Oui j'avais aussi vu ça, mais en fait je crois qu'il dit "je ne sais pas ce qu'ils en feront au montage, mais perso je ne mentirai pas, je raconterai ma vérité"
Donc c'est un peu moins putaclic
Dopage 2020
Modérateur : Modos VCN
Re: Dopage 2020
vu le personnage, ça doit rimer avec dollars ce docu vérité...
Re: Dopage 2020
Et donc raison de plus pour ne pas s'y intéresser et ne pas donner plus de lumière à ce bonhomme qu'il n'en mérite. (Et il n'en mérite pas donc...)Nopik a écrit : 15 mai 2020, 15:24 Oui j'avais aussi vu ça, mais en fait je crois qu'il dit "je ne sais pas ce qu'ils en feront au montage, mais perso je ne mentirai pas, je raconterai ma vérité"
Donc c'est un peu moins putaclic
Immature et juvénile.
Re: Dopage 2020
Nan mais tout son mensonge apparait dans la seule formulation. Pourquoi raconter SA vérité plutot que LA vérité?
Sale type...

Sale type...
Merci Albator 

Re: Dopage 2020
Pareil, j'ai tilté sur la formulation...dolipr4ne a écrit : 15 mai 2020, 20:47 Nan mais tout son mensonge apparait dans la seule formulation. Pourquoi raconter SA vérité plutot que LA vérité?![]()
Sale type...
Enfin il faudrait avoir les propos originaux en anglais. Je ne sais pas si c'est vraiment ce qu'il a dit, ou une interprétation faite au moment de la traduction.
Mais si il a vraiment dis "sa vérité", effectivement cela annonce la couleur...
Comme toi et Noé, je n'ai aucune confiance dans ce mec là. Par contre je distingue la personne (qui est une crapule et incarne tout ce que je déteste), et le sportif (qui a une volonté et une détermination inspirante). Mais néanmoins, je ne cache pas ma curiosité à voir ce qu'il peut bien dire. Et je vais donc regarder.
Quelles sont les intentions de Armstrong derrière tout ça? Probablement attirer la couverture sur lui et se faire de l'argent au passage. Tres probable. Ou peut-être enfin balancer ce qu'il a en lui depuis 20 ans et qui le ronge... moins probable, mais possible aussi.
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Re: Dopage 2020
Sa vérité c’est peut-être d’éclabousser un peu plus tous ceux qui ont été complices de sa tricherie et de se dédouaner de cette image de mafieux au cœur d’un système de dopage qui existait déjà avant 98...
Et au passage de montrer sous leurs meilleurs jours ses performances d’Oslo à Sestrières en passant par Limoges.
Perso j’ai détesté le personnage mais ça m’intéresse de revenir sur sa carrière, ses coéquipiers, Casartelli, Bruyneel, les liens avec l’UCI ou les médias, parce qu’il y a prescription. Il s’est fait choppé, il a avoué et j’ai digéré ses mensonges.
Un doc Netflix c’est presque un gage de réussite. Par contre si c’est le storytelling de la rémission avec livestrong
Quoiqu’il en soit on apprendra des choses sur cette période et rien que pour ça j´ai hâte !
Et au passage de montrer sous leurs meilleurs jours ses performances d’Oslo à Sestrières en passant par Limoges.
Perso j’ai détesté le personnage mais ça m’intéresse de revenir sur sa carrière, ses coéquipiers, Casartelli, Bruyneel, les liens avec l’UCI ou les médias, parce qu’il y a prescription. Il s’est fait choppé, il a avoué et j’ai digéré ses mensonges.
Un doc Netflix c’est presque un gage de réussite. Par contre si c’est le storytelling de la rémission avec livestrong

Quoiqu’il en soit on apprendra des choses sur cette période et rien que pour ça j´ai hâte !
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Re: Dopage 2020
Le documentaire sera forcement intéressant avec un très gros sujet et le point de vue d' Armstrong qu' il n' a jamais vraiment donné.
