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Tu prendrais qui par exemple ...? Si tu étais manager d'équipe...
C'est l'équipe de mon département, je la connais assez bien et je la suis. Un copain de lycée est même dans le CDF 16 l'antichambre de l'équipe.
Par exemple Louis Lapierre bon petit sprinteur de courses françaises ou Tom Mainguenaud tout jeune qui vient du Cyclo Cross. Après je les vois plus dans des équipes françaises.
Et oui , j'imagine que tu es pointu sur cette équipe...
il me semble que Tom Mainguenaud a déjà été repéré par une ou 2 équipes françaises...
charlix a écrit : 10 juin 2020, 13:52
Après chez Evopro, si mes sources sont bonnes les coureurs ne sont pas payés, comme dans les 3/4 des contis donc si un coureur ramène un truc, il signe.
ps : je ne dis pas que c'est le cas ici, je ne me permettrais pas car je n'en sais rien, juste que de manière générale, avec de la ressource c'est très facile d'avoir un contrat en conti
Exactement oui.
La pratique vaudrait aussi pour des conti-pros ...
Psyonix76 a écrit : 09 juin 2020, 18:42
Xandro Meurisse souhaite quitter Wanty à la fin de la saison pour rejoindre une formation en World-Tour. Il acceptera même un contrat d'équipier pour un leader s'il le faut.
Voici un coureur de talent qui ne devrait pas laisser insensible les formations de second rang en première division à la recherche d'un lieutenant pour le leader voir même jouer le rôle de leader sur des épreuves de second rang.
Il nous fait pas une MM période Cofidis le Meurisse là ? Parce que « accepter un rôle d’équipier s’il le faut », euh comment dire, comment pourrait-il espérer mieux en WT
Psyonix76 a écrit : 09 juin 2020, 18:42
Xandro Meurisse souhaite quitter Wanty à la fin de la saison pour rejoindre une formation en World-Tour. Il acceptera même un contrat d'équipier pour un leader s'il le faut.
Voici un coureur de talent qui ne devrait pas laisser insensible les formations de second rang en première division à la recherche d'un lieutenant pour le leader voir même jouer le rôle de leader sur des épreuves de second rang.
Il nous fait pas une MM période Cofidis le Meurisse là ? Parce que « accepter un rôle d’équipier s’il le faut », euh comment dire, comment pourrait-il espérer mieux en WT
Je suis tout à fait d'accord avec toi pour la deuxième partie de ton commentaire mais j'ai beau cherché , je ne comprends pas la première partie
jimmy39 a écrit : 10 juin 2020, 21:21
Il nous fait pas une MM période Cofidis le Meurisse là ? Parce que « accepter un rôle d’équipier s’il le faut », euh comment dire, comment pourrait-il espérer mieux en WT
Je suis tout à fait d'accord avec toi pour la deuxième partie de ton commentaire mais j'ai beau cherché , je ne comprends pas la première partie
Psyonix76 a écrit : 09 juin 2020, 18:42
Xandro Meurisse souhaite quitter Wanty à la fin de la saison pour rejoindre une formation en World-Tour. Il acceptera même un contrat d'équipier pour un leader s'il le faut.
Voici un coureur de talent qui ne devrait pas laisser insensible les formations de second rang en première division à la recherche d'un lieutenant pour le leader voir même jouer le rôle de leader sur des épreuves de second rang.
Il nous fait pas une MM période Cofidis le Meurisse là ? Parce que « accepter un rôle d’équipier s’il le faut », euh comment dire, comment pourrait-il espérer mieux en WT
Parmi les leaders d’équipes en fin de contrat, Romain Bardet n’est pas le plus inquiet. À bientôt trente ans, ce jeune père de famille depuis le mois de février a découvert plus encore les nuances entre l’essentiel et l’accessoire. Ce coureur curieux de tout, plus atypique que jamais dans l’approche de son métier, n’est pas le plus médiatique, encore moins le plus populaire. Cette facette de la profession aurait même pu le dégoûter définitivement, en juillet dernier, tandis que la lumière d’un soleil caniculaire éclairait les visages barbus de Julian Alaphilippe et de Thibaut Pinot, héros de toute la France avec le président Macron.
