Votre bilan du Tour de France 2019

[veji2]

J'ai hésité entre superbe et belle édition, j'ai mis belle édition parce que je ne peux pas lui donner la plus haute note.. mais il y aurait eu 5 choix j'aurais mis 4/5. La fin et l'abandon de Pinot ont gâché la fin du Tour en cassant le suspense. On allait avoir une sacrée bagarre pour la victoire finale puis pouf on l'a pas eu.... Pour le reste un très beau tour avec de l'action grâce en grande partie à Alaphilippe.

C'est en gros un tour 2011 mais dont l'étape de l'Alpe d'Huez aurait été arrêtée en haut du Galibier quoi.... Donc ça reste un cran en dessous.

A noter que le travail fait dans les tracés par Gouvenou a été récompensé pour ce qui est des 2 premières semaines, pour la fin du tour c'est évidemment différent.

[blouss_]

Faire un bilan cela serait trop long à écrire.

Mais je vais parler d'une énorme déception.

Comment une équipe qui a 3 grimpeurs comme Landa, Quintana et Valverde se débrouille t'elle pour ne mettre aucun coureur sur le podium? Et le pire, plusieurs autres coureurs de la Movistar sont aussi de très bons grimpeurs.

Bref, ils avaient tout pour mettre le feu et chambouler le classement général et finalement, cela a accouché d'une souris.

Tout simplement parce que les 3 sont moins forts que ceux qui terminent devant eux. Pour Valverde, ce n'est pas nouveau. Il est à sa place et je suis même assez surpris de le retrouver si bien placé à la fin de ce Tour. Quintana ne semble plus avoir la régularité sur 3 semaines pour viser un podium. Et Landa est comme d'habitude dominé par plusieurs coureurs.

[jicébé]

Résumé en 10 séquences par ordre d'apparition à l'image:

- étape 1 (Bruxelles), Jumbo-Visma: clm/équipes, 3 sprinteurs vainqueurs, un train d'enfer en montagne
- étape 3 (Epernay), Alaphilippe: puncher, 'bordureur", rouleur clm, grimpeur, titre de Super-Combatif hyper mérité
- étape 5 (Colmar), Sagan: en lice pour 10 maillots verts ou plus?
- étape 8 (St-Etienne), T. De Gendt: super-baroudeur, jusqu'au-boutiste et opportuniste
- étape 10 (Albi), Van Aert: cyclocrossman, sprinter, rouleur clm, bouffeur de pavés, what else?
- étape 11 (Toulouse): Ewan: sprinter n°1, un sprint d'anthologie aux Champs
- étape 14 (Tourmalet): Pinot: Monsieur Pyrénées. Le syndrome Giro 2018 semble malheureusement s'être répété; rédhibitoire pour espérer une future victoire en GT?
- étape 18 (Valloire), Quintana: un des 2 grands exploits athlétiques de ce Tour; Movistar était venue pour le classement interéquipes, elle l'a
- étape 20 (Val Tho'), Nibali: le 2nd exploit athlétique: juste récompense pour un grand champion
- le Tour, Bernal: le + jeune vainqueur depuis la préhistoire , le 1er Colombien: il rentre dans l'Histoire, et y restera comme le recordman abslu des victoires? Ineos était venue pour le CG, et même 2 fois plutôt qu'une, et sans Froome.

un Tour "mémorable"

[CaptainMarvel]

Excellente édition

les +
Alaphilippe le super combatif et grand animateur de ce Tour
Bernal et ses envolées Alpestres
Pinot le meilleur dans les Pyrénées et sans doute 2 ième sur les champs sans cet abandon
l 'offensive incessante des Movistar
certaines étapes : Épernay le spécial Alaf , De Gendt monumental et l 'attaque des Français derrière , Foix avec les attaques à répétition de Pinot, le chrono de Pau ,la magie de Quintana et Nibali sur leurs victoires respectives ,l 'Iseran monumental et juge de paix de ce Tour ,et l 'étape des bordures toujours aussi spectaculaires .