Ceux qui l' apprécie comme ceux qui le détestent vont etre interessé de voir ce qu' il pense de tout cela avec dix ans de recul.
Son point de vue sera forcement subjectif, espérons qu' il y ait une forme de contradiction en face.
Ceux qui l' apprécie comme ceux qui le détestent vont etre interessé de voir ce qu' il pense de tout cela avec dix ans de recul.
Son point de vue sera forcement subjectif, espérons qu' il y ait une forme de contradiction en face.
Nous devons apprendre à vivre tous ensemble comme des frères, sinon nous allons tous ensemble mourir comme des idiots. La fin approche ... Le mur se rapproche ...
Re: Dopage 2020
Luis Villalobos (EF) a eu un résultat anormal pour présence de GHRP-6 (Hormones peptidiques, facteurs de croissance, substances apparentées et mimétiques).
Notre brave Jonathan Vaugthers doit être heureux pour sa team propre
Notre brave Jonathan Vaugthers doit être heureux pour sa team propre

Re: Dopage 2020
Il était encore chez Aevolo à ce moment-là.
Re: Dopage 2020
C'était une situation de prêt comme Higuita un peu non? déjà signé à EF mais il était laissé à Aevolo jusqu'en juillet?
Re: Dopage 2020
Lance Armstrong avoue s'être dopé dès 1992
https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rou ... 92/1135714
Dans un documentaire bientôt diffusé sur ESPN, l'ancien cycliste américain avoue avoir commencé à se doper à « probablement 21 ans », et avoir collaboré avec le docteur Michele Ferrari dès 1995.
Quatre heures de documentaire, diffusé en deux parties les 25 mai et 1er juin sur ESPN player, durant lesquelles Lance Armstrong se lâche. Dans « Lance », l'ancien triathlète et cycliste américain, qui s'est vu retirer ses sept victoires dans le Tour de France (1999-2005) pour dopage, avoue s'être dopé avant que son cancer des testicules ait été diagnostiqué (en 1996). « J'avais probablement 21 ans », confie-t-il dans un extrait vidéo diffusé par ESPN. Soit en 1992, un an avant son titre de champion du monde sur route.
Armstrong révèle également avoir commencé à travailler dès l'hiver 1995 avec le docteur Michele Ferrari, médecin italien exclu à vie de toute collaboration avec des athlètes, et compare l'EPO à un carburant surpuissant : « Nous avions déjà essayé la cortisone, un carburant peu puissant, mais l'EPO était un tout autre niveau. Les avantages en termes de performances étaient si importants que le sport est passé d'un dopage assez léger, qui a toujours existé, à ce carburant de fusée. C'était la décision que nous devions prendre. »


https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rou ... 92/1135714
Dans un documentaire bientôt diffusé sur ESPN, l'ancien cycliste américain avoue avoir commencé à se doper à « probablement 21 ans », et avoir collaboré avec le docteur Michele Ferrari dès 1995.
Quatre heures de documentaire, diffusé en deux parties les 25 mai et 1er juin sur ESPN player, durant lesquelles Lance Armstrong se lâche. Dans « Lance », l'ancien triathlète et cycliste américain, qui s'est vu retirer ses sept victoires dans le Tour de France (1999-2005) pour dopage, avoue s'être dopé avant que son cancer des testicules ait été diagnostiqué (en 1996). « J'avais probablement 21 ans », confie-t-il dans un extrait vidéo diffusé par ESPN. Soit en 1992, un an avant son titre de champion du monde sur route.
Armstrong révèle également avoir commencé à travailler dès l'hiver 1995 avec le docteur Michele Ferrari, médecin italien exclu à vie de toute collaboration avec des athlètes, et compare l'EPO à un carburant surpuissant : « Nous avions déjà essayé la cortisone, un carburant peu puissant, mais l'EPO était un tout autre niveau. Les avantages en termes de performances étaient si importants que le sport est passé d'un dopage assez léger, qui a toujours existé, à ce carburant de fusée. C'était la décision que nous devions prendre. »
Sources ?
