Hé bé Nizzolo
Juste en passant on a encore un sprint qui démarre le long des barrières à gauche pour ce finir au milieu de la route. Même si c’est lent et qu’il n’y a rien de reprehensible dans la manière de voir les sprints aujourd’hui il faudra peut être qu’à l’UCI on se penche un jour sur ces histoire de couloir.
Sauf que le problème c'est que les couloirs purs, sauf à les dessiner au sol, ce n'est pas réaliste. Il y a naturellement une propension des sprinteurs à se rapprocher les uns des autres liée à la fois aux turbulences aérodynamiques et à un réflexe très primitif qui est un peu le même que quand on apprend à conduire et que le moniteur t'explique qu'il ne faut pas regarder la bagnole garée que tu ne veux pas toucher, sinon tu vas la toucher, il faut regarder au loin dans le virage : les coureurs se voient et instinctivement se rapprochent, ils le font tous. Ce qu'il faut c'est être sévère sur les vagues, mais les glissements... très compliqué.
AlbatorConterdo a écrit : 26 août 2020, 15:32
Oui, ils aiment bien courir en patron quand ils courent en nation.
Personne n'ose leur dire qu'on n'est plus dans les années 90.
Merci pour ce moment
Nizzolo qui gagne un sprint... Pourquoi il faut que ça tombe aujourd’hui
Ben en tout cas il a de bonnes jambes, Schonberger. Son attaque en fin de course, quand l'Italie fait un bon train, n'est pas non plus anodine. Pas suffisant pour être sélectionné dans une équipe World Tour, mais chez les Pineau's boys, ça n'aurait pas été un scandale, non ?
charlix a écrit : 26 août 2020, 16:30
Mes amis, je dois faire mon mea culpa. Suite à la grosse attaque de Schonberger je dois vous concéder que j'étais dans l'erreur et qu'il a vraiment un gros niveau World-Tour
TheChosenOne6 a écrit : 26 août 2020, 16:17
Hé bé Nizzolo
Juste en passant on a encore un sprint qui démarre le long des barrières à gauche pour ce finir au milieu de la route. Même si c’est lent et qu’il n’y a rien de reprehensible dans la manière de voir les sprints aujourd’hui il faudra peut être qu’à l’UCI on se penche un jour sur ces histoire de couloir.
Sauf que le problème c'est que les couloirs purs, sauf à les dessiner au sol, ce n'est pas réaliste. Il y a naturellement une propension des sprinteurs à se rapprocher les uns des autres liée à la fois aux turbulences aérodynamiques et à un réflexe très primitif qui est un peu le même que quand on apprend à conduire et que le moniteur t'explique qu'il ne faut pas regarder la bagnole garée que tu ne veux pas toucher, sinon tu vas la toucher, il faut regarder au loin dans le virage : les coureurs se voient et instinctivement se rapprochent, ils le font tous. Ce qu'il faut c'est être sévère sur les vagues, mais les glissements... très compliqué.
En soit je ne suis pas contre.
Mais si par exemple les glissements ne vont pas vers le centre de la route mais vers les barrières et qu’un mec finit par terre (et je ne parle pas forcément du cas Jakobsen), on fait comment?
Il faudrait d’ailleurs peut être simplement regarder ce que dit le règlement UCI a propos du sprint une fois que celui ci est lancé
charlix a écrit : 26 août 2020, 16:30
Mes amis, je dois faire mon mea culpa. Suite à la grosse attaque de Schonberger je dois vous concéder que j'étais dans l'erreur et qu'il a vraiment un gros niveau World-Tour
On a eu peur pour toi !
Je comprends, il a failli prendre au moins 8 mètres d'avance
AlbatorConterdo a écrit : 26 août 2020, 15:32
Oui, ils aiment bien courir en patron quand ils courent en nation.
Personne n'ose leur dire qu'on n'est plus dans les années 90.
Merci pour ce moment
Comme Charlix, je dois faire mon mea culpa.
Un grand bravo encore une fois à Cassani pour avoir su fédérer sa sélection autour de Nizzolo, alors que la semaine dernière, ce dernier luttait encore contre Ballerini ou Trentin pour le titre national.
On est bien loin des guerres d'égo des années 90-2000
Soyons magnanimes : Pour un arrêt de la pratique cycliste professionnelle en Italie
Sauf que le problème c'est que les couloirs purs, sauf à les dessiner au sol, ce n'est pas réaliste. Il y a naturellement une propension des sprinteurs à se rapprocher les uns des autres liée à la fois aux turbulences aérodynamiques et à un réflexe très primitif qui est un peu le même que quand on apprend à conduire et que le moniteur t'explique qu'il ne faut pas regarder la bagnole garée que tu ne veux pas toucher, sinon tu vas la toucher, il faut regarder au loin dans le virage : les coureurs se voient et instinctivement se rapprochent, ils le font tous. Ce qu'il faut c'est être sévère sur les vagues, mais les glissements... très compliqué.
En soit je ne suis pas contre.
Mais si par exemple les glissements ne vont pas vers le centre de la route mais vers les barrières et qu’un mec finit par terre (et je ne parle pas forcément du cas Jakobsen), on fait comment?
Il faudrait d’ailleurs peut être simplement regarder ce que dit le règlement UCI a propos du sprint une fois que celui ci est lancé
en général quand ce sont des glissements "naturels" c'est suffisamment progressif pour ne pas mettre un mec par terre, mais fermer une porte, parce que ce glissement il se fait suffisamment devant lui (ie les coureurs sont attirés par les mecs qu'ils voient).
Moi aussi j'étais dans le faux. Je voyais gros comme une maison l'accident industriel Italien avec Nizzolo et Ballerini qui font 3 et 4 un vélo derrière Démare. Finalement Nono n'était plus si fort que ça (peut être un peu de fatigue) et c'est bien joué pour la Squadra.
Dommage que ça ait donné une course si moche au final.
Wombat a écrit : 26 août 2020, 17:00
Moi aussi j'étais dans le faux. Je voyais gros comme une maison l'accident industriel Italien avec Nizzolo et Ballerini qui font 3 et 4 un vélo derrière Démare. Finalement Nono n'était plus si fort que ça (peut être un peu de fatigue) et c'est bien joué pour la Squadra.
Dommage que ça ait donné une course si moche au final.
Oui, à vous lire, on sentait qu'on était bien loin du festival de 2019
Mais bon, il s'agissait d'une édition particulière, c'est déjà pas mal qu'elle ait pu avoir lieu.
Soyons magnanimes : Pour un arrêt de la pratique cycliste professionnelle en Italie
Sinon pour la France pas de surprise, quasi 0 cohésion D'ÉQUIPE. Le Gac le seul vraiment utile pour Démare. Cosnefroy avait des bonnes jambes à suivi
quelques coups mais n'a pas vraiment travailler pour Démare sur les 5 derniers kms.
Le collectif italien mérite sa victoire vu la course réalisée.