iskinni a écrit : 13 mars 2019, 13:29
Vu l'énorme poisse que j'ai dans les pronos,
réponse j: autre
Forcément un truc auquel tu n'as pas pensé.

Sinon, pour Albator et la Bardiani, c'est à peine marrant

. Comme je n'ai jamais vraiment soutenu un coureur ou une équipe en particulier, comment ça se passe quand votre favori périclite ? Est-ce qu'il y a une sorte de transfert compensatoire ? Une nostalgie qui reste ? Une période de deuil ? Parmi les échappés, il y en a quelques-uns qui ont du faire rêver, comme un De Gendt Giro 2012, par exemple: comment ça se passe quand on comprend que ça ne reviendra pas ?
Pour un cyclisme d'avant-guerre, sauvagement beau, entre Carniole, Cantabrie et Bouches-du-Rhin (avec quelques Abyssins), sans laborantins, dollars, UCI, 4x4 et gagne-petits.