Re: Dopage 2020
Difficile de savoir comment ça se passe exactement, mais fin 2018 il avait en effet signé chez EF, tout en restant quelques mois de plus chez Aevolo.
Mais le plus logique semble qu'il ait eu un contrat qui débute le 01/07 par exemple, pas besoin de se compliquer la vie.
Mais le plus logique semble qu'il ait eu un contrat qui débute le 01/07 par exemple, pas besoin de se compliquer la vie.
Re: Dopage 2020
Quand je disais que ça allait être du flan, ce super reportage de la mort qui tue

Immature et juvénile.
Re: Dopage 2020
J'avais probablement 21 ans.
Oui alors c'est probable mais en même temps, c'est pas certain. Je ne me rappelle plus trop en fait...
Le mec est même pas capable de dire précisément quel âge il avait quand il a commencé à se doper. Ca doit être trop compliqué visiblement. Ah elle va être belle SA vérité
Oui alors c'est probable mais en même temps, c'est pas certain. Je ne me rappelle plus trop en fait...
Le mec est même pas capable de dire précisément quel âge il avait quand il a commencé à se doper. Ca doit être trop compliqué visiblement. Ah elle va être belle SA vérité

Re: Dopage 2020
Article plus complet sur cyclingnews
https://www.cyclingnews.com/news/lance- ... cumentary/
Google traduc
LANCE - Premier aperçu du nouveau documentaire Armstrong d'ESPN
La prochaine série de 30 pour 30 en deux parties plonge dans le «bassin d'amertume» d'Armstrong
"Ma vérité est la façon dont je m'en souviens", a déclaré Lance Armstrong au début de LANCE, le nouveau film captivant de Marina Zenovich, qui fait partie de la série 30 pour 30 d' ESPN . Peut-être qu'Armstrong devrait aussi se rappeler ce que le légendaire producteur hollywoodien Robert Evans a dit: "Il y a trois côtés à chaque histoire: votre côté, mon côté et la vérité. Les souvenirs partagés servent chacun différemment."
Les souvenirs exposés ici ne sont pas bons.
Il s'agit d'un film sur la cruauté et les secrets, avec une séquence de rage froide qui le traverse, recoupé par des scènes d'un Armstrong déchaîné, effrayant même pour ceux qui l'ont connu pendant la majeure partie de sa vie d'adulte. Selon diverses sources, Armstrong n'était pas le plus satisfait de sa représentation dans le film. Alors que l'histoire se déroule, il est facile de comprendre pourquoi.
Quelques instants après le début du film, il se penche sur l'objectif, le majeur levé, beuglant "Fuck You!" Il raconte comment un groupe de buveurs s'est retourné contre lui et comment il a tourné l'autre joue et payé pour leur soirée, mais les explications viennent un peu trop facilement et vous ne pouvez pas vous empêcher de vous demander à qui il s'adresse vraiment. Zenovich? L'auditoire? Le monde?
Le film minutieusement recherché de Zenovich, tourné à plusieurs endroits et sur plusieurs mois, est une dissection définitive d'un homme qui reste dissocié de lui-même et de ses actions, qui se construit progressivement pour révéler le bassin d'amertume dans lequel l'ancien vainqueur du Tour de France nage toujours. .
La légende de Lance est une grande tragédie américaine qui ne déshonorerait pas un roman de James Ellroy. Il y a l'enfance abusive, l'ambition qui fait rage, le statut de célébrité, les femmes, l'argent et, dans l'ombre, l'intimidation et les menaces, la litanie de vies détruites et l'odeur constante de catastrophe et de mort planant sur son sport. Zenovich capture tout cela dans son film.
