- 06 août 2020, 10:02
#3197567
Pas vu les images...et je ne les verrai sans doute jamais, ça fait un peu "lâche", mais c'est le genre de truc qui me fout les j'tons, je peux pas.
J'ai parcouru le topic, tout le monde est un peu sur les nerfs, c'est bien normal. Faut juste espérer l'issue la moins dramatique possible pour Jakobsen.
Sinon, complètement en phase avec grasdouble. Marre du sprint en général, et encore plus quand c'est en faux plat descendant comme hier. C'est de la folie. J'ai d'ailleurs de plus en plus de mal à suivre un sprint massif, spécialement sur le Tour. Pas seulement le sprint, mais toute la préparation...ça frotte, chaque sprinteurs a son train, c'est devenu n'importe quoi depuis quelques années. L'argument en bois que les descentes sont aussi dangereuses, non, ça n'a rien à voir.
Je pense qu'il faut avoir une réflexion à propos de ces arrivées massives.
Genre, les 10 derniers km, tout le monde se relève, et on laisse 25 gus s'expliquer entre eux jusqu'à la ligne. Tout le monde va me sauter dessus, mais vraiment je déteste ces arrivées où les coureurs se déshumanisent et sont près à tout pour franchir la ligne en vainqueur.
J'ai parcouru le topic, tout le monde est un peu sur les nerfs, c'est bien normal. Faut juste espérer l'issue la moins dramatique possible pour Jakobsen.
Sinon, complètement en phase avec grasdouble. Marre du sprint en général, et encore plus quand c'est en faux plat descendant comme hier. C'est de la folie. J'ai d'ailleurs de plus en plus de mal à suivre un sprint massif, spécialement sur le Tour. Pas seulement le sprint, mais toute la préparation...ça frotte, chaque sprinteurs a son train, c'est devenu n'importe quoi depuis quelques années. L'argument en bois que les descentes sont aussi dangereuses, non, ça n'a rien à voir.
Je pense qu'il faut avoir une réflexion à propos de ces arrivées massives.
Genre, les 10 derniers km, tout le monde se relève, et on laisse 25 gus s'expliquer entre eux jusqu'à la ligne. Tout le monde va me sauter dessus, mais vraiment je déteste ces arrivées où les coureurs se déshumanisent et sont près à tout pour franchir la ligne en vainqueur.