Les -
une fin de tour tronquée au niveau de la montagne
un maillot à pois sans saveur qui ne veut pas dire grand chose
des étapes de plat cadenassés avec des barrages effectués par les équipes de leaders et de sprinteurs
la tactique parfois incompréhensible des Movistar
les coureurs qui se contentent de placettes au général voir dans le Top 15
la réalisation TV parfois à la rue au moment de la bagarre

Note finale 17/20

[levrai-dufaux]

Ce Tour de France 2019 a été à l'image de l'étape de l'Iseran : exceptionnel, mais tronqué du final en apothéose qu'il méritait.
Quel dommage pour Bernal de n'avoir pu lever les bras pour célébrer son avènement.
Quel dommage pour nous suiveur de ne pas avoir eu le duel Bernal-Pinot qui semblait se dessiner.

Reste quelques moments mémorables : les numéros d'Alaphilippe, les Pyrénées grandioses de Pinot, l'étape des bordures, du suspense pour le maillot jaune, cette magnifique montée de l'Iseran où il y en avait partout derrière le bulldozer Bernal le joli baroud de Quintana dans le Galibier, la belle offensive de Landa dans Péguère.

C'est déjà pas mal. Un bon cru, que je classerai tout de même en dessous des années 2003 et 2011.

[papou06]

Sauf qu'en 2018 c'était Thomas qui tenait la corde chez Sky, et "en toute logique" il devait chuter et/ou s'effondrer en troisième semaine tel un Thomas.
Donc sûrement autant basé sur des "faits objectifs" que de croire que Froome puisse être battu par Aru/Martin/Bardet/Uran qui n'ont pas l'étoffe de champions (avec tout le respect que je dois à ces coureurs, Dumoulin est un vainqueur du Tour crédible, eux moins).

Maintenant oui, sur les étapes que tu cites, quand je vois Froome pas dominateur, je me dis qu'il y a de la place. Sauf que l'inaction des autres favoris a, assez rapidement, douché mes espoirs. Dumoulin a tenté jusqu'au bout, ça change pas mal la donne pour un suspens durable.

Thomas c'est celui qui venait d'archi dominé le Dauphiné, c'était le favori du Tour de France à égalité avec Froome au départ de la course. Penser qu'il allait craqué dans les Pyrennées, on était dans de l'espérance mais pas dans l'analyse objective

Sinon du coup, cette année les adversaires sont pas vraiment plus "champions" que ceux de 2017. (peu importe la réponse mais Aru avait déjà gagné un GT avant 2017)

Je pense qu'avec un peu plus de recul, on va assez vite dire qu'INEOS a très bien géré ce GT, et que Thomas a été quasi constamment dans les 3 plus forts de ce GT (sauf sur le Tourmalet), que Bernal a été quasi constamment dans les 2 plus forts (sauf sur l'ITT).

Pinot était le plus fort sur les Pyrennées, mais INEOS était un cran au-dessus sur les Alpes que sur les Pyrénnées (comme Froome en 2017 d'ailleurs), et que les intempéries des Alpes ont surement plutôt limité les écarts finaux au CG que favoriser les INEOS.
Pinot bien sur n'était plus dans l'équation sur les Alpes, mais fallait à minima qu'il soit au niveau des Pyrennées pour gagner car Thomas et Bernal étaient plus forts sur cette dernière semaine.

Au soir de Valloire, pour moi je ne voyais pas comment Ineos pouvait perdre ce TdF à la pédale vu le passage au sommet du Galibier.

Ce n'est pas parce que tu le répètes plusieurs fois que ça devient une vérité. Thomas n'était pas dans les 2 favoris au départ du Tour 2018. Ni ici, ni chez les bookmakers, ni nulle part.

Pour ce qui est de cette année, le matin de Valloire, tu pensais que Bernal allait craquer et que Thomas n'avait pas non plus le niveau pour le gagner, et le soir même tu ne voyais plus comment ils pouvaient le perdre. Ca fait un sacré revirement sur la seule base du Galibier.

[blouss_]

Et pour répondre à la question du topic, j'ai mis "Superbe, mémorable". Parce que je me souviendrais à coup sûr de ce Tour de France. Et que finalement la fin tronquée, que ce soit à cause des orages ou à cause de l'abandon de Pinot qui nous prive d'un possible duel avec Bernal, ne fait que rajouter à la légende de ce Tour.
Après je ne vais pas rentrer dans les détails car d'autres l'ont déjà fait et que ce n'est pas forcément intéressant de lire 10 fois la même chose, mais dans les faits marquants je retiendrai :
- la victoire d'un Colombien
- les 14? jours en jaune d'Alaphilippe (j'ai fini par y croire à une possible victoire)
- la victoire de De Gendt
- le Tour de Pinot (ce moment où il lâche un à un tous les autres protagonistes du général )

Je retiendrai aussi que sur le forum, on a un peu moins parlé de dopage et des Ineos et que c'était assez agréable.