En fin de compte, ce n'est pas le dopage qui choque - nous y sommes tous habitués maintenant - mais la perspicacité dans une vie forgée par la colère et la brutalisation, qui était si facilement emballée dans un `` ne jamais abandonner '' fanfaronnade sportive, patriotisme, bienfaisance charitable et avidité des entreprises.
Alors, d'où vient toute cette colère brute? Eh bien, rencontrez le monstrueux Terry Armstrong, le beau-père aux yeux morts de Lance. Son apparition dans le film peut être brève mais elle est révélatrice.
"Lance ne serait pas le champion qu'il est aujourd'hui sans moi", sourit froidement Terry. "Je l'ai conduit comme un animal."
«Il m'a battu,» dit Lance, l'air consterné par la mémoire.
Avec le temps, les agresseurs sont devenus l'agresseur, enfreignant les règles même à l'adolescence. "Falsifier le certificat de naissance, concourir illégalement, puis battre tout le monde", explique Lance à propos de ses premières incursions dans le triathlon.
Zenovich capture bien la rage brassicole de ses années d'adolescence, interviewant ceux qui étaient là et dévoilant le portrait d'un athlète phénoménal qui apprend rapidement à voir les autres comme des échelons sur l'échelle du succès.
Une grande partie du film se concentre sur la position d'Armstrong. Au départ, sa vie, après Oprah, paraît plus calme. Pourtant, parfois, Armstrong est tellement auto-agrandissant qu'il est presque Trumpian. "Je suis pertinent", dit-il avec défi, puis se le répète, juste pour être sûr. "Je suis."
Et quand il réfléchit étrangement à son nom, vous vous demandez à quel point le mythe s'est dissocié de lui. "Lance Armstrong", dit-il. «J'aime le nom», comme s'il s'agissait d'un nom de scène, inventé par un agent ou un chef de marque, plutôt que le sien.
Tout au long du film, les gens sont caractérisés soit comme des «chattes», soit comme des «badass». Même maintenant, Armstrong, semble-t-il, n'a d'empathie que pour ceux dont il a partagé l'expérience - ses camarades `` badass '', les anciens dopeurs `` détruits '' par les médias et les légions de cancéreux qui ont croisé son chemin.
Pourtant, en ce qui concerne les souffrances et l'humiliation qu'il a infligées à ceux qui ont dit la vérité et témoigné contre lui, ou à ceux dont il a fait de son mieux pour annihiler sa carrière et sa réputation, il n'y a presque rien. Il reste impassible.
Il fait rage sur le sort de Marco Pantani et verse des larmes pour la situation difficile de Jan Ullrich, mais n'en a pas pour Emma O'Reilly, Christophe Bassons, Fillippo Simeoni ou Betsy et Frankie Andreu, les `` petites gens '', dont la vie a été si écrasée par sa ambition.
Le plus brutal de tous est le dégoût pour Floyd Landis. "Hé, ça pourrait être pire", dit Armstrong. "Je pourrais être Floyd Landis, réveiller un morceau de merde tous les jours."
Projection sur deux épisodes (ESPN les 24 et 31 mai), vous devez être intrigué à la fois par Armstrong et l'histoire pour vous engager pleinement avec ce film, mais comme Stop at Nothing, le programme précédent de BBC Storyville, il rend à la fois fascinant et sombre . Vous vous demandez également, peut-être pour la énième fois, comment diable lui et son entourage s'en sont sortis si longtemps.
Dans quel endroit infernal était le cyclisme professionnel pendant son règne où Armstrong pouvait exercer un tel contrôle pendant si longtemps? À quel point l'antidopage était-il pitoyable s'il réussissait tous les tests et qu'il fallait tant de dénonciateurs pour le faire tomber? Ceux qui ont détourné le regard, ont été de connivence avec lui ou qui ont encouragé son comportement épouvantable, à la recherche de la richesse et du pouvoir, devraient toujours baisser la tête de honte.
