Je comprends mieux alorsIguane a écrit : 13 mars 2019, 21:33A mon humble avis, pour mettre une mine à 15 bornes de l'arrivée après le bourrinage de Bernard, puis larguer tout le monte et tenir le peloton à 50 secondes dans ce final en montée, il faut minimum un moteur à la Jungels. La première priorité des trek a été de s'assurer que l'échappée arrive pour la gagne, c'est pour ça que Bernard s'est mis à plat. Avec 20 secondes de moins à boucher sur la ligne du grimpeur, on peut très bien imaginer que des costauds tentent de faire le jump de l'arrière.Le sucre sportif a écrit : 13 mars 2019, 20:06
Pas compris la stratégie des Trek : Ciccone aurait pu le faire à la rigueur s'il avait attendu que ça ralentisse après le relais de Bernard pour placer un gros démarrage et larguer tout le monde, mais là il a continuer de faire un train-train pour emmener Cort sur un plateau. Bernard était en forme, c'est dommage de l'avoir sacrifié ...
Et éliminer les mecs les plus faibles de l'échappée qui auraient désorganisé le groupe en restant dans les roues, puis mettre tout de suite un gros tempo où tout le monde collabore, c'est ce qui à permis aux 4 de se disputer la victoire.

Par contre je me demande si ce n'était pas plus judicieux de sacrifier Ciccone pour que Bernard tente sa chance dans le final car j'ai l'impression que Ciccone ne pouvait rien faire face à Cort Nielsen ou De Gendt. Bernard me semble meilleur rouleur/sprinteur que Ciccone

Enfin bref, c'était un beau final !
Gagner un monument en partant tôt le matin, c'est encore possible : Matthew Hayman sur Paris-Roubaix en 2016 l'a démontré et Silvan Dillier a failli le faire l'an passé. Il faut garder la Foimanu74annecy a écrit : 14 mars 2019, 09:12UAE Tour, TDU, cadel Evans : sur ces épreuves, ces 5 dernières années, ça a du rarement arrivé?Quef a écrit : 13 mars 2019, 23:01
C’est aussi la première étape de course par étape WT difficile à contrôler pour un peloton.
Comme quoi le parcours ça compte![]()
En étant taquin, Het Niewsblad ou Strade, c'est une forme d'échappée qui va au bout, bien que ce ne soit pas la "matinale", mais là aussi depuis jacky durand sur le tour des flandres 92, ça n'arrive plus![]()

Je pense que plus que le parcours, c'est le temps pourri et les bordures qui jouent un vrai rôle. Au soleil australien ou émirati, plus dur d'user les organismes sur toute la longueur de plusieurs étapes, car c'est aussi parce que les sprinteurs et leurs équipiers étaient cramé que la différence a pu se faire dans le final pour les échappés (qui étaient pourtant sur le point d'être repris !). Sur ces premières courses exotiques, les équipiers sont frais car personne de dangereux ne va à l'avant, ça roulotte donc plus dur de voir le scénario d'hier