Bardet est un pur produit de l’école de formation d’AG2R. « Il a considérablement fait progresser cette équipe », considère l’attaché de presse de la formation française, Yves Perret. « C’est lui qui a initié les stages d’altitude pour tout le monde, en invitant ses camarades à en comprendre les bienfaits. C’est lui qui a amélioré la structure dans son ensemble, à l’échelon du staff. Aujourd’hui, on peut s’appuyer sur des entraîneurs, des kinés, présents au « service course » pour partir à l’entraînement grâce à Romain, très pointu sur la question. »
Indissociable d’une équipe familiale et très française dans son approche du cyclisme moderne, Bardet est pourtant dans l’interrogation. Doit-il, comme son compatriote Pinot, reparti pour trois ans avec Madiot (Groupama-FDJ), rester fidèle à une équipe qu’il a modelée ou s’agirait-il de découvrir un autre univers afin de ne rien regretter lorsque sa carrière s’approchera du crépuscule ? Contrairement à la plupart de ses compatriotes du peloton professionnel, Bardet s’exprime couramment en anglais. Ce n’est pas un détail.
« Si Romain quitte AG2R, ce ne sera pas pour une structure française », estime un proche. « Les équipes hexagonales sont parées en leaders. Bardet est sensible à l’éthique, à la politique scrupuleuse de l’antidopage. » D’où l’intérêt du Team Sunweb, l’équipe de Tiesj Benoot, mais également de Trek (Nibali) et d’EF (Vanmarcke), trois formations qui ont approché le Finlandais Joona Laukka, l’agent du Français.
Un autre aspect, crucial, concerne le matériel. En délicatesse avec ses options techniques depuis quelques années, AG2R n’a pas toujours été heureuse dans le choix de l’équipementier. Les coureurs s’en plaignent, car ils doivent souvent changer de marque de vélo, ce qui n’est pas de bon aloi lorsqu’il s’agit d’adopter une machine. Bardet veut des garanties là-dessus. Et sans doute a-t-il reçu des éclaircissements, car cet élément tracassait également Oliver Naesen et le prometteur Benoît Cosnefroy, deux coureurs qui ont prolongé pour trois ans ?
Malgré tout, son appétit de culture, de langues et de découverte pourrait l’encourager à tenter une aventure à l’étranger. Bardet, excellent dans les courses d’un jour lorsqu’il s’y consacre (vice-champion du monde à Innsbruck en 2018) aimerait élargir son champ de découverte avec les classiques… flamandes. « Il ne supporterait pas achever sa carrière sans Paris-Roubaix, ni le Ronde. Il a déjà essayé, avec succès les Strade, il a adoré Milan-Sanremo. C’est dans ses gènes », confirme-t-on. Sans le Covid-19, le programme de l’Auvergnat aurait été différent des autres années, puisque la première fois sans Tour de France au profit du Giro. Le remaniement du calendrier en a décidé autrement mais, comme il l’a expliqué au quotidien « La Montagne » mardi, « il ira au Tour sans se préoccuper du général, dans la volonté d’y attaquer le plus souvent possible ». La suite l’intéresse surtout : les Mondiaux de Martigny, les classiques wallonnes et donc peut-être flamandes.
Bardet n’est en tout cas pas pressé. Il attend, d’abord, la proposition de son manager de toujours, Vincent Lavenu, mais il ne prendra aucune décision, a-t-il précisé, avant le Tour de France dont le départ sera donné le 29 août à Nice.
J'en suis revenu de Bardet, il est compliqué dans sa tête et physiquement il ne pouvait pas mieux faire, ses limites ont été atteintes, qu'il s'en aille permettrait à AG2R d'avoir de nouvelles ambitions
jimmy39 a écrit : 10 juin 2020, 21:21
Il nous fait pas une MM période Cofidis le Meurisse là ? Parce que « accepter un rôle d’équipier s’il le faut », euh comment dire, comment pourrait-il espérer mieux en WT
Loïc Vliegen: «Les négociations vont se dérouler trois mois plus tard»
Par Propos recueillis par Sébastien Close (Le Soir)
Vainqueur sortant du Tour de Wallonie, Loïc Vliegen dispute la fin de son (premier ?) bail au sein de la formation Circus - Wanty Gobert.