Tout au long du film, il y a de nombreux aperçus de la tête et de la rage osseuses qui l'ont si bien servi en tant qu'athlète, mais cela s'est également avéré être sa chute en tant qu'être humain. En fin de compte, l'objectif de Zenovich, comme son retour erroné au cyclisme en 2009, est impitoyable. Mid-life Lance apparaît comme un personnage triste, incapable d'échapper à son passé, aussi dur qu'il essaye.
Jeremy Whittle est l'auteur de Bad Blood: la vie secrète du Tour de France. La première partie de LANCE sera diffusée sur ESPN le 24 mai à 21 h HE / PT, et la deuxième partie le 31 mai à 21 h HE / PT.
Le film ne sera diffusé qu'aux États-Unis sur le réseau sportif ESPN, mais pour les Américains à l'étranger, il sera possible de le voir si vous avez un abonnement au réseau. Il est rapide et facile de vous inscrire à un VPN pour simuler votre retour dans votre pays d'origine, vous donnant accès à ESPN ainsi qu'à d'autres services de télévision et de streaming américains lorsque vous êtes à l'extérieur du pays.
https://www.cyclingnews.com/news/lance- ... cumentary/
Google traduc
LANCE - Premier aperçu du nouveau documentaire Armstrong d'ESPN
La prochaine série de 30 pour 30 en deux parties plonge dans le «bassin d'amertume» d'Armstrong
"Ma vérité est la façon dont je m'en souviens", a déclaré Lance Armstrong au début de LANCE, le nouveau film captivant de Marina Zenovich, qui fait partie de la série 30 pour 30 d' ESPN . Peut-être qu'Armstrong devrait aussi se rappeler ce que le légendaire producteur hollywoodien Robert Evans a dit: "Il y a trois côtés à chaque histoire: votre côté, mon côté et la vérité. Les souvenirs partagés servent chacun différemment."
Les souvenirs exposés ici ne sont pas bons.
Il s'agit d'un film sur la cruauté et les secrets, avec une séquence de rage froide qui le traverse, recoupé par des scènes d'un Armstrong déchaîné, effrayant même pour ceux qui l'ont connu pendant la majeure partie de sa vie d'adulte. Selon diverses sources, Armstrong n'était pas le plus satisfait de sa représentation dans le film. Alors que l'histoire se déroule, il est facile de comprendre pourquoi.
Quelques instants après le début du film, il se penche sur l'objectif, le majeur levé, beuglant "Fuck You!" Il raconte comment un groupe de buveurs s'est retourné contre lui et comment il a tourné l'autre joue et payé pour leur soirée, mais les explications viennent un peu trop facilement et vous ne pouvez pas vous empêcher de vous demander à qui il s'adresse vraiment. Zenovich? L'auditoire? Le monde?
Le film minutieusement recherché de Zenovich, tourné à plusieurs endroits et sur plusieurs mois, est une dissection définitive d'un homme qui reste dissocié de lui-même et de ses actions, qui se construit progressivement pour révéler le bassin d'amertume dans lequel l'ancien vainqueur du Tour de France nage toujours. .
La légende de Lance est une grande tragédie américaine qui ne déshonorerait pas un roman de James Ellroy. Il y a l'enfance abusive, l'ambition qui fait rage, le statut de célébrité, les femmes, l'argent et, dans l'ombre, l'intimidation et les menaces, la litanie de vies détruites et l'odeur constante de catastrophe et de mort planant sur son sport. Zenovich capture tout cela dans son film.
En fin de compte, ce n'est pas le dopage qui choque - nous y sommes tous habitués maintenant - mais la perspicacité dans une vie forgée par la colère et la brutalisation, qui était si facilement emballée dans un `` ne jamais abandonner '' fanfaronnade sportive, patriotisme, bienfaisance charitable et avidité des entreprises.
Alors, d'où vient toute cette colère brute? Eh bien, rencontrez le monstrueux Terry Armstrong, le beau-père aux yeux morts de Lance. Son apparition dans le film peut être brève mais elle est révélatrice.