[papou06]

Un très bon Tour. Quand même derrière 2003 pour moi, mais nettement supérieur à 2011 que je trouve très largement surcoté. On s'y était ennuyés fermes pendant 15 jours.

Il y a eu très peu de temps morts cette année. Et si malheureusement les Alpes ont été amputées de certaines difficultés, ça ne fait que rajouter à la dramaturgie du Tour, surtout le vendredi, avec une étape arrêtée au dernier moment, des coureurs éparpillés dans l'Iseran et un Bernal qui ne veut pas s'arrêter. Ca restera comme une des étapes mythiques de l'histoire du Tour. On se rappellera pendant très longtemps de la prise de pouvoir de Bernal dans ces circonstances rocambolesques.

[luckywinner]

Thomas c'est celui qui venait d'archi dominé le Dauphiné, c'était le favori du Tour de France à égalité avec Froome au départ de la course. Penser qu'il allait craqué dans les Pyrennées, on était dans de l'espérance mais pas dans l'analyse objective

Sinon du coup, cette année les adversaires sont pas vraiment plus "champions" que ceux de 2017. (peu importe la réponse mais Aru avait déjà gagné un GT avant 2017)

Je pense qu'avec un peu plus de recul, on va assez vite dire qu'INEOS a très bien géré ce GT, et que Thomas a été quasi constamment dans les 3 plus forts de ce GT (sauf sur le Tourmalet), que Bernal a été quasi constamment dans les 2 plus forts (sauf sur l'ITT).

Pinot était le plus fort sur les Pyrennées, mais INEOS était un cran au-dessus sur les Alpes que sur les Pyrénnées (comme Froome en 2017 d'ailleurs), et que les intempéries des Alpes ont surement plutôt limité les écarts finaux au CG que favoriser les INEOS.
Pinot bien sur n'était plus dans l'équation sur les Alpes, mais fallait à minima qu'il soit au niveau des Pyrennées pour gagner car Thomas et Bernal étaient plus forts sur cette dernière semaine.

Au soir de Valloire, pour moi je ne voyais pas comment Ineos pouvait perdre ce TdF à la pédale vu le passage au sommet du Galibier.

Ce n'est pas parce que tu le répètes plusieurs fois que ça devient une vérité. Thomas n'était pas dans les 2 favoris au départ du Tour 2018. Ni ici, ni chez les bookmakers, ni nulle part.

Pour ce qui est de cette année, le matin de Valloire, tu pensais que Bernal allait craquer et que Thomas n'avait pas non plus le niveau pour le gagner, et le soir même tu ne voyais plus comment ils pouvaient le perdre. Ca fait un sacré revirement sur la seule base du Galibier.

Pour Bernal je le voyais craquer c'est vrai, je l'ai dit régulièrement (par contre pas au matin de Valloire ) et je me suis planté.

Sinon Thomas favori du Tour 2018 c'est la vérité des bookmakers (tu peux toujours contredire le fait, mais ça devient pas une contre-vérité ).

Je n'ai jamais écrit que Thomas ne pouvait plus gagner ce Tour de France, et d'ailleurs je pense que c'est lui le grand perdant des intempéries, même si la victoire de Bernal ne souffre pas de contestation pour autant.
J'imagine que tu évoques un message que j'ai écrit message qui n'évoque même pas le TdF 2019.

[Wombat]

Froome était largement favori du Tour 2018.

Les côtes au 13/07/18 (Froome avait déjà perdu 1' sur lourde chute).

Chris Froome 2,50
Richie Porte 5,50
Geraint Thomas 8,00
Vincenzo Nibali 13,00
Nairo Quintana 15,00

[papou06]

Ce n'est pas parce que tu le répètes plusieurs fois que ça devient une vérité. Thomas n'était pas dans les 2 favoris au départ du Tour 2018. Ni ici, ni chez les bookmakers, ni nulle part.