La configuration de la saison n’est fort logiquement pas idéale, mais le coureur liégeois de vingt-six ans reste serein. Pas question pour Vliegen de tomber dans une pression inféconde.
Loïc, vous disputez la dernière saison de votre contrat actuel chez Circus – Wanty Gobert. Comment négocier un nouveau contrat quand on ne compte que quinze jours de course dans les jambes ?
Je me dis que ce n’est pas parce que la saison est rabotée que la valeur globale des coureurs est impactée. Je veux signifier par là que les équipes ont une vue d’ensemble, elles regardent les années précédentes, les aptitudes, les possibilités, le rôle que tu peux tenir dans le groupe… pour proposer un nouveau contrat. L’âge, aussi, au vu de la conjoncture. C’est peut-être mieux d’en avoir vingt-six que trente-six, pour le coup… Alors oui, forcément, sur la saison raccourcie qu’on va avoir, c’est toujours mieux de briller durant les trois mois de courses, mais j’ai la sensation que ce n’est pas l’unique élément à mettre dans la balance. Toutes les autres années comptent. La vraie valeur d’un coureur ne se résume pas à cette saison tronquée. Après, c’est mon point de vue, je me trompe peut-être…
Vous êtes préoccupé par cette situation inédite ?
Non, je n’y pense pas vraiment en fait. Contrairement à certains coureurs qui doivent être angoissés, moi, ça ne me stresse pas. Oui, c’est une année spéciale, mais je ne vais pas m’imposer une pression qui ne servirait, de toute façon, à rien. C’est comme ça, il faut composer avec, et faire le métier quand on pourra le faire, en donnant le maximum durant les trois mois de courses. De mon côté, là, je n’ai que des touches, rien de concret. Mais c’est comme 99 % du peloton, je pense… Les équipes attendent des nouvelles des sponsors pour boucler les budgets et nous, on attend des nouvelles des équipes. Elles vont d’abord resigner les grands leaders. Puis, ce sera au tour des coureurs comme moi.
Du coup, les négociations et transferts risquent d’être reportés, idem pour leur inhérente sérénité ?
Il y aura peut-être plus de pression mais c’est compliqué à dire puisque la situation est inédite. En même temps, même dans une saison classique, tu dois prester du coup, finalement, je ne sais pas si ça change beaucoup de choses à part au niveau du timing. Les négociations vont se dérouler trois ou quatre mois plus tard que d’habitude. Tout est reporté.
Ce n’est quand même pas l’idéal…
Vu la situation économique, évidement, c’est mieux d’avoir un contrat qui court jusqu’en 2021. Cette crise est globale, elle touche tous les secteurs. Clairement, il y aura un impact. Surtout si des équipes comme CCC viennent à stopper. Si les Polonais arrêtent, ça fait d’un coup une trentaine de coureurs en plus sur le marché, et là, c’est la loi de l’offre et de la demande. C’est logique. Dans l’absolu, vu le contexte, ce sera certainement difficile de resigner avec les mêmes conditions.
Vous parliez de touches pour la suite…
Je suis ouvert à toute proposition mais il est clair que chez Wanty, j’ai pu me découvrir, appréhender, aussi, une autre façon de courir, une autre mentalité. Gagner aussi, avec le Tour de Wallonie qui devrait théoriquement être une nouvelle fois dans mon programme, après les Strade Bianche et Milan-Sanremo, durant le mois d’août. On verra ce qui va s’ouvrir mais j’espère recevoir une offre de mon équipe actuelle.
Bart Wellens a été nommé jeudi directeur sportif de l’équipe Tormans, la formation de cyclo-cross de Circus-Wanty Gobert.
Bart Wellens, 41 ans, a été double champion du monde en 2003 et 2004. Il a également remporté la Coupe du Monde, le Superprestige et le Trophée Gazet van Antwerpen, devenu aujourd’hui Trophée AP Assurances. Il est ensuite devenu directeur sportif notamment chez 777 et Corendon-Circus. « Le Campinois apportera son expérience dans le développement de la nouvelle structure UCI de cyclo-cross, managée par Jean-François Bourlart en parallèle de l’UCI Pro Team Circus-Wanty Gobert-Tormans », a indiqué le communiqué de l’équipe.