"Lance ne serait pas le champion qu'il est aujourd'hui sans moi", sourit froidement Terry. "Je l'ai conduit comme un animal."
«Il m'a battu,» dit Lance, l'air consterné par la mémoire.
Avec le temps, les agresseurs sont devenus l'agresseur, enfreignant les règles même à l'adolescence. "Falsifier le certificat de naissance, concourir illégalement, puis battre tout le monde", explique Lance à propos de ses premières incursions dans le triathlon.
Zenovich capture bien la rage brassicole de ses années d'adolescence, interviewant ceux qui étaient là et dévoilant le portrait d'un athlète phénoménal qui apprend rapidement à voir les autres comme des échelons sur l'échelle du succès.
Une grande partie du film se concentre sur la position d'Armstrong. Au départ, sa vie, après Oprah, paraît plus calme. Pourtant, parfois, Armstrong est tellement auto-agrandissant qu'il est presque Trumpian. "Je suis pertinent", dit-il avec défi, puis se le répète, juste pour être sûr. "Je suis."
Et quand il réfléchit étrangement à son nom, vous vous demandez à quel point le mythe s'est dissocié de lui. "Lance Armstrong", dit-il. «J'aime le nom», comme s'il s'agissait d'un nom de scène, inventé par un agent ou un chef de marque, plutôt que le sien.
Tout au long du film, les gens sont caractérisés soit comme des «chattes», soit comme des «badass». Même maintenant, Armstrong, semble-t-il, n'a d'empathie que pour ceux dont il a partagé l'expérience - ses camarades `` badass '', les anciens dopeurs `` détruits '' par les médias et les légions de cancéreux qui ont croisé son chemin.
Pourtant, en ce qui concerne les souffrances et l'humiliation qu'il a infligées à ceux qui ont dit la vérité et témoigné contre lui, ou à ceux dont il a fait de son mieux pour annihiler sa carrière et sa réputation, il n'y a presque rien. Il reste impassible.
Il fait rage sur le sort de Marco Pantani et verse des larmes pour la situation difficile de Jan Ullrich, mais n'en a pas pour Emma O'Reilly, Christophe Bassons, Fillippo Simeoni ou Betsy et Frankie Andreu, les `` petites gens '', dont la vie a été si écrasée par sa ambition.
Le plus brutal de tous est le dégoût pour Floyd Landis. "Hé, ça pourrait être pire", dit Armstrong. "Je pourrais être Floyd Landis, réveiller un morceau de merde tous les jours."
Projection sur deux épisodes (ESPN les 24 et 31 mai), vous devez être intrigué à la fois par Armstrong et l'histoire pour vous engager pleinement avec ce film, mais comme Stop at Nothing, le programme précédent de BBC Storyville, il rend à la fois fascinant et sombre . Vous vous demandez également, peut-être pour la énième fois, comment diable lui et son entourage s'en sont sortis si longtemps.
Dans quel endroit infernal était le cyclisme professionnel pendant son règne où Armstrong pouvait exercer un tel contrôle pendant si longtemps? À quel point l'antidopage était-il pitoyable s'il réussissait tous les tests et qu'il fallait tant de dénonciateurs pour le faire tomber? Ceux qui ont détourné le regard, ont été de connivence avec lui ou qui ont encouragé son comportement épouvantable, à la recherche de la richesse et du pouvoir, devraient toujours baisser la tête de honte.
Tout au long du film, il y a de nombreux aperçus de la tête et de la rage osseuses qui l'ont si bien servi en tant qu'athlète, mais cela s'est également avéré être sa chute en tant qu'être humain. En fin de compte, l'objectif de Zenovich, comme son retour erroné au cyclisme en 2009, est impitoyable. Mid-life Lance apparaît comme un personnage triste, incapable d'échapper à son passé, aussi dur qu'il essaye.
Jeremy Whittle est l'auteur de Bad Blood: la vie secrète du Tour de France. La première partie de LANCE sera diffusée sur ESPN le 24 mai à 21 h HE / PT, et la deuxième partie le 31 mai à 21 h HE / PT.