Pour ce qui est de cette année, le matin de Valloire, tu pensais que Bernal allait craquer et que Thomas n'avait pas non plus le niveau pour le gagner, et le soir même tu ne voyais plus comment ils pouvaient le perdre. Ca fait un sacré revirement sur la seule base du Galibier.

Pour Bernal je le voyais craquer c'est vrai, je l'ai dit régulièrement (par contre pas au matin de Valloire ) et je me suis planté.

Sinon Thomas favori du Tour 2018 c'est la vérité des bookmakers (tu peux toujours contredire le fait, mais ça devient pas une contre-vérité ).

Je n'ai jamais écrit que Thomas ne pouvait plus gagner ce Tour de France, et d'ailleurs je pense que c'est lui le grand perdant des intempéries, même si la victoire de Bernal ne souffre pas de contestation pour autant.
J'imagine que tu évoques un message que j'ai écrit message qui n'évoque même pas le TdF 2019.

Les cotes du Tour 2018 au départ étaient les suivantes :
Froom 2,5
Porte entre 4 et 5
Quintana entre 8 et 10
Landa entre 10 et 11
Nibali entre 12 et 13
Dumoulin 13
Bardet entre 15 et 17
Thomas 19

C'est facilement vérifiable sur n'importe quel comparateur de cotes.

Voilà ce que tu disais sur Thomas la veille de Valloire : "Thomas a 33ans, et pour l'instant il ne se montre pas capable de confirmer son Tour 2018, et on oubliera pas qu'il a fait des choix en 2019 qui ont pas forcément du faire plaisir à la direction sportive."

[manu74annecy]

J'ai découvert le Tour en 89.
J'avais espéré au sortir des Pyrénées que ce Tour 2019 renverrait donc mes 2 tours notalgiques (89 et 90) aux oubliettes.
Malheureusement, la fin en a décidé autrement.
Je laisse aussi le tour 2003 devant, il était hors norme, unique pour le centenaire.
Par contre 2011 est derrière selon moi, oui pour les alpes, mais quelle purge avant notamment dans les Pyrénées.

Donc :
1 1989
2 1990
3 2003
4 2019
5 2011

le placer aussi haut suffit déjà à m'avoir rendu la petit semblant d'affection que j'avais naguère pour la grande boucle, avec une intensité pas ressentie depuis longtemps pour :
- le final de st-etienne
- les derniers kilomètres du tourmalet
- l'Iseran

par contre, quelques grains de sables pour en faire une édition inoubliable :
- les étapes de plaine
- l'impression globale ne dépend que de 2 ou 3 gars (pinot, alaf, bernal), les autres, franchement, un grand bof général
- cette étape de val tho sauvée par le squale mais d'une tristesse sans nom

dommage cette fin de tour. avec des si, un seul être nous manque, mais pas Ulissi cette fois-ci

[gradouble]

J'ai découvert le Tour en 89.
J'avais espéré au sortir des Pyrénées que ce Tour 2019 renverrait donc mes 2 tours notalgiques (89 et 90) aux oubliettes.
Malheureusement, la fin en a décidé autrement.
Je laisse aussi le tour 2003 devant, il était hors norme, unique pour le centenaire.
Par contre 2011 est derrière selon moi, oui pour les alpes, mais quelle purge avant notamment dans les Pyrénées.

Donc :
1 1989
2 1990
3 2003
4 2019
5 2011

le placer aussi haut suffit déjà à m'avoir rendu la petit semblant d'affection que j'avais naguère pour la grande boucle, avec une intensité pas ressentie depuis longtemps pour :
- le final de st-etienne
- les derniers kilomètres du tourmalet
- l'Iseran

par contre, quelques grains de sables pour en faire une édition inoubliable :
- les étapes de plaine
- l'impression globale ne dépend que de 2 ou 3 gars (pinot, alaf, bernal), les autres, franchement, un grand bof général
- cette étape de val tho sauvée par le squale mais d'une tristesse sans nom

dommage cette fin de tour. avec des si, un seul être nous manque, mais pas Ulissi cette fois-ci

Message que j'aurais pu écrire mot pour mot; 1er tour en 89 aussi.
La différence est que je laisse 2011 devant 2019. Mais j'avais bien aimé le 91, et le 97 aussi.