Le film ne sera diffusé qu'aux États-Unis sur le réseau sportif ESPN, mais pour les Américains à l'étranger, il sera possible de le voir si vous avez un abonnement au réseau. Il est rapide et facile de vous inscrire à un VPN pour simuler votre retour dans votre pays d'origine, vous donnant accès à ESPN ainsi qu'à d'autres services de télévision et de streaming américains lorsque vous êtes à l'extérieur du pays.
Sources ?
Re: Dopage 2020
Qu’il avoue (tu parles d’un scoop) qu’il s’est défoncé à l’EPO dès que possible, ça me fait une belle jambe. J’espere qu’il expliquera vraiment toutes les raisons qui lui ont permis d’ecraser le Tour pendant 7 ans, ça ça pourrait etre interessant.
Sinon, le mec de chez EF, il date de quand son controle? Pendant le confinement? En ou hors-competition?
Sinon, le mec de chez EF, il date de quand son controle? Pendant le confinement? En ou hors-competition?
Merci Albator 

Re: Dopage 2020
Bordel, je viens de lire ton truc, Guesdon...
Pour tout dire, j’ai arrêté avant les 5 derniers paragraphes, tellement ça pue l’egocentrisme pathologique et malsain, et la haine la plus totale. Ce type est, à mes yeux, absolument detestable et infréquentable. Je le trouve terrifiant, litteralement.
Désolé, sincerement, pour lui qu’il ait été maltraité en tant qu’enfant: c’est toujours une injustice et cela laisse toujours des traces. Heureusement, tous les enfants battus ne deviennent pas des ordures comme lui. C’est certain désormais, apres avoir lu ton résumé, je n’ai aucun besoin ni meme aucune envie de voir ce reportage.
Zwhisop, santé! Serieux, t’as bien mal choisi ton cheval...
Pour tout dire, j’ai arrêté avant les 5 derniers paragraphes, tellement ça pue l’egocentrisme pathologique et malsain, et la haine la plus totale. Ce type est, à mes yeux, absolument detestable et infréquentable. Je le trouve terrifiant, litteralement.
Désolé, sincerement, pour lui qu’il ait été maltraité en tant qu’enfant: c’est toujours une injustice et cela laisse toujours des traces. Heureusement, tous les enfants battus ne deviennent pas des ordures comme lui. C’est certain désormais, apres avoir lu ton résumé, je n’ai aucun besoin ni meme aucune envie de voir ce reportage.
Zwhisop, santé! Serieux, t’as bien mal choisi ton cheval...

Merci Albator 

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Re: Dopage 2020
Comment ose-t-on retirer ses victoires à un ex-enfant battu ? 

Nous sommes les Tonton Tapis et nous roulons pour gagner.
Re: Dopage 2020
Contrôle du 25 avrildolipr4ne a écrit : 18 mai 2020, 20:36 Sinon, le mec de chez EF, il date de quand son controle? Pendant le confinement? En ou hors-competition?
2019

Re: Dopage 2020
https://twitter.com/TourDeJose/status/1 ... 5857284096
Je vous invite à lire le communiqué de EF, qui réussit à mettre la faute sur tout le monde sauf eux et Villalobos, et veut même poursuivre en justice des gens sans préciser qui car le test a mis un an à sortir (alors que c'est ecrit dans le communiqué de presse de l'UCI que c'est un second test qui a pointé l'anomalie donc il a logiquement mis plus ongtmeps à sortir)
Je vous invite à lire le communiqué de EF, qui réussit à mettre la faute sur tout le monde sauf eux et Villalobos, et veut même poursuivre en justice des gens sans préciser qui car le test a mis un an à sortir (alors que c'est ecrit dans le communiqué de presse de l'UCI que c'est un second test qui a pointé l'anomalie donc il a logiquement mis plus ongtmeps à sortir)