[El_Pistolero_07]

Qui noous dit que Pinot n'aurait pas suivi Bernal dans l'Iseran ? Et peut être même le lâcher dans Tignes ou Val Thorrens ?

Ben voilà, le soucis principal de ce Tour, on a pas eu le fin mot du duel entre les 2 meilleurs coureurs du peloton de ce TDF.

La question est à l'envers à la lumière des Pyrénées !

Qui nous dit que Bernal aurait pu suivre Pinot dans l'Iseran ?

C'est aussi ce que je dit, mais je pense que Pinot aurait attendu Tignes pour attaquer Bernal à cause de la longueur de la descente, il aurait juste fait la bonif au sommet du col.

[El_Pistolero_07]

Sauf qu'en 2018 c'était Thomas qui tenait la corde chez Sky, et "en toute logique" il devait chuter et/ou s'effondrer en troisième semaine tel un Thomas.
Donc sûrement autant basé sur des "faits objectifs" que de croire que Froome puisse être battu par Aru/Martin/Bardet/Uran qui n'ont pas l'étoffe de champions (avec tout le respect que je dois à ces coureurs, Dumoulin est un vainqueur du Tour crédible, eux moins).

Maintenant oui, sur les étapes que tu cites, quand je vois Froome pas dominateur, je me dis qu'il y a de la place. Sauf que l'inaction des autres favoris a, assez rapidement, douché mes espoirs. Dumoulin a tenté jusqu'au bout, ça change pas mal la donne pour un suspens durable.

Thomas c'est celui qui venait d'archi dominé le Dauphiné, c'était le favori du Tour de France à égalité avec Froome au départ de la course. Penser qu'il allait craqué dans les Pyrennées, on était dans de l'espérance mais pas dans l'analyse objective

Sinon du coup, cette année les adversaires sont pas vraiment plus "champions" que ceux de 2017. (peu importe la réponse mais Aru avait déjà gagné un GT avant 2017)

Je pense qu'avec un peu plus de recul, on va assez vite dire qu'INEOS a très bien géré ce GT, et que Thomas a été quasi constamment dans les 3 plus forts de ce GT (sauf sur le Tourmalet), que Bernal a été quasi constamment dans les 2 plus forts (sauf sur l'ITT).

Pinot était le plus fort sur les Pyrennées, mais INEOS était un cran au-dessus sur les Alpes que sur les Pyrénnées (comme Froome en 2017 d'ailleurs), et que les intempéries des Alpes ont surement plutôt limité les écarts finaux au CG que favoriser les INEOS.
Pinot bien sur n'était plus dans l'équation sur les Alpes, mais fallait à minima qu'il soit au niveau des Pyrennées pour gagner car Thomas et Bernal étaient plus forts sur cette dernière semaine.

Au soir de Valloire, pour moi je ne voyais pas comment Ineos pouvait perdre ce TdF à la pédale vu le passage au sommet du Galibier.

Là où j'étais le plus impressionnant c'était Pinot... Et il était blessé, ce que tu dis est insensé en se basant sur le Galibier.

[blagounet]

J'ai pas voté.

Y'a pas "le pire depuis 1903".

[Lotto-jumboy]

Une fin de de Tour tronqué qui gâche les étapes alpines. Et personnellement beaucoup de mal avec le Kruijswijk bashing. Il me fait bien marrer Alaphilippe avec sa déclaration d'hier.
Pas du tout fan de Pinot mais côté français c'est lui que je retiendrais et Bardet qui s'est relevé après sa débâcle.

[sylvainm]

Très bon tour, je pense que le parcours à joué beaucoup dans le succès surtout si on compare à l'an passé, pas de chance avec la météo, j'ai vibré comme en 2011, et je n'avais pas autant vibré depuis.

[El_Pistolero_07]

Le plateau de Vélo Club après la vanne d'Alaphilippe :




Mais c'est pas mérité pour le Cintre, j'ai souvenir de lui à l'attaque de très loin sur le Giro 2011, en 2016, il était offensif aussi il me semble et son attaque dans la Madeleine l'an passé lui assure la postérité de "non-suceur de roue" !

[Allobroges]

Tour de merde...
Les astres s'alignaient petit à petit et puis...

C'est désolant: on a un potentiel à disposition comme on en aura un tous les 50 ans et il est parti pour ne jamais remporter de GT...